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| Sujet: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:28 | |
| AURORA NOTT Tu appelles ça jeter un sort ? Avoue que ce n’est pas une réussite ! Je n’ai jeté que quelques sorts faciles, ça a marché à chaque fois...
| dossier du ministère › NOM : Nott, oui je sais ce que vous allez dire: "Mais ton grand-père s'était un mangemort, tu te sens pas honteuse?" Et bien non, je l'ai pas connu alors autant dire que le passé je m'en préoccupe autant que le caleçon de Scorpius. J'ai hérité juste d'un nom, certes terni par des actions passées mais elles ne sont pas miennes alors allez voir si merlin mange son slip vous voulez. › PRENOMS : J'avoue que le choix de mon prénom a été aussi périlleux qu'un duel magique sans baguette... Ma mère tenait tellement au prénom d'Ambroisine, alors que mon père s'y refusait catégoriquement de m'affubler de pareil patronyme (je lui en remercie quelque par, mais jamais je ne l'avouerai, ça serait me clouer moi-même ma tête sur un piquer !). Ils ont fini par se mettre d'accord sur Aurora. J'aime mon prénom car il m'évoque l'aurore, le levé d'un jour nouveau. Il m'inspire le renouveau constant dans ma vie. jamais je ne m'enliserai dans la routine d'une vie sans nouveautés. Malheureusement je n'ai pas échappé quelque par au désire impétueux de ma mère, et ai hérité du second prénom d' Ambroise, moins affligent qu'Ambroisine mais j'aime à le garder sous silence. › AGE : J'arbore avec insouciance et plaisir vingt trois jolis et petits étés, selon beaucoup de personnes personne ne me les donnerai, et ça me rend souvent toute guillerette de l'entendre dire. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : "Ce fut un jour d'été où la chaleur été insoutenable..." voilà comment commencerait le récit de ma venue au monde par ma très chère et adorable mère, seulement je vais abréger vos souffrances en vous disant tout simplement que je suis née un 22 août, en pleine province anglaise non loin de Londres il me semble. › STATUT DU SANG : Quelle est cette obnubilation pour le statu du sang? Cela me dépasse. Qu'il y ait où non deux ou trois goût de sang moldu en nous fait-il de nous de moins bon sorcier? Je ne dis pas ça car je suis de sang mêlé au contraire je suis ce qu'ils appellent sang pur, mais je n'ai jamais compris et adhéré à l'obsession qu'avait ma famille pour le sang. le sang c'est rouge et ça change pas d'un individu à un autre... › STATUT : Un statu de quoi? Euh non mais je vois vraiment pas... Écouter quand je voudrais me cataloguer comme prise je vous ferai signe hein, pour l'instant je f*ck tous ceux qui voudront régir ma vie et me faire me marier avec Malfoy, non mais quelle idée! C'est un handicapé des sentiments cet idiot autant trouvé quelqu'un qui affirme m'aimer au lieu d'écrire à tout va, hein Scorp' lâche cette plume et va utiliser ta langue et tes cordes vocales veux tu? Si tu le fais pas je t'enfonce cette plume dans un endroit encore jamais visité de ton anatomie ! › ORIENTATION SEXUELLE : Bien que des dizaines de rumeurs cour sur moi, car je ne suis pas une jane m'affiche partout au bras du bg du coin, je suis bien attiré que par les hommes, soyons clair, c'est plus intéressant un truc entre les pattes qu'un trou sans rien pour le remplir... › MÉTIER : J'exerce le métier de reporter international spécialisé en sport et notamment pour le Quiditch. Je suis, je l'avoue, un peu maso sur les bords. Je vis à travers ceci ma passion perdue, et qui est aussi mon plus grand cauchemar... › BAGUETTE : Ma Baguette est surement le don le plus précieux que j'ai, et que je n'aurai jamais. Une baguette de 29.5 cm, faite de bois de Tilleul Argenté avec un coeur de crin de licorne, et d'une rigidité pareille à la mienne. J'ai toujours été fasciné depuis ma première année à Poudlard, à aujourd'hui, par cette somptueuse acquisition. Je sais qu'il y a envieux au portillon, mais parfois je me dis que ce que la magie de mon don à laisser comme indice, dont la composition de ma baguette est parfois un fléau... › PATRONUS : Mon patronus, c'est la réincarnation que je voudrais être: un oiseau de proie. L'oeil perçant, rapidité, approche silencieuse. Libre. Fier. Grand. Solitaire. Sa forme a mis du temps à se trouver, j'avoue que je suis passer de la chouette à la buse en passant par un petite aiglon pour enfin prendre la forme d'un Falco severus dit aussi Faucon Aldrovandin. J'en suis très fière et n'hésite pas à l’exhiber autant que je peux, depuis qu'il a pris sa forme finale. › EPOUVANTARD : Je ne me suis confrontée à un épouvantard que deux fois dans ma vie. Les deux fois il a pris deux formes différentes. La première c'était la forme d'une flaque de sang, oui le sang m'a toujours fait plus ou moins peur, mais la seconde forme m'a fait tellement paniquée que je m'en suis évanouie, enfin on va plus dire que j'en suis tombée à genoux car j'en connais un qui va remettre ça sur le tapis. C'était toujours cette flaque de sang, mais deux éléments s'y étaient rajoutés un balais de course brisé, dont l'un des morceaux était enfoncé dans une cuisse de chair... La mienne. Je gisais au sol avec ce balais brisé enfoncé dans ma cuisse, et ma silhouette me regarder avec ce sourire effrayant et ces larmes qui faisaient luire mon visage. Plus je regardais cette visions plus elle se rapprochait de moi... C'était affreux... L'espèce des épouvantard est surement la créature magique je fuis le plus au monde depuis ce jour là. › MAISON : contre toute attente le choixpeau m'a proposé trois maisons, sur les 4 existantes. La maison de ma famille, Serpentard, ou Poufsouffle ou bien encore Serdaigle. J'ai été ce qu'on appel un chapeau flou. Le choixpeau ne su que choisir pour moi et je dû trancher par moi même. J'ai choisi Serdaigle pour déjà me distinguer et avoir le choix de suivre ma propre existence, celle qui sera guider par ma passion. › GROUPE : order of the phenix › AVATAR : Katie Mcgrath › CREDIT : Goldcrest. |
The Daily Prophet wants to know more...
