› Avez-vous déjà entendu parler de la légende du Phoenix ? Qu'est-ce que vous en pensez ? : Je me souviens en partie des contes de Beedle le Barde, que Maman nous racontait quand on était petits, et que j'ai raconté à James, Albus et Lily. La légende du Phœnix ne m'a jamais plus parlé que cela, et j'ai dû la raconter à peine une fois, alors qu'ils s'endormaient. Je ne suis même pas sûre qu'ils l'aient retenue. Mais je me souviens de mes jeunes années, et de la fois où Harry m'a sauvée, quand j'étais en première année. Ayant fait un passage dans le bureau de Dumbledore, j'avais vu un phénix, mais je doute que ça soit le même phénix dont parlait Beedle le Barde.
› Quelle est votre position par rapport à la guerre ? : Encore une. La précédente m'a ôté un frère, des espoirs et ma naïveté. Si celle-ci éclate et oppose effectivement James et Albus, elle finira sans doute pas me briser le cœur. Je la redoute, je la vois approcher, et je désespère à ne pas trouver de solution. Si seulement j'étais aussi brillante qu'Hermione, sans doute j'arriverai à trouver une solution. Mais malheureusement, je n'ai pas d'idée, et je m'enfonce dans une humeur bien sombre, me préparant déjà à enterrer un de mes enfants, tôt ou tard. Il faudrait que je me batte, mais la mort de Harry m'a ôté une bonne partie de mes forces et de ma fureur d'antan.
› Pensez-vous que les prétendus mangemorts, leurs familles, ont été opprimées ces dernières années ?: Je n'en sais rien. Tout ce que je sais, c'est qu'ils ont opprimé tant de monde auparavant qu'il y a peut-être eu un juste retour de bâton. Et de toute façon, leurs actions n'avaient rien de juste, alors il était normal qu'on les empêche de faire des fidèles. Mais opprimés, je n'en suis pas sûre. On les a laissé vivre, alors qu'ils en avaient tué beaucoup trop. On aurait dû les enfermer, tous, on connaissait leurs noms. Et on aurait dû faire un oubliettes à leurs enfants, pour les empêcher de répéter les erreurs de leurs parents. Maudits, maudits, maudits, à cause d'eux, Harry est mort.
› Que pensez-vous des rumeurs comme quoi Harry Potter aurait été tué par James Potter ? : pourquoi persistez-vous à me torturer avec des questions pareilles ? Il est impensable que mon fils aîné ait réellement tué son père. Je me refuse à y croire, parce que James est un bon garçon et qu'il n'aurait pas pu faire une chose pareille. Et pourtant, cela fait plus de six mois qu'Harry est mort, que James est parti, et qu'Albus m'assure que c'est James qui a tué leur père. Je sais bien qu'Albus n'inventerait pas ça, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'il a dû mal voir, ou qu'il a confondu quelqu'un pour James. Mais le temps passe, la tombe de Harry ne cesse d'être encore couverte de fleurs d'inconnus, et James n'est toujours pas revenu. Il est terrible pour une mère de voir ses enfants s'entre-déchirer, et il est encore pire sans doute d'apprendre que l'un d'eux lui a ôté l'amour de sa vie et qu'on ne le connaissait finalement pas si bien qu'on croyait. Si James l'a réellement fait, à quoi pensait-il ? Ai-je un jour failli à lui montrer que je l'aimais, lui aussi ?
› Que pensez-vous de la création d'un nouvel ordre ? : Albus est bien le fils de son père. Il réagit sans doute comme Harry l'aurait fait, mais voir de nouveau des camps réapparaître me fait frissonner. J'ai déjà vécu une guerre, et mon camp était facilement choisi. Mais aujourd'hui, Albus rassemble des forces pour combattre celles qui se sont jointes à James -si tout ce qu'on dit est vrai. L'Ordre s'est toujours battu pour une cause juste, mais je ne sais finalement pas où me placer. Mon cœur est à l'Ordre, mais si l'Ordre combat James, alors je ne sais plus quoi choisir.

