› NOM : Prescott, un nom de famille commun et répandu. Les Prescott ont bâti une fortune au fur et à mesure des années et les descendants garde farouchement leur héritage, ou l’utilise à des fins caritatives. Rien de très remarquable, une famille bien éduquée et qui a le soucis d’aider les autres.  › PRÉNOMS : Alexander, prénom anglais qui signifie « défense de l’humanité » en grec. Son deuxième prénom Charles est plus banal et vieux, en hommage à un de ses ancêtres. › AGE : Il est âgé de trente ans › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Il est né le treize mai 1998, à Londres. Dans le Londres magique plus précisément, à Ste Mangouste. › STATUT : Il est célibataire, bien que ses parents rêveraint qu'il se marie sous peu, histoire d'assurer la descendance de la famille. Cependant, Alexander a du mal à s'engager dans des relations sérieuses pour le moment. › STATUT DU SANG : C'est un sang-mêlé.  › ORIENTATION SEXUELLE : Il est hétérosexuel. › MÉTIER : Il exerce le métier de Médicomage, à Sainte Magouste depuis quelques années maintenant. Il aime particulièrement taquiner les élèves en formation de médicomagie et a une patience d'ange avec les patients. › BAGUETTE : Sa baguette mesure 27 centimètres, et est rigide, elle a été fabriquée en bois de poirier. Son cœur contient un crin de sombral. › MAISON A POUDLARD : C'est un ancien Gryffondor, curieux, ayant un gout prononcé pour les blagues et courageux, Alexander avait tout à fait sa place chez les rouges et or ! › PATRONUS :  Il peut produire un hippogriffe. › EPOUVANTARD :  Des murs dégoulinant de sang. › CREDIT : Frenchadicted

› UN SORT : Episkey, sortilège qu'il utilise une bonne dizaine de fois par jour, et qui le définit bien. Il est un peu du genre à parler sans penser aux répercutions. Son credo ? "C'est comme un pansement, tu l'arraches, tu as mal sur le coup, mais ça passe vite".  › UNE POTION : Philtre calmant, Alexander peut se montrer très insistant et énervant, mais la plupart du temps et surtout devant ses patients, il a un effet apaisant et tranquillisant. › UN OUVRAGE :Les contes de Beedle le Barde, Alexander a toujours une part enfantine en lui, et quoi de mieux qu'un livre de contes pour le définir ? › UNE PLACE AU QUIDDITCH : Attrapeur, attentif et observateur, pour Alexander, il n'y aurait pas de meilleure place que celle-ci. Après tout, il y a aussi une part de prétention lorsqu'on sait qu'on peut faire gagner un match rien qu'en attrapant le vif d'or ... › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : la poudre de cheminette, imprévisible, ce transport à de quoi vous faire tourner la tête, tout comme notre cher médicomage. › UN MAGE CELEBRE : Merlin, le plus sorcier de tous les temps. Défenseur de ses idéaux et ennemi juré de Morgane une adepte de la magie noire. Et représentant des jurons, "par tous les caleçons de Merlin !" › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : la seconde guerre contre Voldemort, une période où les sorciers ont su montré que l'union fait la force. Il n'y a rien de plus beau. › UNE CREATURE MAGIQUE : Un hippogriffe, aussi fier que loyal, il est clair qu'il ne faut pas non plus chatouiller Alexander là où il ne faut pas ...

› pseudo : Lemon › prénom : Laura › âge : vingt-deux ans. › fréquence de connexion : 5/7 j à peu prés › personnage : iscenario non posté de Lily Potter › groupe : neutre › commentaire ? : si vous voulez des liens avec le sexy Alexander  ma boite MP est totalement ouverte !