Ici vous devrez répondre aux questions données en cinq lignes minimum. Il est important que chaque partie soit bien développée afin que les idées et le caractère de votre personnage soit bien perçu par tous. Ce message est à effacer. › Avez-vous déjà entendu parler de la légende du Phoenix ? Qu'est-ce que vous en pensez ? : La légende du phœnix a été une légende dont j’ai appris l’existence bien tardivement. Je devais être en cinquième année, il me semble, quand je suis tombée par le plus grand des hasards sur une copie de l’ouvrage de Beddle le Barde. J’avoue être tombée sous le charme de ces écrits, pas tant par la plume assez grossière de l’auteur mais plus par les relever sur le phœnix. Le phœnix a toujours été et le sera toujours je pense, l’animal qui m’attire. Je n’en ai pas encore rencontré malgré mes voyages à répétition mais je ne perds point espoir. Je pense que je ne crois pas spécialement à la légende, du moins, je ne nie en rien que les phœnix sont des créatures les plus fabuleuse de notre univers et surtout les plus mystérieuses alors qui sait peut être que l’auteur avait raison que le phœnix de plus de 1000 ans pourra avoir un rôle important à jouer, mais de toute manière dans tous les récits avec un oiseau feu, celui-ci a toujours un rôle à jouer. › Quelle est votre position par rapport à la guerre ? : La guerre. La confrontation. On a dans le sang les Nott, allons-nous dire, mais contrairement au dessin de mes prédécesseurs j’ai choisi le camp de L’Ordre. Ce n’est pas un choix stratégique, ou encore de bon petit espion comme pourrait le croire certains, c’est juste mon choix. Par « expérience », je connais la naissance de cette guerre. J’ai « vécu » le meurtre de l’éclair, je l’ai « vu »… Je ne sais pas pourquoi ça a eu lieu. Mais je sais que j’aurais pu l’empêcher. La culpabilité a peut être guidé mon choix, mais au fond je ne veux qu’aider mes amis et ne pas devoir perdre ce qui m’est cher comme la famille Potter. › Pensez-vous que les prétendus mangemorts, leurs familles, ont été opprimées ces dernières années ?: C’est une blague ? Il est où le photographe hein ? Je suis une de ces familles méprisées, humiliées rabaissées et j’en passe des meilleures. Bien sûr qu’on a subi la haine des autres pour ce que nos prédécesseurs ont fait. Je ne vais pas à dire qu’ils ont bien fait, mais nous, moi fille de Théodore Nott a été jugée toute ma vie sur un nom, rien qu’un nom que j’ai hérité. Alors oui nous sommes opprimés, et je tiens à dire aux gens qui aiment rabaisser un nom, que je ne me résume pas à un nom, que je suis une personne et que s’ils veulent me juger qu’ils jugent mes actions avant tout. Encore aujourd’hui on doute de moi pour mon nom. Oui je m’appelle Nott, oui mon grand-père a été Mangemort, mais qu’est-ce que cela peut faire ? Je ne suis pas lui. › Que pensez-vous des rumeurs comme quoi Harry Potter aurait été tué par James Potter ? : Rumeurs. Est-ce des rumeurs quand on assiste réellement aux choses ? Je l’ai vu, plusieurs fois. La même scène, la même disposition, les mêmes protagonistes et qu’est-ce que j’ai fait pour paraît cela ? Rien, juste m’obliger à oublier ce que je voyais. Le don de voyance peut être un don comme un fléau. Il n’est pas servi avec un mode d’emploi alors j’affirme tout bas que oui ce ne sont pas des rumeurs, je l’avais « prédis » mais ne l’ai dit à personne… › Que pensez-vous de la création d'un nouvel ordre ? :Un nouvel ordre a été créé à cause d’une nouvelle menace. Je ne sais ce dont cette menace est capable, mais si elle s’inspire de mes visions alors je ne veux pas être prise de cours dans un affrontement que je n’aurais pas préparé. Cet ordre n’a pas été créé pour rien, je connais la raison, j’ai vu la décision d’Albus de le créer de nouveau. Je ne puis que le soutenir dans son choix.
- moi, le moldu:
› pseudo : ocean bird. › prénom : lisa. › âge : 21 ans › pays : france › fréquence de connexion : 4/7j pour le moment › commentaire ? : : Malfoy est à moi comme carpette et comme doudou dans mon lit
Dernière édition par Aurora Nott le Ven 5 Avr - 23:56, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:28 | |
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learn to grown up« La première Nott depuis ton père, Théodore, intéressant. » Sous les yeux impérieux de la foule, la jeune Aurora alors âgée de 11 ans est pour la première fois montrée au grand jour. Sa famille de Mangemort s’est longtemps faite toute petite, ne voulant pas exposer ses deux filles au monde trop vite. Même si elle a été surprotégée la jeune enfant n’en est pas aussi naïve qu’on peut le penser. Elle savait qu’elle allait être jugée sur cette chaise, que le choix de sa maison aller être décisif dans sa vie future. « Imprévisible, marmonne le choixpeau à lui seul. Tu veux te distinguer, tu veux faire tes preuves par toi-même. Serpentard peut être » Aussitôt la fillette refusa intérieurement. Tous mais pas Serpentard, la maison familiale de la jeune fille. Elle ne voulait pas être jugée par ce choix. Alors le choixpeau réfléchit. « Tu fais preuve d’une loyauté, et d’une intelligence remarquable, mais ce qui guide ta vie est bien la passion. Pas Serpentard, ma chère enfant mais…. SERDAIGLE ! » La surprise fut à son comble. Personne ne murmure plus. Juste un regard hébété général sévit dans la grande salle de Poudlard. Pas d’applaudissement de la maison accueillante. La fillette à la longue chevelure d’ébène saute sur ses pieds. Son regard balaye la salle et se pose sur la table de la maison Serpentard. Tous sans aucune exception la foudroie du regard. Peut chaleureuse comme elle l’a toujours imaginé, est la maison de ses parents. Froide et austère loin de son envie à elle. Elle est tirée de sa rêverie par les applaudissements assourdissants de sa maison d’adoption. La plus par des Serdaigles frappent des mains pour suivre le mouvement mais certains semblent réellement heureux d’accueillir la demoiselle. Elle sautille jusqu’à la table des Serdaigle pour y prendre place. « Sale Mangemort, marmonne son voisin. » Elle le sait, elle n’allait pas être accueillie les bras ouverts, mais elle n’en perd pas son sourire et fixe la belle rousse en face d’elle. « Ne te préoccupe pas d’Hindelgard, il est toujours ronchon. Contente de te voir parmi nous Nott » La belle rousse vient alors à lui serrer la main et Aurora jubile de cette première victoire sur sa vie.
