› NOM : Cosenza. Il est si facile de se laisser emporter et répéter à qui veut bien entendre à quel point ce sang est pur, mais ce n'est pas tellement marrant. Vaut mieux répéter qu'il est pur MAIS SURTOUT exotique, ça charme beaucoup plus de nos jours. › PRÉNOMS : Cesare, un petit empereur en puissance. Faut croire que mama avait visé dans le mille, il y a plus facile à vivre que monsieur. N'en reste pas moins qu'on m'a affublé de Velkan, aussi. L'origine reste nébuleuse, et je me demande bien d'où on tire un truc pareil, même pour un loup, ce serait moche.  › AGE : Vingt-six ans, il y a de ces mecs qui ont déjà statué sur beaucoup une fois atteint ce nombre de bougies vénérables, mais ce n'est pas mon cas. Il m'en reste à accomplir, à voir et à mater avant de cesser de planer comme un vieux balai au-dessus de mes responsabilités. En tant que seul héritier mâle de mon illustre lignée, on ne me presse pas trop, histoire de ne pas me voir finir par déraper sous la pression. Voilà qui change de ce que l'on impose à Bianca, mais je n'y peux rien.  › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Florence, il y a de cela deux décennies plus une demie-autre en additionnant un à ce nombre. On célèbre mon anniversaire le quatorze février, si c'est pas beau ça! › STATUT : Aux yeux de mes parents, il est d'une ignominie sans borne de ne pas se voir assurer la pérennité de la lignée dès ce jour, non sans leur soutien indéfectible quant au fait que je sois incroyablement pointilleux quant au choix de mes fréquentations. Ils ne savent pas que je n'en veux qu'une, et que celle-ci est un fruit défendu - bien que pur - dans lequel je ne saurai jamais le goût de sa chair quand on y mord à pleine dent. Entouré de ces beautés de tout sang tout genre, aucune ne passe le cap du simple apparat, un peu à la façon chemise voyez? › STATUT DU SANG : Pur, et ce depuis des siècles et des siècles. Toujours pur, et incroyablement fiers de l'être. Bien qu'étrangère à la Grande-Bretagne, ce statut réputé assure une position tout de même enviable dans ce pays pluvieux. › ORIENTATION SEXUELLE : Pour ce que je ne peux obtenir et qui ne comporte pas un trois-pièces entre les cuisses, ce qui est accessible m'est complètement égal. Les choses sont beaucoup plus drôles comme ça, admettons ici un profond masochisme dont je ne me cache absolument pas. › MÉTIER : Le marché de l'emploi n'étant pas à son apogée, et bien que j'espère avoir eu accès à un tel poste grâce à mes compétences et non seulement du à mon patronyme, j'ai obtenu un poste à Gringotts comme briseur de sorts. Cela me permet d'aller ça et là avec l'excuser que cela soit d'intérêt professionnel. Mon plus récent déplacement était en Australie. › BAGUETTE : plutôt rigide, extrêmement ardue à manier, elle est faite en bois de vigne, mesurant vingt-cinq centimètres et possédant en son coeur un ventricule de dragon. lors de son acquisition, le propriétaire de la boutique lui a dis que la baguette attendait son maître depuis plus d'un siècle. il n'en fallait pas moins pour attiser un égo déjà suffisamment mis de l'avant › MAISON A POUDLARD : Sans surprise, on m'a référé aux Vert et Argent bien que je n'ai jamais fréquenté l'école de magie anglaise de Poudlard. Du moins, c'est ce que la charmante demoiselle aux cheveux blonds argentés bossant au Chaudron Baveur m'a raconté, après une bouteille de Whisky Pur Feu. Intéressant ce que l'on peut obtenir comme conversation tout de même, bien avant que ma paume ait rencontré de l'épiderme et que mes lèvres se scellent contre les siennes, dans l'Allée des Embrumes. › PATRONUS :  Un faucon des marais, une espèce typique de l'Italie que notre gouvernante élevait dans un fauconnier quand l'on était encore des gamins. Ça m'a fait sourire, la première fois comme les suivantes. › EPOUVANTARD :  Un espace clos cherchant à se refermer autour de lui, incapable d'en sortir et sans personne pour ne l'entendre crier. Cesare est désespérément claustrophobe, et c'est à l'aide de potions apaisantes et à grands renforts de Whisky Pur Feu qu'il parvient à tolérer vols d'avion et pièce exiguë. › CREDIT : Strangeforeignbeauty

› UN SORT : feudeymon. › UNE POTION : goutte du mort-vivant. › UN OUVRAGE : Roueries et fourberies pour sorciers hardis. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : poursuiveur. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : portoloin › UN MAGE CELEBRE : le plus jeune des trois frères peverell. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : les conquêtes d'alexandre le grand. › UNE CREATURE MAGIQUE : hippogriffe.