« HARRY POTTER IS DEAD ! - NOOOOOOOO ! » Le cri d'horreur qui s'était échappé d'entre tes lèvres avait retenti dans la cour dévastée. Ron t'avait retenue alors que tu t'élançais vers le corps sans vie d'Harry, dans les bras d'Hagrid. Et hurlant comme une furie tu avais observé le cadavre de ton aimé. FLASH La pluie tombait dru contre les fenêtres de la maison où tu avais vu grandir tes enfants, dans cette maison où tout était d'un coup plus sombre, plus glacial, plus désert. La veille encore, Harry était venu poser ses mains sur tes épaules alors que tu regardais la lune se lever à travers la fenêtre de la cuisine. Et ses mains avaient glissé jusque dans ton dos, autour de ta taille, pour se poser sur ton ventre. « Come to bed, Gin'. It's getting late. » FLASH Tu étais sur le quai 9 3/4, et tu avais accompagné l'ensemble de la famille pour la rentrée de Ron. Un peu plus tôt, vous aviez fait la connaissance d'un garçon brun binoclard qui n'avait pas l'air de savoir comment on fait pour arriver sur le quai du Poudlard Express. « Good luck. », c'était tout ce que tu avais trouvé à dire, alors que tu te disais qu'il était mignon, avec son air complètement perdu, et que tu remarquais alors qu'il avait disparu à travers le passage qu'il n'avait pas de parents. FLASH Il faisait un grand soleil le jour où vous vous étiez mariés. Tous tes amis étaient là. Toute ta famille. Tous les amis de Harry. Tu savais bien qu'il y avait des personnes qui lui manquaient, qu'il aurait voulu avoir Sirius, Remus, ou Dumbledore auprès de lui. Mais vous étiez ensemble. Heureux. Mariés. Tout allait pour le mieux, et rien n'aurait pu assombrir votre vie. Vous alliez vivre heureux, jusqu'à la fin de votre vie. FLASH « Just do it now ! It's for the greater good. » Obtempérant à cette voix qui te donne des ordres, tu tords le cou du coq. La nuit est tombée et tu as réussi à t'approcher sans qu'ils ne se réveillent. Tu es terrifiée à l'idée qu'Hagrid sorte de sa cabane, mais il n'en fait rien, et tu termines ta besogne avant de rentrer au château. FLASH « You are now Mrs Potter. Any comment on this ? » Tu es au bras d'Harry, qui te couve du regard amoureusement. Tu lui rends son regard et tu n'hésites pas à répondre au journaliste de Sorcière Hebdo qui voulait sans doute écrire un article sur ton infériorité par rapport à ton mari : « I'm ecstatic. This is the most beautiful day of my life… Or maybe not. There will be many more to come. »


Tu leur avais tout donné. Ta carrière, ta vie, tes forces, tes sourires, tes mots d'esprit, tes enfants. Les médias avaient fait partie de ta vie depuis le début, et tu savais bien pourquoi. Tu avais épousé Harry Potter, le Survivant, qui avait échappé à la mort deux fois, ou peut-être plus si on comptait les années à Poudlard. Il t'avait subjuguée avant même que tu saches qui il était. Et lorsque tu l'avais su, tu n'avais pas pu rester en place et tu avais passé l'été précédant ton entrée à Poudlard à ne parler que de lui, ou presque, de sorte que l'un de tes frères t'avait un jour lancé un Bloclangue, histoire de te faire taire pour quelques minutes. Les années avaient passé, ta passion ne s'était pas éteinte, et il avait fallu que tu supportes cette pimbêche de Cho Chang (qu'est-ce qu'elle avait de plus que toi ?), et que tu encaisses une rupture par Harry, alors qu'il trouvait que tu étais trop jeune/innocente/vulnérable. Et finalement, vous vous étiez mariés. Les média ne s'étaient pas gênés pour venir assister au mariage qui n'avait rien eu de secret. Après tout, Potter se mariait et ça n'était pas tous les jours.
Tu avais fait une carrière sportive brillante après Poudlard, étant embauchée par les Harpies de Holyhead pour y être attrapeuse. Une recruteuse t'avait vu lors d'un des matches de Quidditch à Poudlard en quatrième année, lorsque tu avais coiffé cette gourde de Chang au poteau, en lui prenant le Vif d'Or sous le nez. Ta position dans l'équipe des Harpies de Holyhead avait été souvent controversée, certains disant qu'on te l'avait donnée car tu étais la petite-amie "officielle" d'Harry Potter. Mais dans l'ensemble, le monde sportif avait reconnu ton talent et les Canons de Chudley avaient tenté de te faire entrer dans leur équipe, ce que tu avais décliné gentiment et que tu n'avais jamais raconté à Ron (il t'aurait sans doute incendiée de ne pas avoir voulu faire partie de son équipe fétiche).