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« Potter on t’a jamais appris à apprendre de tes erreurs ? » Agacée, la fillette a bien grandi depuis la cérémonie, elle s’est beaucoup embellie et personne ne pourrait dire le contraire. Du haut de ses 15 ans, et de son rang de préfète elle n’éprouve aucune peur à affronter le fils du si célèbre éclair. « De quoi suis-je accusé cette fois ? » Le regard d’émeraude de la jeune fille roule vers le ciel et son pied tapote le sol sous son agacement profond pour le jeune Potter. « Malin les lutin de Cornouailles, mais classique comme coup. Oh un d’eux portait fièrement cela. » Elle dépose sur la table en face de James, un bout d’une robe de sorcier avec un écusson au couleur de la maison du lion. « Et qui te dit que c’est à moi ? » « Par pure déduction Potter. Je suis déjà allée voir les potentiels suspects et tu es le seul qui reste bien calme avec ce sourire narquois aux lèvres. Oh il y a aussi des troisièmes années qui t’ont vu revenir avec une cage bien chargée et bruyante… » Le jeune Potter ne semble plus si sûr de lui et se relève brusquement sous le nez de la jeune Nott prise un peu par surprise. « Tu n’as aucune preuve Nott. » « Dénonces toi simplement Potter, ça sera plus simple pour nous deux. » « Voles toujours Nott. » « Très bien Potter… » Elle tourne les talons mais s’arrête brusquement. Sa vision se trouble brièvement, d’étrange voix noyées derrière un rideau d’eau. Elle vacille quelque peu avant de finir par prendre appuie sur la table de derrière celle de Potter. Sa vision est plus courte, et plus clair, cela ne signifie qu’une chose pour la demoiselle : c’est sur le point de se réaliser. Quand elle reprend totalement conscience elle se dirige vivement vers l’extérieur de la grande salle. Dans sa précipitation elle en avait oublié Potter et surtout le fait qu’il l’ait vu. Pressant le pas elle finit par s’engouffrer dans les toilettes des garçons du premier étage faisant irruption en pleine élaboration d’une potion douteuse par des secondes années. « Evanesco, lance-t-elle en agitant sa baguette. » Tout le matériel disparaît sous les yeux pétrifiés des élèves qui se sont levés brusquement à l’arrivée d’Aurora à l’exception d’un élève qui allait verser surement un dernier ingrédient à la potion. « Qui a fait ça ? » Le jeune garçon trop occupé dans ses préparations, remarque seulement la présence de la jeune préfète de Serdaigle. « Par le slip de merlin puis-je savoir ce que vous comptiez faire Hollow, Fritz et Fandrix ? » « On... Je… » « Bah… » « C’est… euh…que… » Loin d’être à la fin de sa journée, et donc des ennuis causer par les élèves, la jeune préfète sort son carnet de retenues et commence à rédiger trois feuillettes à l’insu des troubles faits. « Attends !, lance le chef du trio. On sait qui a fait le coup pour les lutins dans les toilettes ! » Nott relève alors la tête et les fixe avec ce regard inquisiteur qui presse le second de parler. « C’est un Gryffondor ! » « Ca je le sais merci. » Elle retourne alors à sa paperasse quand le chef se manifeste une seconde fois. « C’est Potter… James Potter. On l’a vu entrer… Et on l’a vu arriver de la forêt accompagner de deux autres cinquièmes années ! » Un sourire de victoire s’étend sur ses douce commissures et d’un geste vif arrache les trois feuillets de son bloc. « Intéressant… Je vous verrais donc en retenues ce soir avec ces trois chers compères ! » « Quoi mais on t’a aidé. » « Et ? Vous avez failli faire exploser une partie de l’école, croyez-vous donc que je vais vous laisser partir comme ça ? En retenue ce soir ! » Elle fait virevolter les feuillets de retenues vers leur destinataires et sort des toilettes bien décidée à mettre sous verrou ce cher Potter et ses compères. Elle tourne à un angle de couloir quand une voix la hèle. « Aurora ! » Elle se retourne en arquant un sourcil en découvrant la silhouette d’une petite brune. « Meg’ ! » La jeune préfète s’avance vers sa jeune sœur en un sourire taquin et fraternel. « Que fais-tu là ? Les secondes années on court à cette heure ! » Sa jeune sœur est bien à l’image de sa famille mais avec son petit caractère. « Tu vas aussi me coller ? Ta sœur ? » Cette dernière papillonne des yeux avec cet air de biche que l’aînée des Nott rejette du revers de la main. « Cesses. C’est bon. Que voulais-tu ? » La plus jeune des Nott lui tends alors une enveloppe qui fait écarquiller les yeux d’Aurora. « Une beuglante et ? » « C’est papa, s’il te plait prends là qu’on en finisse… » La préfète se tâte un instant et attrape la lettre des mains comme si elle allait lui éclater à la figure comme une farce d’une célèbre boutique du chemin de traverse. « Bon, faut que j’aille attraper ce Potter ! » « Il te suivait tout à l’heure avant de s’éclipser quand tu es sortie. » Sa sœur la laisse alors avec cette unique information qui perturbe quelque par étrangement la jeune Nott qui repart avec un mauvais pressenti…
you and i for eternityLa chope s’entrechoque avec le bois de la table avec bruit. « Je te l’avais dit ! » Dans un sourire triomphant la jeune Nott esquisse un petit pas de danse à côté de la table avant d’aller embrasser bruyamment la joue de son amie avant de s’éclipser vers le comptoir afin de commander deux bières au beurre. Quand elle revient elle a s’assoie cette fois en face de lui et fait glisser une chope vers lui. « Aller Malfoy une autre ! » « Hum… Aspect nacrée, odeur attractive… » « AMORTENTIA ! » Devant la mine dépitée de son ami, Aurora se remet à danser sur sa chaise, exprimant fièrement son bonheur de gagner aussi facilement. « C’est ennuyant de jouer à ce jeu avec toi Nott. » Le beau blond en face d’elle s’effondre sur la table et dessine du bout de son index des formes sur la table. Ennuyée par l’ennuie qui gagne son ami, Aurora rien de mieux que de faire léviter la chope de bière au-dessus de son ami pour la déposer sur sa tête. Au contact du verre, Scorpius se relève et reverse tout le contenue du contenant sur lui. « Tu…. NOTT ! » Aurora surprise au début éclate d’un fou rire incontrôlé, mais pas communicatif. « Tu veux ta mort Nott ! » Aurora se lève précipitamment poursuivit par son ami à travers la taverne. Quand ce dernier sort sa baguette Aurora se retourne et brandit les mains. « Non Malfoy pas de magie hors de Poudlard. » « Ah ouais et toi ? » « Moi j’ai rien fait… » Elle désigne le barman au comptoir qui sourit malicieusement. « T’as l’air si sinistre qu’il avait peur que tu me fasses du mal si tu souriais pas. » Elle se rapproche de lui et passe son bras autour de ses épaules. « Ah Malfoy, t’a-t-on déjà dit que tu serais presque mignon avec de la bière au beurre dans les cheveux ? » Gigotant pour la repousser, Scorpius finit par retirer le bras de la demoiselle et enfournant ses mains dans ses poches retourne s’assoir. « Tu as peur que je te bouffes Malfoy ? » Aurora a l’habitude des sautes d’humeur et du côté renfrogné de son ami, mais aujourd’hui elle a dû mal à le supporter et veut seulement le voir sourire et s’amuser avec elle. « Pardon, lâche-t-elle peu convaincant en s’asseyant à côté de lui. C’est juste que tu fasses une tête de six pieds de troll aujourd’hui. Par le slip de Merlin qu’est-ce qui se passe Scorpius ?! » « Mon père m’a envoyé une lettre… » Cela explique tout aux yeux de la demoiselle qui d’un coup tombe dans la même humeur que son ami et s’affale sur la table à son tour. « Ils en sont encore à discuter alors… » « Oui et ils prévoient ça pour la fin de mes études à Poudlard… » « Quatre ans alors… » « Et on sera mariés. » D’un même soupire ils laissent tous deux échapper leur grand désarroi de l’avenir tout désigné par leur parents. Comme deux jumeaux réagissant en même temps, il leurs faut le même temps avant de réagir. « Je veux pas qu’ils décident de ma vie. » Aurora scrute alors son ami du coin de l’œil. Scorpius semble si abattu qu’elle ne peut se résoudre à s’avouer vaincue sur ça. Elle se redresse vivement et le fixant. « Alors ça ne sera pas le cas. Il me reste deux ans, non ? Et bien après Poudlard je partirai en leur expliquant. On est bien d’accord tous deux qu’on ne veut pas de leur mariage, alors je ne me laisserai pas faire. » « Aurora on ne peut pas faire autrement… » « Moi si. Je ne veux pas gâcher nos vies dans un mariage arrangé Scorpius. Je t’adore tu le sais mais pas de cette manière qu’ils veulent. Je ne me marierai jamais avec toi Scorpius ! » Elle lui sourit une dernière fois, l’embrasse sur la joue telle une sœur embrasserai son frère et s’éclipse en lui lançant « Entrainement » au creux de l’oreille.
