PRÉNOM & NOM : Elladora Z. Crabbe
DON/PARTICULARITÉ DÉSIRÉ : Lycanthropie.
MOTIVATIONS : Alors, pourquoi ? C'est vrai que dans la fiche de Elladora de base, j'avais précisé que l'homme qu'elle aimait c'était fait tué par un loup garou. J'ai toujours voulu en jouer, mais il c'est avérait que j'oubliais souvent de sortir ce petit atout en plus par conséquent, je le fais maintenant. Ce que cela peut apporter à mon histoire ? Vous le verrez bien, même si à la base, j'ai décidé que Ella ne montrerait que très rarement ses véritables émotions, avec cette particularité, tout sera plus développé, alors elle risque d'avoir de plus en plus de mal à garder son calme. Sachant que je l'avais mise dans le département des créatures magiques, cela peut être assez amusant de voir qu'avec le Crise et l'attaque qui fait qu'elle sera devenue un lycan, elle soit en train de perdre son boulot donc assez sympathique.
TEST RP :
S'il y avait bien une chose que détestait Elladora en ce moment était bien son nouveau statut, celui de lycan, comme si elle pouvait y faire quelque chose. Elle a constamment mal partout, tous ses muscles se tendent dès qu'elle sent qu'il se passe quelque chose d'anormal. Ella n'aime pas ce genre de situation, surtout que lorsqu'elle rentre d'une pleine lune, tout s'accumule, la bête en elle prends de sa superbe, chose qu'elle déteste. Cependant, elle fesait avec, maintenant, elle ne doit plus vivre, mais bien survivre, voilà, la différence de sa misérable vie. Comme si cela ne suffisait pas dans ses temps, plus ou moins morbides, non, il fallait qu'elle se soit faite mordre il y de cel trois mois. Elle était rentrée chez elle et son meilleur ami la regardait d'un air inquiet, que pourrait-elle lui dire ? Elle n'avait aucun souvenir de la nuit et ne pouvait donc lui dire si l'insatiable bête avait pris le dessus et avait éliminé un innocent ou non. Par conséquent, elle s'éloignait, de plus en plus de Ephram, principalement afin de le protéger de la bête qu'elle était en train de devenir. Reviens-moi. Elladora regardait désespérément son meilleur ami, alors qu'il lui parlait, elle n'entendait pas tout ce qu'il était en train de lui dire, cependant, elle faisait son possible pour le comprendre. Même si sa tête lui faisait un mal atroce tout comme ses membres, pour elle c'était comme si elle avait finie par passer sous le Poudlard Express. Sauf que le lendemain de pleine lune, depuis maintenant trois, la fille Crabbe avait le droit au même rituel. Un oubli total de ce qu'il s'était passé pendant la nuit, trou noir total, elle ne pouvait pas se rappeler ce qu'il avait bien pu se passer. La bête prenant le dessus sur elle et la laissant simplement dans un flou idéal pour qu'elle ignore tout ce qu'elle avait bien pu faire. Cette bête sanguinaire, qu'elle s'avérait être à présent, Elladora recula dans un premier temps, préférant laisser de la distance entre elle et Ephram. Celui-ci ne devait pas comprendre ce qu'il lui arrivait. Enfin si, il savait pertinemment qu'elle ne voulait pas lui faire du mal, alors elle s'écartait, comme lorsqu'elle fuyait l'endroit où ils vivaient afin de ne pas le toucher lors des pleines lunes. Laisse-toi faire. La jeune femme secoua la tête en continuant de reculer alors que lui s'approchait d'elle, elle ne voulait pas avoir de mouvement brusque ou quoi que ce soit qui puisse le blesser. Il devait bien se rendre compte, qu'elle avait bien trop peur pour lui, pour qu'elle le laisse l'approcher aussi facilement qu'avant non ? Arrêtes de penser que tu es un monstre, tu ne l'es pas. Un petit rire sort de la bouche de Elladora qui le regarde en se demandant, s'il est réellement sérieux. Cependant, elle sait pertinemment que si Ephram dit quelque chose dans cette idée, c'est qu'il s'avère l'être et elle a donc aucune chance de le faire changer d'avis au jeune homme. Prouve-le. Il s'approcha de nouveau d'elle, alors qu'elle ne pouvait plus reculer, elle aurait pu glisser sur le côté si elle voulait l'empêcher de le faire. Il y avait toujours eu un petit jeu entre eux, celui du chat et de la souris, ils changeaient souvent de rôle étrangement, le prédateur s'avérait être le jeune homme à ce stade. Tout posant ses mains sur les hanches de la fille Crabbe, il la regardait d'un air amusé, jusqu'à ce qu'il décide de l'embrasser. Le contact avec Ephram faisait beaucoup de bien à Ella, elle le savait, mais elle le refusait en général, il calmait son mal-être. Je ne ferais pas cela si tu l'étais. Elladora le regardait en repensant à la réaction de ses parents, pour eux le fait qu'elle le soit devenue était une honte quelque chose qu'elle devrait cacher. Chose qu'elle tentait de faire, mais n'y arrivait pas vraiment. S'il fallait qu'elle évite les siens, elle le ferait après tout, même si cela lui ferait du mal, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait cru. Tu ne devrais pas. S'il y avait bien une chose que les Crabbe avaient inculqué à leur fille était que les loups-garous n'étaient que des créatures, bien plus basse que les sorciers et par conséquent elle commençait à penser de cette manière pour elle. Elle n'était plus rien et le savait pertinemment, sauf que son mal de crâne reprenait son ampleur et il valait mieux pour elle qu'elle s'allonge dans le noir afin d'essayer d'oublier cette sensation. Sensation qui restera pour toujours au fond d'elle. en cours.
AUTRE CHOSE (à préciser) : je vous aimerai encore plus si vous êtes d'accord  .