Il y avait eu des hauts et des bas dans le couple que tu avais formé avec Harry. La difficulté résidait dans le fait que les médias étaient pratiquement tout le temps sur vos talons, et que la moindre brouille pouvait prendre des proportions énormes. Si bien qu'après un énième article honteux dans Sorcière Hebdo, contre l'avis de Harry qui t'avait dit de laisser couler et que ça passerait tout seul, tu t'étais rendue dans les locaux de Sorcière Hebdo et tu avais verbalement incendié la responsable de l'article miteux qui racontait que Harry avait trompé sa femme enceinte. Tu avais ressemblé à Molly Weasley, ta mère, à cet instant-là. Nul doute que tes frères, s'ils avaient été présents, auraient vu votre mère plutôt que toi. Puis, lorsque tu avais déversé ta bile, tu t'étais reprise et tu avais simplement menacé la journaliste de cet amas de ragots : « If you write just once more Harry Potter's name or mine, I'll come back and make you regret it. »
Tu en étais à ton cinquième mois, et tu t'étais toujours dit que ça avait dû avoir un impact sur la naissance d'Albus, qui était né plus tôt que prévu. Les Médicomages n'avaient jamais pu te sortir cette idée de la tête, et au final ça n'était pas non plus crucial comme détail.

Le temps avait passé, et à chaque naissance, les médias avaient été là, bien sûr. Une colonne dans la Gazette du Sorcier pour raconter qu'Harry Potter avait un nouveau rejeton. Tu n'étais pratiquement jamais citée dans ces colonnes, parce que ce qui importait c'était Harry. Ça ne t'avait finalement pas tellement dérangée, ou plutôt tu savais faire glisser ça. Le principal était qu'on reconnaisse ta valeur sur le terrain, même si tu étais en congé maternité tous les deux ans. Ton retour sur le terrain n'en était que plus brillant… ou presque. Tu sentais que tu n'étais plus aussi vive qu'à tes débuts. À vingt-six ans, tu avais huit ans de carrière dans les pattes, trois enfants en bas âge que tu voulais pouvoir voir grandir. Leurs prénoms avaient presque tous été choisis par Harry, sauf le deuxième de Lily. Luna, ta meilleure amie dont tu n'avais plus eu de nouvelles pendant un certain temps.

Tu leur avais tout donné, et aujourd'hui, ils te le faisaient payer.
Harry était mort, et ils l'affichaient dans tous les journaux existants, en majuscules, taille 60 : « HARRY POTTER ASSASSINÉ ! ». Tu avais pris un congé à la Gazette du Sorcier, parce que tu ne pouvais pas les voir s'apitoyer sur ton sort, ou chuchoter et se taire dès que tu arrivais au détour d'un couloir. Tu étais recluse chez toi, et tu n'ouvrais à personne, ou presque. Ce qu'Albus t'avait dit te mortifiait. Tu savais bien qu'il n'aurait jamais inventé ça, même si ses relations avec James étaient parfois houleuses. Mais tu ne pouvais pas te rendre à l'évidence, non, tu cherchais d'autres explications.
Alors tu avais écrit à ton fils ainé. Sur le coup de la colère une première fois, tu avais manqué de lui envoyer une Beuglante. "Manqué", parce qu'au moment où le hibou s'était envolé avec l'enveloppe rouge à la patte, tu avais dégainé ta baguette et avais carbonisé la Beuglante qui s'était consumée en poussant un râle de douleur. Et puis tu avais pris une plume, du parchemin, et tu avais écrit plus que tu ne t'y attendais.

Citation :

James Sirius Potter,
c'est ta mère. J'ignore si tu le sais déjà mais ton père est mort aujourd'hui, assassiné. Albus m'a prévenue il y a peu et je suis rentrée en catastrophe des locaux de la Gazette. Je sais que tu ne t'entendais plus très bien avec Harry, mais je me refuse à croire ce qu'Albus m'a raconté. Il semblerait que tu aies tué ton père, mon mari. Je me doute bien qu'Albus ne me mentirait pas sur une chose pareille, mais je ne peux pas croire que tu aies fait ça : rassure-moi mon chéri, dis-moi que tu faisais autre chose à ce moment-là et que ce n'est pas toi. Je préfère encore croire à un assassin ayant bu du polynectar qu'à une chose pareille. Ça me briserait le cœur, qui n'est déjà plus en très bon état depuis ce matin…
Je ne sais où tu es, mon chéri, et j'espère que tout va bien pour toi, mais j'ai cruellement besoin de vous avoir auprès de moi dans ces heures sombres. De vous avoir tous les trois auprès de moi. Alors, je t'en prie, James, reviens. Et si tu ne le fais pas pour le souvenir de ton père, fais-le au moins pour moi. Harry sera enterré dimanche, viens si tu le peux. Je tâcherai d'apaiser Albus en attendant.
Et dans tous les cas, réponds-moi au plus vite, je m'inquiète terriblement.
Ta mère qui t'aime,
Ginevra Potter

Ron et Hermione étaient arrivés peu après que tu avais envoyé la lettre. Ils avaient été là dans les pires moments, quand vous étiez encore jeunes, et ils seraient encore là quand tu en aurais besoin. Ta belle-sœur était devenue année après année une confidente fidèle et une amie exemplaire. Ton frère était… ton frère, quoi. Toujours là quand il fallait, et là aussi quand il ne fallait pas (« RON, for Merlin's sake, CLOSE THE DOOR ! » avait été une de tes répliques les plus courantes quand tu avais atteint la puberté au Terrier).