+++ Logée dans un coin, elle se fait petite. Perdue dans son trou, elle se veut invisible du monde. Toute tremblante, elle ne veut plus « voir ». Endolorie de sa position qu’elle tient depuis à près une quarantaine de minute, elle se refuse à faire du bruit. Seule parmi les allées et venues des chouettes et des hiboux de Poudlard, elle ne se concentre que sur le bruit que la nuit lui permet d’entendre. Le frottement des grandes ailes des rapaces contre l’air frais de cette nuit, le hululement des conversations, cette douce atmosphère la rassure en la laissant tout de même dans un état de semi-torpeur. Recroquevillée sur elle-même, un frisson la parcourant la ramène durement à la réalité. Quand elle ose relever les yeux vers le ciel étoilé, elle découvre se tenant droite devant elle une silhouette noyée dans la pénombre. Prise par la panique elle tente de s’acculer un peu plus au mur dans son dos. S’est-elle endormie de nouveau ? Est-ce de nouveau une vision ? Tout cela la fatigue, la lasse, la rende malade. Tel un petit animal effrayé, elle gémit sous la peur de ce qui va se dérouler sous ses yeux. Elles ferment ses derniers refusant de voir. Le noir, le néant de son esprit, rien ne peut être plus effrayant que ce que la peur et la nuit engendre ensemble. Rien ne peut être plus terrifiant que ce que lui montre ce troisième œil d’héritage. Douce et angoissante vues de l’avenir, floues et engluées dans une incompréhension. Malgré elle, la peur coulant dans ses veines a pris possession de tout son corps, de tout son être. Tétanisée, figée dans son propre effroi, acculée au mur elle ne désire pas voir ce que son don veut lui montrer. Une prise soudaine et forte saisit son épaule, sa gorge nouée alors trouve solution à son mélimélo et laisse échapper un cri de terreur absolue. « Nott c’est moi…. » Rien n’y fait, la belle Serdaigle n’entend rien juste le murmure persistant de cette petit voix de la terreur. Elle se débat, roue de coup cette prise, ce corps, cette chose qui veut la ramener dans l’horreur de sa malédiction. Cette chose alors se saisit de ses épaules et la secoue de plus en plus violement cherchant la calmer à lui faire ouvrir les yeux. « Nott, regardes moi… Aurora… Aurora…. RORA ! » Ce dernier cri composé de son surnom la fait réagir. Seul deux personnes dans sa vie l’utilise, sa sœur Megara et Scorpius son ami, son confident, l’épaule sur laquelle la jeune femme trouve finalement toujours appui, réconfort malgré le handicape des sentiments du jeune homme. Comme un doux sort d’électro choque la jeune femme se fige, laisse tomber ses bras le long de son corps et ouvre les yeux brutalement. Ses paupières s’ouvrent sur des yeux embrumés de larmes, qui depuis déjà un moment laisse s’échapper par dizaines de fines gouttelettes d’eau salée, qui perlent sur ses joues rendant l’éclat de sa peau diaphane encore plus pâle qu’elle ne l’est. Tout son corps se met à trembler. Par de légers frissons d’abord qui se muent avec les claquements de dents de sa mâchoire en de soubresauts qui se font plus violent pour enfin devenir des sanglots bruyants et pathétiques. Elle ne pleure pas par excuse, ou par honte d’avoir pris son ami pour le monstre personnifié de son troisième œil. Non rien de cela. Elle le fait pour se libérer. « Monstre… Je suis un monstre, bafouille-t-elle dans ses sanglots. » Voilà ce qu’elle est à ses yeux. Elle n’a jamais su apprivoisé ce « don » qui pour elle n’est qu’une malédiction. Un monstre, un démon qui voit sans savoir, qui voit à l’insu du monde. Pour le monde il y a deux genres de personnes qui « voient ». Ce qui prédisent l’avenir ils ne font que réciter ce que le monde, la magie leur insuffle, c’est la magie de la divination, l’art divinatoire, les prophètes. Et il y a les gens comme elle, il voit ça, sans que personne ne sache. Un avenir inchangeable, mais qui leur reste flous et effrayant, effroyable. Elle est ce genre de monstre qui répertorie, mais avec qui ont fait rarement des affaires. Même dans le monde magique ce troisième œil n’est pas réellement un don. La magie a des revers bien cruels parfois et Aurora subit sans se plaindre la plus part du temps, mais parfois, comme cette nuit, ce don est trop lourd, trop écœurant pour qu’elle puisse le garder enfoui en elle. Alors se calant dans les bras de son ami mal à l’aise elle se laisse aller à sa peur, juste une fois de temps en temps. Rien qu’une fois, une manière ponctuelle. Ce n’est juste qu’exceptionnel se convint-elle. Une fois le calme installé en elle, elle se décale et s’assoie épaule contre épaule. « Encore… ? » Scorpius laisse en suspens sa question. Il n’échappe pas à la méfiance générale qu’engendre ce troisième œil, mais contrairement aux autres, il se contente d’être là d’écouter si elle en a le désir. Elle secoue la tête brièvement d’un air affirmatif. Le regard bleu azure de son ami se perd sur ses traits tordus encore par une peur toujours dissimulé. « Tu veux en parler ? » Le geste se fait plus brusque et terrorisé quand elle refuse à sa question. Elle lui en a parlé quelque fois, mais plus elle a des visions plus ces dernières sont bien plus effroyables que les précédentes. Frissonnant encore par celle qui la pousser à trouver refuge ici, elle s’entiche d’un silence pesant. Son ami dépose sur ses épaules une couverture et s’y engouffre à son tour. « Pose ta tête et dors, dit-il en désignant son épaule. » D’un regard suppliant qui n’a rien à envier à un hibou affamé, elle fixe Scorpius à la fois méfiante et hésitante. Elle n’ose bouger connaissant que trop bien son ami qui gesticule ou saute à trois pas lorsqu’elle lui frôle le bras ou bien qu’elle veut juste remettre une de ses mèches dorées en place. C’est aussi un point qui les oppose. Elle la tactile, qui souhaite toujours être proche de ceux qu’elle aime, et lui le solitaire, le handicapé des sentiments qui ne se laisse que difficilement approché ou touché. Il soupire comme contrarié ce qui ne lui ressemble pas dans ce genre de situation et attire la demoiselle à lui. « Dors sinon je t’assomme ! » Elle s’exécute alors, sachant que trop bien que les menaces de Malfoy sont comme un couteau sous une gorge et qu’à tout moment, elles peuvent être mises en exécution.
