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| get him to the greek ı megara | |
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| Sujet: get him to the greek ı megara Dim 21 Avr - 9:35 | |
| megara & teddy are gonna get some fun. J’étais enfin rassuré d’avoir mes pieds par terre, sur le sol ferme de la Grèce. J’ai regardé Megara qui, à côté de moi, avait elle aussi les jambes qui tremblaient. J’avais l’habitude de voler sur un balai, un truc tout léger que je pouvais porter à bout de bras, mais pas dans un gros machin cylindrique qui faisait plein de bruit et qui portait plein de monde. Je n’avais eu que de très rares occasions pour voyager à la manière moldue, et je n’étais monté que quelques fois en voiture et une fois en train. Ce qu’ils appelaient un « avion » m’angoissait plus qu’autre chose et je ne comprenais toujours pas pourquoi Albus nous avait forcé à prendre un moyen de transport aussi lent et cher, d’autant plus que la sang pur qu’est Megara n’avait probablement pas plus d’expérience que moi dans le domaine. Nous avions tout de même réussi à nous débrouiller dans les deux aéroports où nous étions allés, même si les moldus nous toisaient avec interrogation – le même air que celui qu’on avait tous les deux pris en voyant les détecteurs de métaux. Après deux très longues heures de vol tôt le matin (ou en fin de nuit pour les couche-tard) où j’aurais vraiment préféré m’endormir contre le hublot plutôt que de stresser – si jamais on se crachait, ma baguette était difficile d’accès avec la ceinture de sécurité que je ne voulais pas détacher – nous avions finalement atterri. Après un peu de paperasse pour rentrer sur le territoire grec, on a tous les deux regretté de ne pas s’être confectionnés à Londres un filtre antisolaire, parce qu’à cette époque de l’année, il y a beau toujours avoir de la neige dans nos jardins, la capitale grecque était plus que chaude. Elle bouillait. Les gens dans la rue étaient vêtus de très peu de tissus, ce qu’ils appelaient des « shorts » je crois. Moi, j’avais pris avec moi les deux seules tenues moldues que je possédais et celle que je portais consistait en une casquette blanche, un polo blanc lui aussi, un pull-over à losanges et un pantalon en velours côtelé. Je les avais hérité de mon père et j’avais toujours adoré ce style. Les moldus, eux, n’avaient pas l’air d’apprécier autant que je le faisais. J’avais réussi à parler de mon « voyage » en Grèce à quelques collègues du ministère qui m’avaient conseillé une auberge de sorciers qui, d’après eux, était à Athènes ce que le chaudron baveur était à Londres. J’avais donc pris contact par courrier avec la tenancière pour garder une chambre. Notre « couverture » - n’oublions pas que nous étions en mission secrète pour l’ordre – était celle d’un jeune couple en voyage. C’était l’idée d’Albus, bien entendu ; je n’aurais pas proposé ça de moi-même sachant qu’il y avait anguille sous roche entre mon cousin et ma partenaire de mission. Arrivés à l’auberge, nous sommes montés directement dans la chambre en sachant se montrer impatients et rester fidèle à nos rôles. Une fois dans la chambre, j’ai pris mon ton le plus sérieux en ouvrant ma valise. « Accio parchemin. » Un rouleau sortit du fond de ma valise pour venir se loger dans ma main. Je l’ai déroulé sur le lit et je me suis penché dessus, Meg faisant de même. Notre mission, en détails, consistait à vérifier une légende locale. Suite à nos recherches sur les phénix millénaires, un des membres de l’Ordre avait ouï dire, de plusieurs sources, qu’un vieil ermite vivrait dans une grotte qui se situait à une vingtaine de minutes en balais d’Athènes. Bon, cela semble anodin, un vieux croulant qui vit dans une grotte, on en voit à tous les coins de rue. Mais celui-ci serait âgé de plus de trois-cents ans et sa longévité serait due aux pouvoirs de son animal de compagnie qui lui conférait à lui-même un pouvoir infini… Un oiseau