Il est né dans une famille de sang-mêlé aristocrate, tolérante et généreuse envers les personnes extérieures, faisant tout pour aider celles qui sont dans le besoin. Cependant, hors de question que les membres de la famille soit des tire-au-flanc, ils doivent travailler malgré la richesse de la famille. (+) Alexander est passionné, tout ce qu'il entreprends, c'est pour se donner à cent pour cent. Une fois parti, on ne l'arrête plus. (+) Il a un frère aîné, et est le petit dernier de la famille. Son frère a cinq ans de plus que lui, et vient d'avoir une fille. Alexander est le plus heureux des tontons et sa nièce va sans finir par crouler sous les attentions et les cadeaux. (+) Il est très sociable et n'est pas du genre à éviter la foule. Jovial, il a petit plus qui donne envie aux personnes de l'approcher car il parait accessible. Cependant, n'espérer pas a voir sa confiance, vous être accordée en quelques secondes se serait de l'utopie. Et oui, il reste tout de même méfiant et n'accorde pas sa confiance à n'importe qui. (+) Généreux, il serait capable de donner sa chemise pour le bonheur des autres, surtout pour celui de sa famille et de ses patients. Il déborde de conseils. Pourtant, il ne les applique pas à sa vie. C'est l'un de ses défauts, il aide les autres, leur donne des conseils, mais il n'est pas capable de redresser le gouvernail de sa vie ! (+) Même lorsqu'il vit une situation difficile, qu'il souffre, il intériorise et ne dit rien. Il garde ses peines et ses souffrances pour lui, pour ne pas heurter les autres. C'est pour cela qu'il peut passer pour un véritable enquiquineur, il préfère reporter l'attention sur les autres. (+)  Il peut paraître impulsif lors de situation d'urgence, mais en réalité, il est réfléchi, et n'agit jamais à la va-vite. Il est toujours entrain de peser le pour et le contre (+) Lorsqu'il n'arrive pas à soigner ses patients, il culpabilise. Pourtant tout le monde sait que l'on ne peut pas soigner tout le monde. (+) Longtemps engagé dans une relation sérieuse, il a perdu sa petite amie dans un accident de voiture. Depuis, il est incapable de s'engager avec quelqu'un.

Chapter one
« MAMAN ! MAMAN ! », criais-je à travers la maison. C'était la première fois que je voyais ma mère dans cet état, je devais avoir six ans. Je m'étais précipité vers ma mère allongée par terre. Elle était entrain de convulser et je ne comprenais pas ce qu’il se passait. J'appelais alors mon père à grands cris, et avec des larmes de peur roulant sur mes joues. Ma respiration me faisait mal, j'avais tellement peur. Nous avions fini par atterrir à l'hôpital Sainte Mangouste, j'attendais sur la chaise de la salle d'attente, l'air hagard et les joues striées de larmes qui s'étaient taries. Mon père revint vers moi, avec mon jus de fruit préféré. Le jus de pêche. J'avais le ventre noué, mais j'acceptais le présent avec un faible sourire. Il me prit sur ses genoux et caressa ma joue. Heureusement que mon frère, Aiden était chez nos grands-parents !  « Elle est où maman ? », demandais-je en fixant mes pieds. Il prit mon menton entre mes mains et m'obligea à le fixer dans les yeux. « Maman va bien. Elle a une maladie, c'est tout. », tenta t-il de m'expliquer. « Comme un rhume ? », l'interrogeais-je, les yeux brillants. « Pas exactement. Je t'expliquerais quand tu seras plus grand. », finit-il par dire, après avoir réfléchi. Je fronçais les sourcils, une moue interrogative, et inquiète sur les lèvres.  « Elle va mourir ? », m'inquiétais-je. Mon père eu un rire, et déposa un baiser sur mon front, en m'assurant que non, ma mère n'allait pas mourir, bien au contraire. Pour faire simple ma mère est atteinte d'un déficit immunitaire, tous les microbes, bactéries, virus … elle les chopes sans exception, et quand elle en chope, il lui arrive – généralement – de faire une crise d'épilepsie avec.

" Bienvenue à Poudlard. Le banquet de début d'année va bientôt commencer mais avant que vous preniez place dans la Grande Salle, vous allez être répartis dans les différentes maisons. […] pour soigner votre tenue.", commença le professeur. J'avais attendu cette entrée à Poudlard comme le Graal. Nous suivions en file indienne, le professeur, traversant la Grande Salle sous le regard des autres élèves. C'était assez impressionnant ! Nous nous arrêtions enfin devant un tabouret, et le professeur nous fit face. " Quand j'appellerai votre nom, vous mettrez le chapeau sur votre tête et vous vous assiérez sur le tabouret.", déclara t-il, et il commença à énumérer les noms un à un, dans l'ordre alphabétique. L'heure de vérité s'approchait lentement. Mon cœur s'agita frénétiquement dans ma poitrine à l'annonce de mon nom. " Prescott, Alexander.", appela le professeur. J'avançais lentement, sentant les regards dans mon dos. Je m'emparais du choipeau et l'installais sur le sommet de mon crâne. "Très bien, GRYFFONDOR !", annonça le choipeau à la Grande Salle. Un sourire radieux apparu sur mon visage. En allant m'installer à la table des rouge et or, j'eus l'impression d'intégrer une nouvelle famille. Normal, mon frère était, lui aussi, présent à cette table.