broken dream« Aurora ! » La voix lui parvient de derrière. Des grognements de mécontentement montant dans les rangs de Serdaigle. Elle peut alors distinguer des « sale reptile » ou « t’as rien à foutre là » lancés sur le passage de son ami qui tente de se frayer un chemin. « Scorp’ ! Par le slip de Merlin qu’est-ce que tu fous là ? » Le jeune blond alors âgé que de 14 ans, lui prend le bras et l’emmène à l’écart. « Tu comptes vraiment remonter ? » Sa voix est froide et sèche, Aurora ne connait que trop ce ton, Scorpius n’a jamais si compliqué à comprendre quand il était en colère. La jeune attrapeuse soupire venant le savon lui arriver dessus. « Par le slip de Merlin, on ne va pas reparler de ça Malfoy ! » Il est vrai que depuis sa précédente chute qui lui avait valu un petit séjour à l’infirmerie, tous lui avait déconseillé de démissionner de son poste, et d’abandonner une bonne fois le Quidditch qui mettait sa vie en danger. Secouant la tête la jeune sorcière tente de ravaler des larmes naissantes, marquant son aversion la plus totale pour cette idée. « Je veux pas me disputer avec toi Scorp’ alors on se voit après hein ? » Le jeune Malfoy ressert alors son emprise sur le poignet de l’attrapeuse des Serdaigle. « Lâche moi Malfoy, tu me fais mal ! » C’est alors qu’elle croise son regard bleu azure qui la fui depuis le début. Une inquiétude qui ne lui est pas commune, une inquiétude ravageuse. Une appréhension sans nom qui le ronge. « Quoi t’es devenu voyant durant la nuit Malfoy ? » Elle le bouscule gentiment avant de poser sa main libre sur la sienne qui emprisonne son poignet. « Ecoute je vais bien ça va faire une semaine que j’en ai pas eu, de… rechute… Je me suis entrainée pour ce match tellement dur Scorp’. C’est mes dernières chances d’être reconnue par une équipe de la ligue. Je n’ai que ça, je ne suis douée que pour ça Scorpius... » « C’est faux !, rétorque-t-il froidement. Tu es douée pour être préfète, tu es douée en sortilège, tu pourrais faire autre chose ! » Les yeux de la brunette se ternissent peu à peu de tristesse et sa main se dépose sur la joue de son ami avec une tendresse infime. « C’est ce que j’aime faire, je ne peux abandonner ce que j’aime, tu comprends ? » Elle lui offre un sourire teinté de douceur, et de chaleur. « Je vais bien. Et qu'est-ce qui pourrait m'arriver hein? Me faire frapper par la foudre? » « Nott ! Faut qu’on y aille ! » Un dernier sourire à l’intention de son ami accompagné d’un délicat baiser sur la joue, et dans un froissement de tissu la jeune attrapeuse de Serdaigle enfourne son balais et s’engouffre dans le stade sous les applaudissements de la foule.
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La tempête sévit violement sur le terrain de Quidditch. Aurora se demande si elle n’aurait pas dû écouter Scorpius. Le vent lui fouette le visage si violement avec cette pluie battante que sa vision même de derrière ses lunettes, est très mauvaise. Retrouver le vif d’or en ces conditions est quasi impossible. Seulement elle ne veut pas décevoir son équipe et encore moi renoncer si facilement. Elle prend une grande inspiration afin de se concentrer et balaye le terrain d’un regard perçant tel un faucon en quête de sa proie. Elle le repère enfin, son balai glisse dans la tempête sans gêne et la course poursuite. Seul le vent gronde à ses oreilles, la foule qui scande son nom lui importe peu. Sa montée d’adrénaline ne se fait que progressivement elle ne sera que totale quand elle aura mis la main sur cette petit balle dorée qui virevolte sous son nez à vive allure avec un amusement agaçant. D’un coup brusque le vif pique comme un petit éclair doré vers le ciel, sans crier garde. Aurora doit faire appel à tous ses réflexes pour éviter cogniards, bourrasques un peu trop violentes, mini tourbillon, ou bien autres joueurs. Tout ce qu’il l’importe à cet instant, attraper cette balle d’or enchantée qui la nargue dans les nuages. Un cogniard frôle sa joue puis suit sa course comme l’attrapeuse qui pique cette fois vers le sol à grande vitesse. Sa main tendue, elle le frôle du bout des doigts ce petit chenapan de vif d’or qui ne se laisse pas prendre. Seulement prise dans son obnubilation d’attraper le vif d’or elle se fait surprendre par un cornard qui emporte dans sa course la protection qui couvrait son bras, ce qui arrache à la douce Aurora un hurlement qu’elle pousse avec tout l’air contenu dans ses poumons. Elle jure à l’encontre du pauvre slip de Merlin avant de reprendre sa course contre toute attente. Butée, obstinée. Elle fait alors preuve d’une démonstration remarquable, mettant en avant ses plus grandes forces mais surtout de ses plus grands défauts dont elle est imprégnée depuis sa plus tendre enfance. Gardant son bras blessé et endolorit par la pluie glaciale contre elle et poursuivie ça course. Cependant elle aurait s’arrêter là. La voix de la présentatrice du match ne cesse parler d’elle mais les mots n’atteignent pas suffisamment ses oreilles pour qu’elle puisse comprendre ce qui se dit. Ses yeux regardent le vif d’or mais peu à peu sa vision se brouille. Tout devient flou autour d’elle sa main qui a quitté son balai, ne dirigeant celui qu’avec l’esprit divin, afin de faire ce pour quoi elle joue à ce jeu dangereux. Alors que la douce Nott sombre peu à peu dans cette transe qui lui est propre, le même cogniard qui l’a dépossédé d’une protection frappe violement le manche de son balai, projetant en même temps la demoiselle au sol dans une violence non-comparable.
« J’aimerais te dire que je suis désolé, mais je ne le suis même pas. » Je me retourne alors vivement. Tout est, trop flou. Même la voix qui vient de parler est comme noyé dans ce rideau d’eau se tenant en face de mes yeux. Juste des silhouettes. Deux silhouettes c’est tout ce que je peux distinguer dans ce rideau aquatique. Mais juste cela je peux voir ce qui va se produire. Mes poings s’abattent sur la paroi d’eau, ma voix est comme noyé, comme si ce filet d’eau la noyée à même ma gorge. Je ne sais pas ce qui me prend la panique me fait réagir comme si cela aller me couter la vie avec celle de la silhouette à terre. Mais je ne peux rien, je suis impuissante un éclair vert le frappe et puis rien… le noir dans cette eau de l’impuissance…
La chute a été violente, et pourtant Aurora Nott s’en relève. Comment elle-même ne sais pas. Elle reprend conscience de la réalité qu’une fois debout. Elle est sourde comme à peu près chaque après vision. Sous ses yeux, dont la vision est brouillée et par la pluie et par des larmes qui dévalent sur son visage meurtri par les verres brisés de ses lunettes, sans qu’elle n’ait aucun contrôle dessus, elle voit arriver une horde se précipiter sur elle. A sa tête une tête blonde. Chancelante elle tente d’avancer vers cette personne. « Scor…. Scorpius… » Un cri la transperce de bout en blanc. Son cri écho d’une douleur insupportable, inqualifiable qui brule à la fois tout son corps mais surtout son abdomen. Elle tombe à genoux ce qui fait raisonner son mal comme on fait raisonner un gong. Les yeux abaissé sur ses mains, elle découvre avec horreur la teinture de celle-ci. Un rouge vif, un rouge mortuaire, un rouge sanguinaire, un rouge meurtrier. C’est alors qu’elle ose tâter son ventre et y découvre dans un état de transe particulière, le bout de bois magique enfonce jusqu’au plus profond de sa chair. Le contact explosif du cogniard avec son balai et sa chute vertigineuse avait conduit à une blessure plus grave qu’aucune blessure de Quidditch jamais vu à Hogwarts. Fixée sur le sang qui dégouline de sa chair elle plonge alors dans une transe, un état de déconnection la plus totale avec la réalité avant de sombrer dans l’inconscient par la douleur et la peur dans les bras de son ami terrorisé.