Bah du coup je rajoute mon grain de sel pour donner mon avis  comme mes collègues, je suis parfaitement indécise, et ce n'est pas à cause du test rp, des fautes ou quoi (ça, même pour ta fiche ça doit compter, ou même si ton personnage n'a aucune habilité quelle qu'elle soit), c'est surtout à cause du manque cruel d'informations que tu mets. Comme le dit Amina/Alice, si on demande "ce que ça peut changer au personnage" ce n'est pas pour rien, mais bel et bien pour que ça nous aide à prendre une décision : si le but c'est seulement de construire ton histoire d'amour entre Ella et son meilleur ami, il y a plein de moyens qui ne requièrent pas une morsure de loup-garou  certaines personnes pourraient en faire meilleur usage que toi, ou trouver un meilleur moyen de le caser dans une histoire : donc bref, moi avant de me décider, j'aimerais savoir clairement ce que ça impliquerait dans la vie de ton personnage, et de quoi ça découlerait - les loups-garou ne courent ouvertement pas les rues (c'est pour ça qu'ils sont si mal vus), alors il faudrait une raison - je pense quand même - pour que Elladora précisément soit mordue par un loup-garou, et les enjeux que cela peut impliquer.

D'autant qu'il faut bien se renseigner sur comment est un loup-garou dans l'idée de JKR :hum: on reste sur un forum Harry Potter, alors il n'est pas question de s'attacher à d'autres œuvres parlant de loup-garous, du coup irrémédiablement, on en revient aux points suivants : forcément que ton personnage perdra son travail, et il faut savoir que dans la société magique du temps de Harry Potter, seul Dumbledore a accepté d'offrir un travail à quelqu'un comme Lupin. Avant, après, il n'a aucun travail et est traité avec la plus grande méfiance (c'est pour ça qu'il cache surtout sa "différence"), ce n'est pas mettre ton personnage dans "des petits tracas" que de le faire loup-garou. Alors forcément on peut dire "wait and see" sauf que je pense qu'il y a de réels enjeux exploitables pour faire un personnage en loup-garou, et je ne les vois pas dans ce que tu présentes ici  mais je te laisse libre à toi de poster suite à ces messages pour mieux nous expliquer ce que tu comptes faire d'Elladora loup-garou, ce que tu veux concrètement amener avec ça, si ce n'est un sentiment de "puissance sauvage" qui peut influencer ton personnage dans tel ou tel événement  