Chapter two
« MAMAN ! MAMAN ! », criais-je. Cette scène m'était familière, et cette fois, c'était bien plus grave. J’avais dix-sept ans, j’étais en dernière année à Poudlard. J'avais appris à ne plus pleurer, ni même avoir peur face à ses crises, mais là, j'avais l'impression que le ciel me tombait sur la tête ! Elle était d’un blanc cadavérique, ne convulsait plus, mais elle était très faible. Encore une fois, je restais assis dans la salle d'attente. Mon père arriva une nouvelle fois prés de moi, un jus de pêche à la main. Il ne prit pas sur ses genoux, cette fois, mais posa une main sur mon épaule. J'eus un pâle sourire, il n'avait pas besoin de mot, j'étais assez grand pour comprendre. Un médicomage arriva vers nous.  « Madame Prescott est très faible, nous avons peu d'espoir. Je suis désolé. », dit-il. J'eus un haut le cœur et plaquais une main sur ma bouche, en enfouissant ma tête dans les paume de mes mains. Il s'accrocha à moi, m'entourant d'un bras. Je ne pleurais pas, en fait, je ne réalisais pas que je risquais de perdre ma mère d'un instant à l'autre.  « Est-ce qu'on peut la voir ? », demandais-je, il hocha la tête en signe d'approbation. Je me précipitais alors dans la chambre de ma mère. Elle était toujours aussi pâle, comme un fantôme. Je m'emparais de sa main, la portant à mes lèvres.  « Maman, faut que tu te battes ! », la suppliais-je et elle me fit une promesse silencieuse. Mon père travailla dur et moi, j'étais en vacances loin de Poudlard. A peine deux jours après son admission, j'arrivais et sa chambre était vide. Quémandant des informations, on me dit qu'elle avait été transférée ailleurs. Je grimpais les étages, mais on m'interdit l'accès de la salle dans laquelle est ma mère. Le médicomage que j'avais déjà vu, m'expliqua qu'il ne pouvait rien pour ma mère. J'avais envie de lui coller mon poings dans la figure. Un de ses collègues arriva. Une jeune sans doute à peine sorti de l’école « Je peux la soigner !  », déclara t-il. Je fronçais les sourcils, qui me menait en bateau entre les deux ? Ils se mirent à l'écart, le premier n'a pas l'air content et moi, je continue de fixer le deuxième. Il avait l'air de croire férocement en la guérison de ma mère. Il me regarde dans les yeux, je ne me dérobais pas, son attitude me réchauffa le cœur.  « Je peux la soigner. », répète t-il. Je continue de chercher une faille dans son regard. Mais je ne trouve rien autre de la détermination. J'hochais la tête, lui laissant le droit de soigner ma mère. Pourtant, un mois après les doutes m'assaillaient férocement. L'état de ma mère se maintenait, mais rien ne s'améliorait. Alors, je commençais à le traiter de menteur, même si nous avions passé du temps à échanger des conversations sérieuses et plus légères, même si je l'avais vu tous les jours s'évertué à rendre la vie meilleure à ma mère. Tous ces doutes simplement parce que la peur s'accrochait à moi, elle me soufflait que ma mère est souffrante et qu'elle va s'éteindre. Mais, il est encore si déterminé, qu'il m'empêche de partir, qu'il me persuade qu'il peut y arriver. Je vois dans ses yeux, qu'il a juste besoin que je lui fasse encore confiance. Et devant son regard, je ne peux m'empêcher de le croire. Et puis, un mois supplémentaire est passé. Encore et encore. J'étais rentrée à Poudlard depuis le temps, j’avais fini par avoir mes ASPICS avec brio. J’avais choisi la médicomagie pour la suite de mes études. Quelqu'un frappa à la porte, un soir et je fronçais les sourcils, interrogatif. Blue était en Australie pour jusqu'à la rentrée. Et alors, que j'ouvre la porte, je découvrais le médicomage qui soignait ma mère, un soutiens précieux.  « C’est définitif, elle est guérie, Alex, tout est fini !  », m'annonça t-il. L'information mets du temps à se diffuser dans mes neurones. Je le fixais, comme si c'était la première fois que je le voyais. Puis, un sourire vint s’épanouir sur mon visage. C’était fini.