L'enterrement avait été médiatisé (normal, c'était le Survivant qui était mis en terre, preuve que son surnom était absurde). Tu avais vu beaucoup de monde venir te présenter leurs condoléances, et la plupart des gens n'étaient qu'à moitié sincères. Trop de monde que tu ne connaissais pas, en réalité, trop de gens qui étaient là pour rendre hommage à un symbole qu'ils n'avaient jamais vraiment connu, à un homme qu'ils n'avaient jamais vraiment compris.
Harry Potter avait été ton mari pendant plus de vingt-cinq ans, et maintenant tu devais t'habituer à ne plus le voir à la table du petit-déjeuner le matin, à ne plus sentir sa présence dans votre lit, à ne plus croiser son regard alors que tu levais les yeux de ton livre dans le salon. Il était parti, et son absence se faisait cruellement sentir. Ton deuil était difficile à faire, car tu ne savais qui blâmer pour la mort de ton mari. Si le coupable avait été réellement désigné, s'il avait été un ancien mangemort, tu n'aurais pas hésité une seconde, tu aurais vengé ton époux. Mais Harry était mort, et le Magenmagot avait jugé que James n'était pas coupable de cet assassinat (à ton grand soulagement, évidemment, même si tu avais tenté de ne pas trop le montrer). Alors il n'y avait pas de responsable, il y avait simplement la tombe de ton époux, dans le cimetière de Godric's Hollow, pour montrer que le Survivant n'avait finalement pas survécu à tout. Et tu t'étais enfermée dans un mutisme assez inquiétant, que Luna avait vu d'un très mauvais œil et qu'Hermione avait tenté de briser régulièrement. Les mois étaient passés, les saisons avec, et bientôt cela ferait un an que tu étais veuve. Parfois tu croyais le voir, l'entendre, mais ça n'était pas possible : tu le connaissais assez bien pour savoir qu'il ne reviendrait pas en fantôme : ses parents ne l'avaient pas fait, ni Sirius, ni Remus, ni Dumbledore, alors pourquoi l'aurait-il fait ? Il était parti, pour de bon, et tu étais désormais seule, à voir venir un conflit auquel tu ne voulais pas assister, parce qu'on te demanderait tôt ou tard de choisir, ce que tu étais incapable de faire.

Oui, tu avais fait partie de l'Armée de Dumbledore ; oui, tu avais participé aux Batailles du Département des Mystères et de Poudlard ; oui, tu avais même mené la rébellion interne à Poudlard pendant ta sixième année. Mais tu ne pouvais pas mener ce combat, parce que tu te sentais fatiguée par toutes ces années, tous ces conflits muets, parce que tu ne saurais jamais choisir entre tes enfants, et que tu ne le voulais pas. Alors, contrairement à tes amis qui avaient pu faire un choix assez simple (venger Harry, et rejoindre Albus), tu ne pouvais pas rejoindre l'Ordre. Enfin, tu l'aurais pu, mais c'était fermer définitivement la porte sur ton fils ainé. Tu espérais, peut-être naïvement (cette naïveté même qui avait pris la poudre d'escampette pendant ta quatrième année, dans le Département des Mystères). Tu avais vu la mort, tu l'avais même frôlée lors de la Bataille de Poudlard, quand Bellatrix Lestrange avait cru bon de te prendre pour cible, tu voyais les Sombrals, et tu ne verrais plus ton époux.
Un temps, tu avais voulu te laisser dépérir. Et puis le souvenir de tes enfants t'avait retenu. Tu ne pouvais pas les laisser s'entre-déchirer sans rien faire. Tu ne voulais pas les laisser se haïr ainsi. Ils étaient des Potter, certes, mais ils étaient aussi des Weasley même si seule Lily avait les cheveux pour le prouver. Et chez les Weasley, la famille était une valeur essentielle. Ta mère avait été malade lorsque Percy vous avait trahi, et son retour parmi les siens avait été le remède. Mais tu doutais de réussir à vraiment réconcilier tes enfants un jour. Alors, avec Lily, tu voyais l'orage gronder et approcher, et tu espérais qu'il cesserait avant d'éclater.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

Elle oscille entra la hargne et l'amour cette Ginny ou c'est moi ?
Bref, je te valide, ta fiche m'a faite sourire (surtout avec Ron xD). C'est pas mal de mettre les dialogues en anglais, moi je comprends donc pas de soucis mais en en rp si tu veux faire ça demande d'abord à la personne en face ou alors met une traduction en note de bas de page