PRÉNOM & NOM : Cole Parkinson
DON/PARTICULARITÉ DÉSIRÉ : Occlumens particulièrement doué.
MOTIVATIONS : Bonjour aux membres du staff. Je souhaite acquérir ces deux dons pour mon personnage car j’aimerais faire de Cole un agent-double dans la guerre. En effet, il vient d’une famille à sang pur et a longtemps eu les valeurs qui allaient avec son ascendance, mais son mariage avec la très fraîche Hestia l’a tout doucement fait changer d’avis. Très tôt, il a donc décidé de pratiquer l’occlumancie pour garder secret le changement dans son cœur. Récemment, il se serait mis à l’étude de la légilimancie afin de renforcer sa position en tant qu’espion ; une position qui – il le réalise très bien – est précaire et dangereuse. Il pense que s’il peut pénétrer à leur insu l’esprit de personnes mentalement plus faibles dans le camp obscur, il obtiendra une valeur certaine pour l’Ordre et ça pourrait donc jouer dans le maintien de sa relative sécurité. Ainsi, maîtriser ces arts de l’esprit serait un prérequis nécessaire au projet de personnage que Hestia et moi avons fait : ça permettrait à Cole d’être un espion avec un rôle véritable à jouer dans le futur : un rôle de double-jeu, de cachoterie dont dépend sa vie et qui permettrait d'exploiter le don en jeu (je suppose à votre convenance, si dans le développement du forum vous voulez assigner à ce personnage des choses à faire ou non. Je précise par ailleurs que je ne suis pas contre le fait que cela attira des problèmes possibles à mon personnage). D’un point de vue plus pragmatique, cela serait une véritable chance pour moi, dans le sens où j’ai déjà joué par le passé un lycanthrope, mais n’ai jamais joué un personnage qui avait un « don » qu’il avait dû travailler pour obtenir ; cela consisterait donc en une nouveauté scénaristique à explorer pour moi et me permettrait, en outre, de jouer une sorte de personnage plus nuancé au point de vue idéologique que je n’ai encore jamais eu l’occasion de jouer : un espion. En effet, j’ai rarement eu l’occasion de jouer autre chose qu’un membre de l’ordre convaincu, un mangemort tout endoctriné ou une personne neutre et je pense aujourd’hui avoir la maturité nécessaire (autant au niveau de mon âge que de mon expérience de vie), pour jouer un personnage plus complexe à ce niveau-là.

TEST RP :
+occlumens 

Une énorme, gigantesque maison. Un monstre imposant. En visualisant son esprit, c’est ainsi que Cole avait donné une image à ses pensées et à ses secrets les plus intimes. Depuis qu’il avait réussi à poser une réalité virtuelle sur de la pure pensée, l’occlumancie s’était révélée bien moins complexe pour lui. Si une pensée étrangère effleurait son esprit, Cole s’imaginait simplement, dans un coin de son esprit, occupé à accueillir cet invité inattendu : il lui présentait alors la maison, répondait à ses demandes à voir l’un ou l’autre souvenir, à examiner tel ou tel sentiment en le conduisant sans la cuisine, le long couloir qui menait aux chambres à coucher et en passant avec désinvolture sur les lattes soulevables du plancher virtuel en dessous duquel il avait caché ses souvenirs les plus dangereux, en se positionnant avec naturel devant le coffre décoratif qui contenait sa peur vibrante pour que le visiteur, satisfait du tour qu’il recevait – et qui paraissait si transparent – se détourne de lui-même de ces détails fatals et reparte, content d’avoir déambulé avec ce qu’il croyait être la plus grande liberté dans le labyrinthe sophistiqué de l’esprit de Cole Parkinson. Il lui avait néanmoins fallu des années d’entraînement pour parvenir à ce résultat : il n’avait d’abord été capable que de vider son esprit et donc de présenter une page vierge à tout lecteur de pensée indiscret. Mais cela était beaucoup trop suspect, beaucoup trop flagrant : c’était comme d’hurler qu’il avait lancé un sortilège pour rendre l’encre invisible.