+++
« Pauvre enfant… Vous avez entendu… Même son propre balai empoisonné par du venin d’un dragon rare… Et ce cogniard ensorcelé… » « Oh veux-tu bien te taire Cersei. Elle n’a ce que mérite sa famille ! C’est une Nott je te rappelle, des gens sont morts de leurs mains ! » « Mais ce n’est qu’une enfant, elle n’a pas connu cette époque sombre. » « Elle est une Nott, les Nott ne changent pas ! » Les paroles arrivent comme des lames de rasoir lacérant le cœur d’Aurora à peine réveiller d’un long sommeil de deux mois et demi. Quel doux réveil que d’entendre cela. Elle glisse ses pieds sur le sol frais de l’infirmerie. Cachée derrière les paravents de draps, elle réenfile sa robe de Serdaigle et bouge un des murs de tissus d’une main quelque peu tremblante et tombe nez à nez avec une tête blonde qui lui a rendu, sans qu’elle ne le sache encore, visite tous les jours. « Nott ! Qu’est-ce que tu fais debout?! » « Une non-malade ne va pas rester au lit… » Elle esquisse un brin de sourire et passe à côté de son ami éberlué. Elle sort de sa poche de robe son écusson de Préfète en chef et l’épingle à sa tenue tout en marchant, suivi de près de son ami qui semble chercher ses mots. « Combien de temps j’ai été à l’infirmerie, fini-t-elle par lâcher en s’arrêtant dans un couloir désert. » « Presque trois mois… Ta jambe ça va ? » A cette question, la douce Serdaigle fronce les sourcils et elle remarque alors une pointe de douleur dans sa cuisse droite. « J’ai… » « A l’abdomen et dans la cuisse droite… Ton balai… Tu as failli… » « Mais je suis là… J’aime trop ta compagnie pour t’abandonner. » Elle se retourne avec ce sourire si chaleur qu’elle aborde sur ses lèvres juste pour lui. « Arrêtes cette tête de déterrer Malfoy. Je vais bien ! » « La dernière fois que tu as dit ça tu as failli mourir ! On dirait que tu t’en fous Nott ! Moi je m’en fous pas je t’ai vu endormie dans ce foutu lit durant deux mois et demi ! Je voulais que tu réveilles ! Personne n’avait fois en toi sauf moi alors arrête de me dire que tu vas bien ok ? J’en ai marre que tu me dises que tu vas bien alors que je sais que avant ton accident tu te réfugiais constamment dans la volière. Chaque nuit tu étais là à pleurer à te traiter de monstre ! Me dis plus que tu vas bien si tu mens Aurora… » La jeune Nott a perdu son sourire alors que son ami a vidé son sac. Ses yeux s’embrouillent par des larmes de culpabilité. La jeune Nott ne s’en veut que très rarement, mais quand cela arrive sa culpabilité est décuplée par dix. « Scorp’ je… » Elle quoi ? Elle est désolée ? Elle s’en veut ? Elle aurait voulu ne pas être « maudite ». Elle aurait voulu être désolée d’être comme ça, si entêtée, si butée. A la place de mot elle se précipite sur son ami et se jette à son cou, en pleure. Elle ne pleure que très rarement la douce et impulsive Aurora, mais près de Scorpius elle sait qu’elle peut se laisser aller à sa peur, à ses craintes. Posés alors sur un banc dans un couloir désert elle va pour tout lui raconter. Cette vision qui se répète sans cesse. Ne sachant pas ce qu’elle peut signifier qui peut être les protagonistes et comme toujours elle finit par être réconforter par quelques mots de Scorpius.
Dernière édition par Aurora Nott le Lun 8 Avr - 9:25, édité 10 fois |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:29 | |
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dear friendAprès son accident, Aurora fut contrainte par le directeur même à renoncer à son poste d’attrapeuse pour son bien. Cela la détruit à petit feu, jamais elle ne s’en remis totalement de tirer un trait sur sa passion, son rêve : le Quidditch. Elle s’est réfugiée dans son rôle de préfète de Serdaigle et décrocha le titre tant convoitée de Préfète en chef pour ces deux dernières années à Poudlard. Elle devint une élève modèle et digne de devenir tout ce qu’elle aurait voulu être sauf joueuse de Quidditch. Elle obtint ses Buses avec succès et perfection avec les « O » qui tombaient en cascadent sauf en art divinatoire ou elle écope d’un « E » ce qui l’avais mise dans une rage monstrueuse contre son professeur qu’elle a traité de tous les noms auprès de Scorpius. Pour ses ASPICS se fut bien parfait, et cela lui valut que des « O ». Elle aurait bien pu fait tous les métiers du monde des sorciers : travailler au ministère, être aurore, enseigner à Poudlard, être soigneuse etc., mais fidèle à elle-même elle choisit ce à quoi personne ne s’attendait : Reporter international sportif, spécialisée dans le Quidditch. Il était vrai que sa plume était bonne, qu’elle s’y connaissait, mais au fond elle n’avait choisi que ça pour se faire mal. Après Poudlard, elle voyagea énormément et dans le monde entier. Après trois lettres, la défaisant de ses obligations de fiançailles adressées à son père et à Scorpius elle partit sans demander son reste. Sa vie était belle, merveilleuse comme elle en avait rêvé. Tel un oiseau elle voguait là où la porter son cœur et sa baguette. Elle avait tout pour être heureuse, elle parlait sans cesse de Quidditch, rencontrer tous ces beaux joueurs professionnel, avait parfois un flirt ou deux parmi eux, elle apprenait toutes sortes de sorts en lien avec le feu qu’on apprenait pas à Poudlard, elle côtoyait des créatures si belles et magnifiques qu’elle n’arrêtait pas décrire des kilomètre de parchemin à son ami et à sa sœur rester en Angleterre. Tout était si beau le jour. Seulement le jour. Ses nuits n’étaient que hantises, visions et peur. Son don la dévorait à petit feu, la perturbée au point à la rendre insomniaque durant parfois près de deux semaines. Dormant peu, sa santé se dégrada. +++Voir, sans ouvrir les yeux. Ne pas être aveugle pour autant, être claire voyant. L’être trop. Je vois d’une manière différente, de cette manière-là. Je m’avance, sans marcher, je survole la scène. Tout mouvement est fragmenté, saccadé. Il laisse une trainée visible comme un trait de peinture faite au pinceau. La scène est un tableau, le peintre met inconnu mais j’en admire le travail de précision dans ce brouillard qui sévit autour de moi. Chaque détail même flouté est à l’image de ce qui se déroule sous mes yeux… Une chambre, oui ça y ressemble, du moins je le crois. Je le crois grâce aux vestiges qui restent : un vieux lit baldaquin en ruines, couvert d’un fin tapis de poussière ; des tableaux tout aussi poussiéreux accrochés ici et là de la pièce, penchés, arrachés, tenant par ce malheureux fil de la volonté divine pour certains. Tout cet amoncellement de décombres donne à la pièce une atmosphère lugubre, presque celle d’un tombeau. Quelque que soit l’endroit où se pose mon regard, j’ai ce même sentiment d’angoisse qui me glace le dos. Rien ne se meut. Rien ne bouge. Tout reste parfaitement à sa place, comme ça. Mon regard fixe la pièce mais je ne vois rien. Mon ouïe est endolorie par ce silence assourdissant fait de bourdonnements imperceptibles. Tout mon corps reste immobile comme enlisé dans le sol par des racines invisibles. Je m’enlise peu à peu dans ma panique et tente de me mouvoir mais rien. Je ne suis pas de chair et d’os. Je ne suis que vision et ouïe ? Pourtant je respire, je sens cet air frais caressant mes lèvres, ma langue, ma gorge, gonflant mes poumons. Puis, cet air plus chaud plus humide fait le chemin inverse quand ma cage thoracique s’abaisse. Je sens ce corps immatériel. Il prend vie peu à peu. Doucement, dans ce brouillard qui sévit autour de moi, tel un petit cyclone. Peu à peu mon être se forme, je crois le distinguer. Des pieds, des mains. Tous translucides mais qui m’appartiennent. Une substance électrisante le compose, je pourrais presque en sentir chaque décharge, une à une, si je me concentrais. Mais on m’en empêche. Tout change. Tout tourne. Tout se brouille. Elle