de feu qui renaîtrait de ses propres cendres depuis maintenant quelques mille-deux-cent ans. Fumseck ne serait donc pas le seul oiseau qui ait connu Jésus Christ. J’ai examiné le parchemin qui était une retranscription de toutes les informations que nous avions pu récolter jusqu’alors et j’ai hâtivement dessiné un itinéraire sur une carte de la région. « L’ermite se trouverait donc dans le coin de Dimitrios, à vingt-cinq kilomètres au Sud d’ici… Il y a une piste de décollage sur le toit et des balais à louer donc on pourra y aller en volant. Par contre, je pense qu’on devrait passer la journée à réfléchir à une technique et savoir ce qu’on pourrait lui dire. On n’a qu’une chance, sur le coup. » Mes sourcils se fronçaient comme quand j’étais vraiment concentré. J’espérais que Meg, avec l’épaisseur de ses sourcils, n’avait pas le même réflexe, parce que ça devait très mal donner, soit dit en passant. Je me suis levé nerveusement, lançant ma plume sur le lit et j’ai enlevé le pull que j’avais – il faisait chaud. J’ai vu par la fenêtre que l’auberge avait une piscine – probablement d’eau salée car elle coulait jusque dans la mer. J’étais crevé, j’aurais bien évidemment eu besoin d’un peu de détente, cependant j’étais tellement excité et angoissé par l’importance de cette mission que je ne pensais même pas à aller piquer une tête. Réussir à obtenir ce phénix signifiait être à armes égales avec l’ennemi. Et ça, ça fout la pression.
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| Sujet: Re: get him to the greek ı megara Lun 22 Avr - 2:09 | |
| Je passe une main dans mes cheveux et me comptemple dans le miroir. Est-ce que je suis prête? Je n'en ai pas la moindre idée. Je n'ai jamais réellement été prête dans ma vie. Même si j'avais toujours chercher à toujours tout contrôler. Cette obsession m'avait valu d'être nommée chef des conseillers dans l'Ordre. Cela m'avait aussi valu d'être organisatrice de nombreux évènements, pendant un certain temps. Jusqu'à ce que je m'en lasse pour me lancer dans la carrière de tireuse de baguette d'élite. J'étais douée dans tout ce que j'entreprenais, parce que je ne m'en laissais pas le choix. Et parce que ma névrose et mon besoin excessif de toujours tout contrôler ne me laissaient pas le choix. J'attrape du rouge à lèvres carmin et m'en passe sur les lèvres. J'attache ensuite mes cheveux en une queue de cheval haute et me retourne vers Albus assis sur le lit. "donc. tu es en train de me dire, que je vais devoir rencontrer un sans-abris perdu sur une île grecque car il possèderait un phénix?" Je suis nue. Ce qui ne me gêne absolument pas. Et la présence d'Albus n'y change rien. J'enfile pourtant des sous-vêtements. "c'est ça. et ted t'accompagne. vous jouerez un couple en voyage de noce.." Je pince les lèvres et arque un sourcil. L'un de mes merveilleux sourcil. Je le regarde de haut en bas puis me retourne vers mon reflet. "un couple en voyage de noce.. je croyais que ce genre de chose nous était réservé." Je n'attend pas de réponse. Je n'ai pas envie d'en avoir une. J'attrape ma baguette et l'utilise pour faire venir à moi une valise. Je lui lance un sortilège d'allègement et y fais glisser un nombre innombrable de vêtements. J'enfile au passage une robe fine, et une veste en jean. J'ai le chic pour m'habiller léger, à n'importe quelle époque de l'année. J'enfile ensuite mes talons haut préférés puis referme ma valise. "vous irez à l'aéroport et prendrez un avion." Je penche ma tête légèrement sur le côté. "j'ai failli croire qu'on partait à l'aéoroport pour prendre un portoloin. je ne suis pas stupide, albus." Je sais qu'il ne disait pas ça pour me donner l'impression d'être stupide. C'est juste moi qui surréagit, lorsque je suis piquer à vif. Je n'aime pas le fait de devoir partager une couverture de couple avec Ted. Je n'ai cependant pas le choix. "combien de temps est-ce que l'on reste là-bas?" Je range ma baguette dans l'une