Il ne s’était donc pas arrêté là et avait continué à développer l’art de l’occlumancie : ses progrès allèrent de paire avec son amour grandissant, dévorant, pour Hestia Slughorn. Plus il l’aimait, plus ses convictions périclitaient, et plus le jeune Parkinson ressentait le besoin impérieux, urgent et vital de protéger des curieux ce changement bouleversant qui se passait en lui. Plus il aimait la pétillante rousse et plus la vie lui présentait des aspects qu’il n’avait jamais suspecté d’exister auparavant : la compréhension, la tolérance, le rire insouciant. Même sans être aimé d’elle, il trouvait la touchante fraîcheur de la jeune femme contagieuse. Ses manières délicates et douces avaient plus violemment secoué son horizon que toute claque ou engueulade qu’il avait pu recevoir dans sa vie de la part des pro-moldus. Il avait été métamorphosé par l’amour et avait métamorphosé son esprit de concert, terrorisé à l’idée qu’Alaric Slughorn ou que son propre père ne découvre un jour la vérité : qu’au lieu de lui attirer Hestia dans leur monde, il avait été attiré dans celui de la belle, un monde plus ouvert – un monde plus dangereux pour un sorcier de sang pur.

Cole soupira légèrement en soulevant la couette du lit conjugal et se glissa entre eux et le matelas. La fraîcheur du lit lui donna la chair de poule et il se recroquevilla sur lui-même, en position fœtale, afin de tenter de s’apporter un peu de chaleur. Il aurait tant préféré aller se coller au dos d’Hestia, son épouse, sa moitié, mais il savait à présent que cela n’aurait pas plu à la jeune femme. Oh, elle l’aurait sans doute laissé faire – devoir oblige – mais où était le plaisir d’un tel geste, s’il n’était pas apprécié par la personne qui le recevait ? Alors le jeune Parkinson se contentait de se rouler en boule, comme un enfant, dans le lit qui aurait dû être celui de l’amour. En fermant les yeux, il déclencha son rituel : il se visualisait faisant le tour de la maison inhabitée qui trônait en son âme et fermait chaque placard à double tour, vérifiait la solidité de chaque double-plancher, enfouissait dans le recoin le plus reculé son amour dévorant, presque toxique pour Hestia et disséminait dans les caches et recoins de la bâtisse imaginaire le double-jeu qu’il avait décidé de jouer ; demain il annoncerait au monde qu’il démissionnait de sa place très enviable de ministre à l’âge beaucoup trop jeune de trente ans et il lui fallait s’assurer maintes et maintes fois que ses intentions véritables étaient et demeureraient invisibles.

AUTRE CHOSE (à préciser) : Il va sans dire que je profite de cette demande de don pour coupler une demande comme espion, comme je me doute bien que tout le monde ne peut pas être espion sur le forum. Je tiens également à vous assurer de ma motivation vis-à-vis de ma future possible implication pour le forum ^^. Merci d'avance pour l'attention que vous porterez à cette demande, quelque soit la réponse

Alors, alors. Je profite d'avoir un peu de temps pour donner mon avis (et je suis désolée du grand retard).

Donc Ella, pour moi, je suis d'avis des filles malheureusement. Ce sera non également. Je ne vois pas ce que cela peur apporter à ton personnage et tes motivations ne m'ont pas conquise. Bref, je vais éviter de répéter ce qui a déjà été dis.