se meut. Elle engloutie. Elle, pas la pièce en tant que salle. Elle la pièce fait de serpents. Ils sont des dizaines de millier rampant, grouillant à mes pieds. L’effroi me saisit. Fuir, fuir à toute jambe quand votre corps ne répond pas ne sert à rien et plus le mien prend substance plus il se fait engloutir par ses serpents qui glissent, se faufilent le long de mon corps. Je tente de crier, mais rien ne sort. Aucun cri. Aucun bruit. Aucun son. Le silence de la pièce engloutit, et faire taire toutes mes tentatives. Je suffoque sous mes nouveaux habits faits de reptiles vivants. Je me fais engloutir par ce sol mouvant et vivant. Un courant d’air glacial souffle le long de ma nuque. Une voix murmure. Un chuchotis évoqué dans une langue que je ne comprends pas. Un susurrement à me glacer le sang que je n’ai pas dans cette enveloppe. Dans une dernière tentative, je cris, je tente, j’essaye… Quelque chose en sort mais pas quelque chose fait de son. La vision, la sensation de ce serpent sortant de ma bouche me soulève le cœur, me faisant tomber au sol. Les murs laissent alors entrer une brise glacial, la pénombre de la pièce se change en une pâle lumière. Le lieu change par lui-même par étape et alors que les serpents disparaissent, un nouveau décor prend place. Trop secouée pour m’en rendre tout de suite compte. Je me relève subitement cherchant le moindre serpent dans ce décor de plaine avec pour seul décor : un ciel gris, une pâle lumière de jour, et un amas de cailloux. Quand je prends conscience de la totale absence de reptile je me permets de souffler, du moins intérieurement. Pourtant mon sentiment d’appréhension et d’angoisse ne me quitte guère. Je souhaite que tout cela se termine très vite. Et comme si on m’avait entendu quelque chose se produit. Le monticule de pierre entassé à quelques pas de moi prend feu, littéralement. Je suis poussée par la curiosité et la crainte. Les flammes ne montent pas bien haut et pourtant elles m’intriguent. Réparties d’une certaine manière elles forment quelque chose, des mots écrits par le feu. Comme une trainée d’encre laissée par une plume, le feu se répand par l’intermédiaire d’une plume invisible. Des lettres écrites l’une après l’autre. « A – u – r –o – r – a ». Mon prénom, pourquoi ? Puis le rythme de l’écriture ardente s’accélèrent les mots s’écrivent mais s’effacent aussitôt. Ils se succèdent sans que je ne puisse les comprendre. Puis une voix, la même que précédemment, mais encore plus glaciale… « Bientôt ton tour » me susurre-t-elle à l’oreille. C’est alors que le feu s’immobilise brusquement en une phrase. Une seule et unique phrase : « Ici gît, Aurora Nott. » Je me retourne brusquement, ce cœur inexistant battant contre mes tempes sous la panique. Puis rien après cette ultime vision du sinistros se jetant sur moi gueule ouverte et crocs déployés…Un cri perçant tranche net le silence de la chambre. Ses yeux se sont ouverts brusquement dans la pénombre de la chambre. Son corps tremblant sous les derniers spasmes de son cauchemar, ou plutôt de sa vision. Trempée de sueur la jeune Nott, reste immobile encore tentant en vain de se calmer. Ses mains restent crispées sur les oreillers, pour ne pas trembler. Son regard fixe le vide pour ne pas voir ce qui l’entoure. Son cerveau bouillonne sous ces images qui ne cessent de tourner, de retourner, de repasser sans cesse en boucle. Quand elle réagit enfin c’est pour prendre une grande inspiration afin de sangloter tout en se recroquevillant. Elle devrait être habituée, elle l’est mais pourtant le post-choc est toujours aussi rude pour elle, tout le monde après ce genre de vision le monde lui paraît si effrayant. Recroquevillée en fœtus, la demoiselle dont la chevelure est trempée tente de se cacher sous ses couvertures. Se cacher voilà ce qu’elle voudrait bien être capable de faire. Se glisser sous une cape d’invisibilité n’être plus visible aux yeux du monde et rester là à jamais pour ne plus être un outil de vision… Le temps file, et peu à peu la douce Aurora reprend le contrôle d’elle-même. Elle se redresse doucement fait glisser ses pieds le long du lit et les pose sur la fraicheur du sol. Sa main rampe jusqu’au des oreillers et en ressort sa baguette. D’un geste lasse et routinier du poignet elle lance le sort de Lumos, sans grande difficulté. Les lumières de sa tête de lit et de son bureau s’allumèrent en de petites flammèches vacillantes. Elle se lève et titube jusqu’à son bureau où elle s’affale sur le siège comme si cette vision lui avait absorbé toutes ses forces. Elle approche une main tremblante vers l’encrier et saisit sa plume. D’une écriture épuisante, et mal assurée elle rédige alors ces quelques mots : Mon cher et tendre Scorpius, Tes nuits doivent être bien plus douce et agréable quand je ne t’embête pas de mes lettres nocturnes. Pardonnes encore celle-ci. Je sais que je te promets à chaque fois de cesser ces désagréments nocturnes et je finis toujours pas briser cette promesse. Seulement, je ne puis me résoudre à ne plus t’écrire. A qui d’autre pourrais-je donc confier mes tourments ? Parfois mon cœur meurtri du manque de ton absence me fait me demander si toi aussi je te manque, ne serait-ce qu’un soupçon dans ta vie bien remplie. Ma vie est fabuleuse, voyager est ce dont j’ai toujours rêvé. A si je pouvais t’écrire tout ce que j’ai vu ou appris mon tendre ami… Sa plume s’échappe de ses mains, l’épuisement la gagne plus vite qu’elle n’y a songé. Alors dans un dernier élan de force elle ensorcelle la plume et lui dicte doucement les mots qu’elle doit poser sur le papier. … cela me prendrait bien plus qu’un parchemin. Cependant, malgré l’enchantement du monde, mes « rêves » ne me quittent pas. Ils s’amplifient, se multiplient, et se manifestent de plus en plus souvent. Je ne sais que faire, Scorpius. J’ai tenté d’apprendre à les maîtriser comme le font les grands voyants, mais c’est en vain. Oh Scorpius comme je suis nostalgique du temps d’Hogwarts ! Tu as toujours su quand je fuyais afin de me réfugier dans la volerie. Tu as toujours su me retrouver et apaiser mes peurs. Seulement, tu n’es plus là. Je ne te blâme pas ronchon de la nuit, je l’ai voulu car je ne pouvais pas compter éternellement sur toi. J’ai su durant un temps me réfréner pour ne plus t’embêter de cela. Malheureusement depuis quelques temps ces visions d’effroi le sont plus qu’avant. Je ne sais pas ce qu’elles peuvent bien représenter et ce qui m’effraie. Ô mon tendre ami, tes bras et tes mots me manquent. Malgré le fait que je ne te croyais guère quand tu me disais que tout irait bien, j’osais à l’espérer car je savais que tu serais toujours là. Avec Moi. La fatigue m’empêche de t’écrire de ma main ce soir. Je me rattraperai à ma prochaine lettre, cela je peux te le promettre sans crainte. Je t’embrasse. Tendrement ta douce Aurora. La plume se pose sur le bureau délicatement tandis qu’Aurora ferme sa lettre à la cire. Elle se lève non sans difficulté, mais moins chancelante qu’avant et porte sa missive à son hibou. « Debout ma belle. Pardonne moi ce dérangement mais pourrais-tu portais cela à Scorpius ? » L’oiseau la toise de son œil jaune et hulule doucement en frottant sa tête contre la main de la jeune femme. Aurora a toujours eu ce contact particulier avec les rapaces et elle pouvait bien passer des heures durant ses années à Hogwarts dans la volerie à écouter le hululement des hiboux et le son de leur battement d’ailes. L’oiseau prend dans son bec la lettre et virevolte jusqu’à la fenêtre ouverte où il s’élance dans la nuit. Quand à Aurora elle se laisse glisser le long du pied du lit, s’emmitoufle dans un châle et ouvre un livre pris sur un tas au hasard sur le sol de sa chambre. Pour elle la nuit est belle et bien terminée.