› pseudo : WLKN › prénom : mariek › âge : vingt-deux ans › fréquence de connexion : cinq sur sept › personnage : inventé, avec un patronyme des prédéfinis › groupe : la confrérie › commentaire ? : je me trouve vachement marrante avec cet avatar trouvé des suites de mon inscription   

En parlant de petits côtés plus sombre de la personnalité, il est intéressant de se pencher sur certaines particularités du jeune homme. ›D'une part, il possède un franc talent pour manipuler les gens et les amener exactement là où il en a envie. Cependant, c'est de le décevoir et de le remplir d'une amertume mièvre que d'être un cobaye répondant à ce don inné qu'il possède. Ce qui amène à dire que Cesare est un masochiste qui ne prend plaisir, ne tire satisfaction que lorsque ses tentatives sont de cuisants échecs. Il aime, non, il aspire à avoir mal, être contrarié, déboussolé, car c'est là, à ce moment précis qu'il se sent vivant. ›Autre fait notable: il est insomniaque. Il en souffre depuis qu'il a atteint les sept ans, ne connaît pas la satisfaction d'une nuit de sommeil supplantant trois misérables heures. Traité par le passé par des potions induisant le sommeil, il en a développé une accoutumance qui a atteint son point culminant à sa dix-huitième année. La dose massive ingérée l'a plongé dans un bref coma qui a secoué ses parents et incité le jeune homme à opter pour des moyens alternatifs... ›Ensuite, il est profondément, irrémédiablement attiré par le feu. À tel point que, dans un langage moldu cru, on le qualifierait de pyromane pathologique. Il a commencé par des brindilles tout jeune - c'est d'ailleurs par des flammèches que s'est manifesté sa magie - pour finalement qu'une affaire tortueuse vienne être réglée à l'amiable avant son départ d'Italie. Inconfortable avec la perte de contrôle, l'amenant à subir une anxiété invalidante, il apprend petit à petit, un pas à la fois, à créer et gérer des incendies en tout genre. C'est son dada, un peu à la façon de ces vieilles cracmoles qui lisent Sorcière-Hebdo. ›Finalement, il a une peur viscérale des espaces clos, et pourrait même sans hésiter lancer un Sortilège Interdit pour s'en extirper sans le moindre remord. Il n'a pourtant, à son souvenir, jamais été confronté à un évènement de ce genre dans sa tendre enfance, n'en reste pas moins que cette peur le ronge de l'intérieur et il ne répondrait plus de lui-même envers la personne responsable d'un incident le confrontant à cette phobie. › D'autre part, Cesare est un jeune homme fier, ambitieux et terriblement perfectionniste. Il ne se tarit pas d'éloges envers son ascendance, mais n'en pense pas moins. Il ne compte pas s'assoir sur un tel patronyme et ne rien accomplir du tout, au contraire, il aspire à ne pas tomber dans l'oubli une fois mort et compte figurer quelque part dans les grimoires des sorciers des prochains siècles, à n'importe quel prix ou presque. Protecteur et héritier des Cosenza, il voue un respect sans borne à son père qu'il s'amuse pourtant à confronter sur à peu près tout, intouchable de son statut de premier né et dernier représentant de la lignée. Il peut évoluer auprès de tout type de sang, se destinant tout de même à perpétrer la tradition quand le jour viendra - ce qui n'est évidemment pas prêt d'arriver. › Farouche et soucieux quant au sort de sa cadette, Bianca, il n'est pas spécialement expressif vis-à-vis d'elle tout en ne ratant aucune occasion de souligner un échec ou un succès avec un vocabulaire cru et des répliques acides comme il a le don d'utiliser bon gré, mal gré. Il faut tout de même s'assurer qu'un sort peu enviable est réservé à la personne qui heurtera sa petite soeur et que Cesare tout à fait habileté à se montrer plus inventif qu'un simple Doloris...