Quant à Cole, l'idée d'un agent double est très intéressant, et il est vrai que ces deux dons pourraient beaucoup lui servir dans son double-jeu. J'ai beaucoup aimée ton test rp et tes motivations n'ont fait que renforcer mon avis pour t'accorder un oui ! (j'ai l'impression d'être dans le jury de la nouvelle star )

Merci beaucoup à tous les trois d'avoir pris le temps de lire et en plus d'accepter  Je continue donc ma fiche le plus vite possible et si tout va bien, je devrais l'avoir finie d'ici demain midi maximum  

PRÉNOM & NOM : Vulcan Parkinson

DON/PARTICULARITÉ DÉSIRÉ :  Legilimencie

MOTIVATIONS : Alors, tout d’abord, il s’agit d’un don qui est mentionné dans le scénario et si je sais que ça n’a pas de « poids » dans votre décision et qu’il faut que je fasse mes preuves, mais je sais aussi que c’est intéressant, comme situation, d'un certain point de vue. Ce n’est pas un don que j’ai l’habitude de jouer, vers lequel je gravite et pourtant, j’ai souvent des personnages borderline-sociopathe… Non, là c’est nouveau, frais, intriguant et je réalise les possibilités que ça peut donner pour quelqu’un qui, comme Vulcan, est un beau-parleur, un charmeur, un manipulateur… C’est une autre dimension pour le personnage… et c’est aussi un signe d’appartenance au clan Parkinson. Cole, qui est supposément son ainé, est Occlumens, ce qui signifie que la famille a des prédispositions aux particularités mentales et autres petites sournoiseries. Je vois aussi ça comme quelque chose capable de le rendre particulièrement instable, ce qui est un trait qu’Evelyne a mentionné dans son caractère. En effet, pour quelqu’un d’un peu fragile déjà, sortant d’Azkaban, être capable de fouiller dans les plus sombres secrets, les tourments, les souvenirs des gens qu’il cherche à embobiner, à avoir à sa merci, ça peut s’avérer très délicat. Pas jusqu’à appeler ça de l’empathie, parce que clairement, Vulcan peut choisir si oui ou non il désire être dans les pensées de quelqu’un mais je le vois bien se retrouver face à des images qu’il n’aurait surement jamais voulu avoir sous le nez. C’est pourtant plus fort que lui, comme un penchant un peu pervers, comme une sorte de petite victoire sur les gens ne se doutant de rien mais dont il viole l’intimité comme un cambrioleur fouille dans les affaires de quelqu’un à la recherche de la perle rare.

En ce qui concerne l’utilisation du don, je pense avoir suffisamment d’expérience dans le monde du RP ( et de l’administration ) pour savoir qu’il est agaçant qu’un membre n’utilise pas son don et monopolise une place, c’est pourquoi je suis prête à m’engager à en faire ‘bon’ usage (le ‘bon’ étant tout relatif, Parkinson oblige :hé : ) sans pour autant en faire un trait de superhéros-tout-puissant, loin de là. Vulcan n’ayant que 27 ans et étant fragile sur le plan psychique, il est impossible qu’il soit infaillible et qu’il abuse de ce don. A vrai dire, je le vois bien s’être provoqué des sortes de crises d’épilepsie, à Azkaban, à forcer pour tenter dans le crane d’un de ses camarades d’infortune et sortir de ses propres idées, du chaos qui régnait dans sa propre tête. J’ai aussi l’image d’un « white noise » lui tapant sur les nerfs lorsqu’il se retrouve face à quelqu’un opposant une quelconque résistance, consciente ou non. Comme le crachat d’une radio mal réglée ou la distorsion d’une musique jouée trop fort sur de mauvais ampli. Lorsqu’il est fatigué et/ou contrarié et tente d’utiliser le don sur quelqu’un d’un tant soit peu solide, il se retrouve avec ce bourdonnement qui aurait de quoi rendre fou n’importe qui. Oh et potentiellement, il a fait l’erreur de fouiller la tête du né-moldu qu’il était en train de tuer, avant son séjour à Azkaban. Les images le hantent, mais comme l’affaire a été étouffée, il ne pourra pas en parler, raison de plus de le rendre changeant et un peu dangereux, sur le plan psychotique de la chose :face : ( il est sain, ce petit ).