My life, My choicesPas après pas elle arpente le long couloir de l’entrée de cette entre. Le bruit a laissa place à un semi-silence empli de messes basses. Sur son passage on la dévisage, on marmonne des choses qui ressemblent à du mépris, de la méfiance. Des insultes fusent mais elle est comme immunisé contre cette ambiance. « Qu’est-ce que tu fous là Nott ?! » Une silhouette se détache de la masse noir qui l’entoure, pour lui bloquer le passage. Silencieuse elle baisse les yeux. « Je t’ai posé une question Nott ! » Le jeune homme la bouscule mais les yeux baissés, elle ne réplique pas, garde le silence ce qui lance le jeune sorcier dans une colère noir. « Laisses ta baguette où elle est, Skindor ! » Pour la première fois depuis son arrivée la jolie brune relève le regard vers le haut des marches. « T’es pas sérieux Albus, une Nott ?! » « Ca ne te regarde pas. Laisses la passer. » Le ton autoritaire mais posé du jeune Potter n’a pas changé depuis leur dernière rencontre. La jeune Nott s’avance alors mais le sorcier en face d’elle reste toujours hostile. « Hors de question Nott, demi-tour ! » Le jeune homme en face d’elle frôle de ses doigts sa baguette. « Je ne suis pas venue pour toi Skindor. » D’un ton calme et posé Aurora montre tout son désir pour éviter l’affrontement, seulement un doux et lancinant vertige la fait vaciller quelque peu. Les yeux fermés elle lance un sort de Protego qui fait ricocher le sortilège de Stupéfix que le jeune homme vient à peine de lancer le frappant de plein fouet étant jeté trop près du bouclier magique. Soupirant un peu épuisée, Aurora enjambe le corps inerte du jeune homme sous le regard haineux de la foule de l’antre. Elle monte les marches sous les « sale Mangemort » et les « future traitresse ». Elle suit le propriétaire des lieux doucement dans un froissement de cape.
+++ « Tu sais pourquoi je suis là, n’est-ce pas Albus. » Ses yeux fixés dans le vide, elle prend la parole depuis son arrivée silencieuse dans le bureau de cadet des Potter. Figée devant la vitre de la pièce du bureau, elle reste extrêmement calme et silencieuse. « Je sais Aurora, et je n’en vois pas aucune objection. » « Mais tu sembles être bien le seul. » Se retournant vers lui elle fixe Albus avec des yeux las et fatigués. « Mais ce n’est pas eux qui décide. » Elle pousse doucement un soupire. « Albus, tu sais pourquoi je suis là. Je suis venue avant même que tu ne recrutes officiellement. Tu sais qu’elles sont mes intentions. Seulement… » « Seulement ton don n’est pas sûr, je le sais. Et je n’ai pas dit que je te ferais entrer comme une privilégiée. Un duel ça te dit ? » Aurora fronce légèrement les sourcils. « Je suis surement rouillée… » « La célèbre Aurora Nott, rouillée ? Je me souviens que tu as perdu que très peu de duel magique non ? » « Oui seul ceux où j’ai eu des visions mais… » « Tu gagnes tu entres dans l’Ordre tu perds je ne pourrai plus rien pour toi. » Elle sourit faiblement et acquiesce d’un signe de la tête. « C’est réglé. Sinon ça… va en ce moment ? » Elle hausse doucement les épaules. « Difficile … Nuits courtes… La routine. » Elle sourit à son ami. « Et toi ? » « Un frangin barré… un regroupement de Mangemorts qui pointe le bout de sa baguette… La routine. » Ils rient à leurs inepties. Albus lui montre alors la porte et ils se dirigent vers cette dernière. « Tu ne m’as jamais dit comment ça marcher... Tu sais ton… » « Mon troisième œil ? Cela dépend… » Elle s’arrête tout en fixant le bois de la porte. « Je… Je suis navrée Albus, ce n’est pas simple à expliquer… Peut-être un jour… » Elle passe le pas de la mort dans ce froissement de cape qui lui est si propre depuis ces dernières années.
Dernière édition par Aurora Nott le Lun 8 Avr - 9:39, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:43 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Que dire du choix d'avatar |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:48 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 9:54 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 10:08 | |
| Quand elle se rendra compte qu'elle aura pas du briser ses fiancailles, elle laissera parler DARK AURORA |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 10:56 | |
| Un choix de scenario magnifique et puis l'avatar Bienvenue |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 11:29 | |
| T'as intérêt à gérer ta fiche, chérie |
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James Potter
SORTS JETÉS : 2426 AVATAR : max irons. CRÉDITS : voir avatar. BAGUETTE : bois de tremble, 29 centimètres et demi, impregnée d'un ventricule de dragon. Souple.
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 17:40 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mar 2 Avr - 18:47 | |
| bienvenue |
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Albus Potter
SORTS JETÉS : 1070 AVATAR : aaron johnson CRÉDITS : bigbadwolf BAGUETTE : elle est faite en bois de chêne rouge, contient un crin de sombral et mesure vingt-sept centimètres. souple et droite.
| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mer 3 Avr - 6:18 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Mer 3 Avr - 8:09 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Nous faudra un lien, Scorpius est mon coloc |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Jeu 4 Avr - 3:39 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Jeu 4 Avr - 5:39 | |
| Je dévore ta fiche de chapitre en chapitre ma belle |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Lun 8 Avr - 9:46 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Lun 8 Avr - 10:18 | |
| tu es validée ! félicitations jeune sorcier !
Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi ! Aurora est parfaite, Aurora est parfaite, Aurora est parfaite, Aurora est parfaite, PAR LE SLIP DE MERLIN ta fiche est un pur régal, autant sur l'orthographe, la formation des phrases, que le choix des mots, mais surtout, Aurora quoi. Elle est si attachante et tout. J'ai adoré, vraiment tu es parfaite pour le rôle, nous allons RP et je veux te faire des bébés |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness Lun 8 Avr - 10:25 | |
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| Sujet: Re: ♰ love is a darkness | |
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