Le Chaudron Baveur, principal attrait du coin. On y retrouve un potentiel de divertissement élevé alors qu'on est seul et qu'on s'ennuie. Il y a de ces sorciers qui viennent vider leur sac à de parfaits inconnus, se plaignant d'une femme plus cracmole que sorcière vu l'incapacité viscérale à cacher leur aventure avec un collègue de travail, des rendez-vous ratés d'avance entre deux individus parfaitement incompatibles et bien plus encore. Seul par choix, évidemment, il me serait possible d'attirer en deux temps, trois mouvements, la plus radieuse des dernières années de Poudlard se cherchant justement un dernier divertissement hors-cursus avant de réintégrer l'école pour le trimestre. Pour l'ennui, il n'en tient qu'à moi de faire en sorte que cela change, et j'ai l'impression d'être exactement au bon endroit au bon moment pour que cela se produise. Il semblerait que, même si je roule des yeux à toute occasion où mère me le répète, je sois doté de ce genre de talent inné qu'est l'intuition. Ce que j'en conclus? Que je me dirige droit vers un mur, et j'en frissonne presque d'impatience. Comme un gamin qui reçoit un balai dernier cri pour Noël, à plusieurs centaines de Gallions l'unité. C'est pathétique d'une part, j'en conviens, et pourtant il m'est impossible de faire autrement. Je porte ma Bièrraubeurre à ma bouche, regarde droit devant pour remarquer un reflet dans la glace, une silhouette familière et si peu à la fois. Proche, et incroyablement loin en même temps « Laurel ». Mon regard s'incendie, ma mâchoire se contracte et mes jointures brûlent sous les tensions qui leur est imposées alors que je les comprime sans même réfléchir. Déglutir me paraît difficile et il me faut faire preuve d'une incroyable finesse pour ne pas m'étranger sur place. Crispé, incapable de me mouvoir ni même d'esquisser un mouvement, je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle disparaisse de ma vue. Soulagé autant que je peux en être insatisfait, cette apparition trop brève me laissant un goût amer sur la langue. Il serait facile de me lever, de faire volte-face et de la poursuive, peu importe le chemin qu'elle emprunte. Aisé, d'une facilité déconcertante même, mais je n'en fais rien. Toujours tendu au point d'en avoir mal aux articulations et aux muscles pendant un court instant, il me faut attendre que le tenancier du bar s'approche pour que je m'extirpe de mes songes « Un double Whisky Pur Feu sur glace, per favore ». Je n'ai cure du fait que son arcade sourcilière s'arque devant la formule de politesse italienne, j'exulte de satisfaction devant cette souffrance qui percute enfin cette chose au beau milieu de ma poitrine, comme si un Opaloeil des antipodes venait d'y enfoncer les griffes. Ça brûle comme si on y avait mis le feu, son rythme effréné est non sans rappeler ce dont aurait l'air un roulement de tambour si soumis à un patient de Ste-Mangouste et j'ai l'impression d'en avoir oublié un morceau quelque part, une sensation de vide. Là-bas, s'éloignant au rythme de ses pas, sans doute ne me l'a-t-elle jamais redonné. Douleur enivrante, bien plus que le liquide ambré qu'on dépose devant moi. Je le fais tourner entre mes doigts, affligé de ce malaise qui me fait sourire de toutes mes dents. J'ai mal, mais qu'est-ce que c'est bon. Il y a un moment, en effet, que le doute s'insinuait dans mon esprit quant à ma capacité de ressentir, à nouveau, ce même chamboulement dont son apparition est l'unique cause.

« Comment a été l'Australie? ». La question est purement rhétorique, elle n'en attend aucun retour sachant que je n'en parle jamais. En fait, on peut simplement dire que les mots ne me viennent pas naturellement, ou encore je m'évertue à les ravaler, là où personne ne peut les entendre. Je me contente de lui sourire, de déposer un baiser sur sa tempe et de me relever, lissant ma chemise au passage. Bien que ce rendez-vous ne soit pas de ce qui me fasse trépider d'impatience, le temps que peut mettre Bianca à se préparer m'exaspère « T'attendre, c'est agaçant ». Elle se retourne, adresse un sourire qui illumine son visage malgré tout le sarcasme qu'elle tente d'y inscrire « Ne pas avoir de réponse non plus, je te signale ». Il semblerait que ce soit inscrit dans les gênes de la parenté que de s'exaspérer mutuellement. N'en reste pas moins que je m'approche pour replacer une mèche de cheveux qui s'évertuait à rester coincée là, dans ce col qu'elle porte par-dessus son manteau « Dépêche-toi au lieu de râler, ils nous attendent ». À la fois soucieux, protecteur et tellement distant en même temps, ce n'est pas étonnant que la pauvre Bianca puisse être perdue à tenter d'interpréter faits et gestes, paroles et agir. Ce serait plus simple si je n'aurais pas à faire mine de, à réfléchir chaque mot avant de le prononcer et de ne pas se montrer aussi introverti, surtout vis-à-vis d'elle « C'est toi qui traîne maintenant ». Je secoue la tête pour me rendre compte qu'elle est à la porte, impatiente comme elle l'est depuis qu'elle est gamine. Je lui adresse un sourire, m'en approche en offrant galamment mon bras « C'est pour faire mentir les traditions ». Elle croise mon regard, tente d'y déchiffrer quelque chose avant de soupirer sans même tenter de le cacher « Tu me diras, un jour, ce qui te hante comme ça ». Elle prend tout de même mon bras et je porte sa main à mes lèvres, arquant par la suite mon regard vers le sien « Un jour ». Elle ressemble de nouveau à cette petite sœur agaçante qu'elle aura été un temps, jusqu'à ce que mes parents développent l'aptitude de partager attention et amour adéquatement et que leur passion dévorante pour la lignée et la pérennité vienne à renverser inexorablement la situation. Je suis surpris de ne pas la voir sautiller sur place, et mon manque d'enthousiasme semble la refroidir. Alors qu'elle ouvre la bouche, je devance ces mots que je la devine vouloir glisser « C'est promis ».

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

Avec un peu de retard J'ai beaucoup aimé ton personnage Bon jeu !.