des poches de ma veste puis ouvre la porte. "les billets ont une durée aller-retour d'une semaine." Je le regarde de haut en bas puis lui souris. Ce séjour en Grèce tombe à pic. Surtout avec la couverture que j'utilise auprès de mon père. Et la Grèce n'est pas un endroit hostile. C'est plutôt un endroit paradisiaque. "bien. tu me prends ma valise?" Ma phrase sonne comme une question. Mais ce n'en est encore pas une. Albus nous laisse Ted et moi à l'aéroport, et je constate rapidement que la plupart des moldus nous regarde avec un air parfois moqueur, parfois contrit. Ma tenue est pourtant agréable à voir. Je fronce les sourcils et regarde enfin Ted. A qui je n'ai adressé aucun regard, ou aucune politesse depuis le début. "oh. teddy. " Je suis embarassée. Réellement. Je lève les yeux au ciel et suit la queue, menant à l'endroit d'embarcation. Je laisse ma valise avec appréhension aux moldus chargé de les acheminés et entre dans l'avion. Ted s'installe contre le hublot et je m'installe près de l'allée. Une hotesse de l'air s'approche de moi. "hum hum." Elle penche sa tête vers moi. "est-ce que vous êtes certaine que ce machin va s'envoler? parce que, selon mon expérience de vol, les objets lourds restent au sol." Elle me regarde, arque un sourcil. Je lui fais un merveilleux sourire. "j'en suis certaine et nous ne rencontrerons que quelques turbulences." Oh. Que quelques turbulences. Je perds mon sourire et me tourne vers Ted. Il stresse. Je lève les yeux au ciel, inspirant profondément pour cacher mon propre stress. Si j'avais eu Albus sous la main, je lui aurai briser la nuque. Je ferme les yeux, et sens le sol bouger sous mes pieds. L'avion s'élance, et j'éprouve un haut le coeur. Terrifiant. Le reste du voyage se passe sans encombres, jusqu'au dites turbulences où je suis obligée de m'agripper à la cuisse de Ted et jusqu'à ce que nous pénétrons dans l'auberge où il nous a trouver une chambre. Je ne m'étais pas attendue à quelque chose d'aussi somptueux, d'aussi grecque. J'imaginai ça comme le chaudron baveur, soit, dégarni et poussiéreux. Au contraire, des pierreries, du marbre recouvraient toute l'habitation. Nous entrâmes dans la chambre. "accio parchemin." Je jette un coup d'oeil à Ted. Il a déjà ouvert sa valise et s'empresse déjà de revenir à notre mission. Quel rabat-joie. Nous avons une semaine pour découvrir ce Dumbledore venu du fond des âges et son oiseau. Quelques heures ou même jours de détente ne nous feraient de mal. Je m'approche malgré tout, et regarde le parchemin avec la plus grande attention. Je me recule un peu lorsque je remarque que Ted nous fait une carte puis m'explique ce qu'il attend de cette journée. "hum, teddy." Je le vois retirer son pull. Je m'avance vers la fenêtre ouverte, donnant une vue parfaite sur une piscine menant vers la mer. Comme un lagon. Le paysage est idillyque. Je me retourne finalement vers Ted, pour terminer ma phrase. "écoutes. nous avons une semaine pour trouver dumby numéro deux et son oiseau. je pense qu'on a mérité un peu de détente, tu ne crois pas? " Je retire ma veste en jean et la jette sur le sol, avant d'utiliser ma baguette et d'amener ma valise vers moi. Je l'ouvre et utilise le sortilège d'attraction pour faire venir à moi un maillot de bain. "profitons de notre lune de miel, amour." Mon sourire se veut enjôleur et mon regard pétillant. J'ai toujours été douée dans les jeux de séduction. J'enlève ma robe et mes sous-vêtements sans gêne. Me retrouvant en tenue d'Eve. J'enfile ensuite un maillot de bain noir deux pièces puis détache mes cheveux. "alors, qu'est-ce que tu en dis?" Je passe un doigt sur mes lèvres, caressant doucement ma lèvre inférieure et regarde Teddy dans les yeux. J'avais prévue de terminer cette mission avec succès, mais pour le moment, j'avais besoin de me détendre. Et je savais que Ted et moi, allions passer un bon moment ensemble. |
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