Chapter three
Ce médicomage, Jake, avait fini par devenir le meilleur ami dont je puisse rêver. En plus, j’intégrais la formation en médicomagie avec lui comme collègue, c’était un véritable bonheur. Sauf pour Abigail, ma petite amie. Je l’avais rencontré à Poudlard, sans avoir vraiment fait attention à elle, et je l’avais retrouvé à Sainte Mangouste. Elle était en formation, mais pour devenir secrétaire. Alors tous les matins, je passais devant son guichet, nous nous sourions poliment avant que je franchisse le pas. Les rendez-vous se sont succéder à mon plus grand bonheur. Nous avons fini par emménagé ensemble. Pourtant, le monde n’était pas toujours rose. « Prescott, il faut que tu ailles voir chambre 300 au troisième étage. » « Tu détergeras les bassines du deuxième étage  quand tu auras terminé avec l’inventaire » Être un apprenti médicomage n’est pas aussi drôle que je l’avais espéré, c’était plus la définition d « elfe de maison » dans le vocabulaire de l’hôpital. Personne ne vous considère comme un égal, vous faîtes toujours plus d’heures que les autres, et quand vous rentrer à la maison pour retrouver votre petite amie, vous êtes bien trop épuisé pour mener une conversation digne de ce nom. Ce fut la cause de nos toutes premières disputes. Je rentrais trop tard, je la prévenais toujours à la dernière minute, et je la laissais souvent seule comme de nombreux hommes qui font passer leur carrière avant tout. Elle va souvent dormir chez ses parents quand je suis de garde, et cela n’améliore pas vraiment notre relation, j’en suis certain. Mais au cours d’un long travail, je finis enfin ma formation, je deviens médicomage, j’ai vingt-trois ans et je pense que je pourrais enfin m’occuper d’elle convenablement. Mais le calme fut de courte durée. Jusqu’à ce fameux soir, le soir de noël en fait. « Tu avais promis après ta formation que tu ferais tout pour te racheter ! » , suppliais-t-elle dans l’entrée de l’appartement. « Abby, tout mais pas ça, on va mettre des heures pour arriver chez ton père, il y a des moyens tellement plus rapides. » « J’adore conduire, je veux conduire, on est en avance et on a tout notre temps, s’il te plaît. » Je grognais de manière comme un homme des cavernes, mais elle a gagné et je le sais, elle aussi d’ailleurs puisque son sourire s’étend jusqu’à ses oreilles. Elle m’embrasse, prend les clés de sa voiture et me traîne jusqu’à l’objet métallique. Je déteste cet engin et pourtant, je vais lui faire confiance, une fois de plus. Alors qu’on est sur la route depuis environ une heure en ce vingt-cinq décembre, en direction de la maison de ses parents pour un repas familial, je me penche vers elle et lui embrasse cette partie si sensible sous son oreille. Elle penche le cou, pour se dérober ou me donner un meilleur accès, je ne saurais le dire mais elle ne proteste pas. Elle rigole et me chasse d’un geste de la main, tournant la tête pour essayer d’avoir l’air sévère. « Arrêtes de me déconcentrer… » Mais là, le pire arrive, je vois les phares de l’autre engin métallique mais le cri reste coincé dans ma gorge, je ne peux pas la prévenir, c’est bien trop tard. Nous sommes percutés de plein fouet, nous nous retrouvons la tête à l’envers et je n’entends pas Abby. Je suis un sorcier coincé dans une boîte en métal, écrasé, la tête en bas, blessé et je ne peux rien y faire. J’entends le sang qui goutte, sans pouvoir dire s’il s’agit du sien ou du mien. La tête commence à me tourner, je sais que je perds du sang mais j’ignore d’où, je ne sens pas mon corps, j’ai les doigts engourdis. J’attrape la main d’Abby et la porte à mes lèvres, sans vouloir me rendre compte qu’elle est étrangement froide. Dans un murmure, je prononce des mots que je ne lui ai jamais dit, des mots qu’elle n’a jamais entendu. « Je t’aime, ne me laisse pas… ». J’ai vingt-quatre ans, je suis médicomage, j’ai tué ma petite amie, j’ai raté ma vie.