Il y a pourtant une certaine élégance dans ce don. C’est sale mais ça ne tâche pas, si vous voyez ce que je veux dire. Ca ne laisse pas de trace, c’est indolore, incolore… comme de l’ether sur un mouchoir pour endormir une victime. Et ce côté classique, presque gracieux, colle bien à une vieille famille de sang-pur aux méthodes un peu discutables. Cette capacité à détruire le monde mais sans briser l’étiquette mondaine un peu surannée, cette volonté de s’imposer, de façon pernicieuse sans trop remuer l’air poussiéreux percé de soleil qui flotte dans les pièces oubliées d’un manoir anglais ( c’était l’élan lyrique :arrow : ).

J’espère avoir su défendre mon cas, un minimum. La suite dans le test RP.

TEST RP : A constellation of tears on your lashes, burn everything you love then burn the ashes – La nuque tendue, il pencha la tête sur le côté pour faire craquer les dernières vertèbres séparant son dos et son crâne, ce même bloc d’os et de matière cérébrale qui, à cet instant présent, lui semblait bien trop lourd. Il ferma les yeux et, relevant un peu le menton, il présenta son visage à la nuit qui, doucement mais surement, tombait sur cet îlot décharné au large de l’Angleterre. Il ne faisait pas beau, loin de là à vrai dire, mais il s’en moquait bien. Chaque embrun battant contre ses traits, chaque once de sel s’appliquant méthodiquement sur les coupures fraiches qu’il s’était infligé malencontreusement en se rasant trop vite, lui prouvait qu’il était vivant, lui prouvait qu’il était libre. Il pouvait encore les sentir, derrière lui, les Détraqueurs qui se pressaient contre les murs, surement excités à l’idée des visiteurs présent, ceux qui portaient encore un peu de bonheur à suçoter hors de la coquille, comme un gosse trop gâté s’acharne et se casse les dents sur un roudoudou sucré. Il pouvait les sentir mais il ne trembla pas, pas vraiment du moins. Ce ne fut qu’un frémissement qui le secoua alors qu’il faisait quelques pas en avant, s’éloignant de la porte d’entrée trop bien gardée de la prison sorcière. Azkaban. Il ne voulait plus y penser, il voulait s’en échapper totalement, oublier chaque détail, chaque nuit, chaque hurlement, chaque ongle qu’il s’était arraché sur les pierres de sa cellule, à essayer de sortir pour s’échapper. Il voulait oublier ses transes, aussi, et la bave au coin de ses lèvres lorsqu’il perdait le contrôle, à s’accrocher à ces idées de bonheur que les autres prisonniers gardaient jalousement. Combien de fois, à fouiller de la sorte, s’était-il sentit comme une de ses créatures putrides et faméliques ? Il serra les dents, puis ses mains, formant des poings et sentant ses articulations blanchir sous la pression. « What on earth are you waiting for ? » demanda-t-il sans même se retourner. Sa mère était là, plantée au milieu de l’allée fantomatique menant à la grille. Elle semblait trop secouée pour bouger mais Vulcan n’en avait rien à foutre. Elle avait peut-être perdue un fils dans cette prison mais ce n’était pas elle qui avait dû passer des mois entiers là-dedans. « Can we leave, for fuck sake ? or do you want to take a damn photo, for recollection purposes ? » sa voix était sèche, cassante, mais les mots buttaient contre ses dents, trop pressés de sortir. Trop longtemps s’était-il retenu de parler, se retrouvant à marmonner des inepties dans ce sommeil décousu qui était à présent le sien.