Chapter four
« Aujourd’hui, arrive les étudiants en médicomagie, je compte sur vous pour enseigner le mieux possible. Soyez patient, accompagnez-les, soyez leur seconde famille. », disait le directeur de l’hôpital. Je croisais le regard de Jake, toujours mon collègue après tant d’années. Compagnon de beuveries, soutiens sans faille de ma peine et surtout de mon caractère de con. J’étais devenu un con. Voilà quatre ans qu’Abby est décédée, et je ne l’avais jamais remplacée, m’enfonçant encore plus dans le travail et dans les conquêtes d’un soir. Mon attention se reporta ensuite sur le petit groupe d’étudiant qui franchit les portes de l’hôpital.  Je l’aperçois tout de suite, sa crinière rousse. Je croise son regard, et je souris. Qu’est-ce qu’il me prends là ? Jake me donne un coup dans les côtes. « Tu as vu ça, il y a la fille Potter. », dit-il en riant. S’il n’avait pas trente six ans, un gamin et une femme, on aurait pu croire un gamin qui croisait une célébrité. « Et alors ? », je lance avec un sourcils arqué. Jake me regarde en haussant les épaules. Je n’avais rien contre les Potter, bien au contraire. Le père nous avait sauvé d’une fin apocalyptique, mais ce n’était pas une raison pour qu’elle soit traité autrement. Chaque médicomage devait maintenant encadré deux à trois apprentis, j’avais hérité de la mini Potter. Mais pour moi, c’était une fille comme les autres, belle et intelligente, mais comme tout le monde. Bon d’accord, je reconnais que je m’acharne un peu sur elle, dés que je la vois. Des piques, j’aime la faire sortir de ses gonds, c’est très délectable. Comme une pulsion à laquelle on ne peut pas résister. Et malgré tout ce que j’avais pu faire pour l’enquiquiner, elle avait résister. Comme un coquillage sur son rocher, elle était faite pour ça. Deux ans plus tard, elle est toujours là. Elle et sa crinière. Jake dit que je suis attirée par elle, mais je me contente de lui rire au nez à chaque fois, après tout, on a dix ans de différence d’âge. Et à chaque fois, il essaie de glisser ça devant ma mère, histoire de bien créer des conflits. Mes parents sont tellement pressé d’avoir une descendance et un nouveau mariage a fêter que c’est devenu le sujet tabou. « Alors mini Potter déjà fatiguée ? Ca promet tout ça. », lâchais-je en provoquant un soupir de mécontentement de sa part. « Laisse-moi tranquille Alexander, si t’as raté ta vie ce n’est pas pour ça qu’il faut pourrir la mienne. », répondit-elle, avant d’ouvrir les yeux pour me fixer. Que cette fille pouvait être perspicace parfois ! Pourtant, je repris contenance quelques secondes plus tard avant de répliquer. « De mauvaise humeur aujourd’hui Potter ? C’est cette période du mois ? » . Je vis sa bouche s’arrondir, j’avais oser faire une blague dans ce gout là, c’était stupide mais sa tête en valait largement la peine. « La ferme Alexander, je suis pas d’humeur pour tes conneries aujourd’hui et je n’ai pas le temps pour tes conneries.», déclara t-elle avant de sortir de la salle d’un pas décidé. Voilà notre petit jeu, mon petit jeu plutôt. Je m’acharne à la faire bondir, c’est toujours aussi drôle. Enfin, maintenant, la teneur du jeu à changer. Depuis qu’elle m’a embrassée, deux fois, et surtout qu’elle s’est carrément déshabillée devant moi. Je dois dire qu’elle n’est pas désagréable à regarder. Il ne s’est rien passé. Ca aurait pu être une fille de plus. Mais non, c’est Lily Potter. Lily Potter bourrée, ce n’était pas une bonne idée ! Et pourtant … Bref, avant de partir, je lui ai laissé un petit avant gout de notre nouvelle partie. Elle n’avait pas l’air si dégoutée que ça, et moi non plus d’ailleurs …

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

J'ai reçu un mp express de la petite terreur rousse :mdr:en tout cas j'adore le personnage, c'est trop triste pour sa girldfriend  ouais et la mère, aussi (enfin jveux dire, qu'elle ait été malade anyway xD c'est triste  ) .