Elle se mit finalement en route et lui pressa le pas. Au loin, il pouvait voir une silhouette familière se tenant là, bien droite. Comme un gamin, il se surprit à avoir peur d’une rouste, d’un sermon, d’une avoinée bien méritée, vu les conneries qu’il avait pu faire… Au fond, il savait que la seule chose mal qu’il avait pu faire, s’était se faire attraper et ternir un peu plus la réputation des Parkinson. Il avait tué un né-moldu, il avait dépassé les bornes, sa sentence avait été lourde… Il ne voulait plus y penser, seulement ses petits talents bien particuliers ne marchaient pas de la sorte. Il ne pouvait pas couper l’alimentation de son cerveau, il ne pouvait pas bloquer ses propres pensées. Il avait essayé, de nombreuses fois, ayant l’impression d’être sur le point de faire éclater sa cervelle sous la pression. Non, il fallait qu’il se concentre sur autre chose pour cesser de réfléchir. Remontant son sac sur son épaule à présent osseuse, il secoua la tête et inspira profondément. L’air était pur, en dépit du chaos qui se trouvait à quelques centaines de mètres de là. A chaque pas qu’il faisait, ses semelles frappant la pierre lisse et humide, il pouvait entendre les hurlements qu’il avait emmagasinés… A nouveau, il secoua la tête. Tic. Salvation. Peu importe. Il devait s’accrocher à quelque chose pour ne pas perdre pied. Par dépit, il plongea dans les pensées de la personne la plus proche. Il avait tendance à éviter de faire ça et bien vite, il se souvint pourquoi. « Les gens vont savoir où il était » pensait sa mère au même instant. Comme un merdeux qu’on venait chercher après une heure de colle, il se retrouvait à présent face aux mensonges de sa génitrice. L’Europe de l’Est, les fabrications éhontées pour justifier son absence, les rires légers, la vie confortable pendant que lui payait le prix fort d’une éducation qu’il n’avait pas choisi. Ils l’avaient couverts, oui, mais c’était pour se préserver. Accélérant le pas, il changea de victime, dardant un regard immonde sur son père qui arrivait à présent à hauteur. C’était plus qu’il n’était foutu de pardonner, c’était… « Sale petit con, incapable de se tenir et de nettoyer le sang qu’il a sur les mains. Sale petit con qui se retrouve à l’ombre à cause d’un foutu né-moldu. Tu parles d’une honte. Tu parles d’un fils… » et Vulcan détourna le regard, ses yeux se rivant sur le pavé alors que ses mains se serraient à lui en arracher un léger glapissement. C’était une chance, au fond, qu’il n’ait plus de baguette pour le moment, parce qu’autrement, il aurait tué cet homme devant lui avant de prendre un nouveau ticket pour Azkaban. Cherchant à se détacher, tendant simplement sa manche pour qu’on l’attrape et qu’on le fasse transplaner jusqu’à cet endroit qu’il n’arrivait plus à appeler « maison » en dépit des souvenirs auxquels il s’était accroché pendant sa peine, il réalisa bien vite qu’il n’était pas foutu d’ignorer les deux puits sans fonds de déception et de honte que représentaient ses géniteurs. Tout comme il ne saurait s’empêcher de vouloir remonter la pente, faire ses preuves et se racheter, il n’était pas foutu de s’extirper des coups de fouet mentaux qu’ils lui filaient chacun à tour de rôle, le lapidant, ne faisant de lui rien de plus qu’un petit garçon fautif. Pas un jeune homme, pas un sorcier à part entière, juste une tâche sur le tapis que l’on dissimule comme un peu pour que personne ne juge trop vite pendant le thé.

AUTRE CHOSE (à préciser) : BONSOIR :face:merci pour le temps passé à la lecture de ce charabia. Je tiens à préciser, également, qu'il s'agit là d'un RP que je n'ai pas spécialement relu, de façon à ce que vous ayez une idée sincère du niveau. Le français n'étant pas ma langue maternelle, il m'arrive de faire des fautes, d'avoir une syntaxe étrange. Je pourrais évidemment corriger pendant des heures mais honnêtement, je n'aurais jamais la patience de faire ça en RP normal donc autant donner une idée réaliste de ce à quoi vous pouvez vous attendre, if that makes sense.

Haon *câline*
Merci, t'es adorable ♥