Ici vous devrez répondre aux questions données en cinq lignes minimum. Il est important que chaque partie soit bien développée afin que les idées et le caractère de votre personnage soit bien perçu par tous. Ce message est à effacer.
› Avez-vous déjà entendu parler de la légende du Phoenix ? Qu'est-ce que vous en pensez ? : répondre ici .
› Quelle est votre position par rapport à la guerre ? : répondre ici .
› Pensez-vous que les prétendus mangemorts, leurs familles, ont été opprimées ces dernières années ?: répondre ici .
› Que pensez-vous des rumeurs comme quoi Harry Potter aurait été tué par James Potter ? : répondre ici .
› Que pensez-vous de la création d'un nouvel ordre ? :répondre ici .

le début d'une nouvelle vie ◊ Elle s'observe dans le miroir, les yeux emplis de doute. Son regarde s'attarde sur la robe d'argent pâle, brodée de plumes noires qu'elle a dessinée elle même. Le vêtement est tel qu'elle l'a toujours rêvé pourtant elle ne ressent pas une pleine satisfaction. La porte s'ouvre derrière elle, la faisant se retourner vivement. « Es tu prête, Astoria ? » . Sa mère, Yara Greengrass, se tient sur le seuil de la porte. Il n'y a pas de trace de doute dans ses yeux à elle. Ce mariage, c'est ce qu'elle a toujours voulu pour sa fille. Cette dernière secoue la tête, ne sachant pas si elle devait prendre cette question littéralement. La réponse était de toute façon négative dans les deux cas. Yara soupire. « Assieds-toi, je vais arranger tes cheveux. » . Astoria se pose doucement sur le tabouret en bois faisant face à la coiffeuse. Il n'y avait pas un ordre de sa mère qu'elle n'avait jamais exécuté. Sa génitrice s'approche, sa baguette sortie et commence à faire onduler ses cheveux. « Ton père et moi, nous sommes très satisfaits de cette union. A vrai dire, nous sommes satisfaits de tout ce que tu as accompli. Tu fais honneur à la famille, de ton entrée à Serpentard jusqu'à aujourd'hui. Les Malfoys sont la famille la plus noble qui soit. » . La future jeune mariée baisse la tête en silence tandis que ces cheveux commencent à s'élever pour former un chignon, découvrant sa nuque gracile. Ses paroles, qui étaient pourtant les plus chaleureuses que sa mère lui ait jamais adressées ne la touchaient pas. Elles firent même naître un sourire discret sur le coin de ses lèvres. Car Yara Greengrass ignorait bien des choses sur sa fille. Par exemple, elle n'avait jamais su que le choixpeau de Poudlard souhaitait envoyer l'adolescente à Serdaigle ou qu'elle avait jadis rêvé d'épouser un moldu. Ou encore qu'elle ne prévoyait pas du tout d'embrasser la carrière toute tracée au ministère que ses parents avaient préparée pour elle. Non Yara ne savait rien. Et elle n'en saurait jamais rien. Astoria savait se contenter des petites victoires qu'elle obtenait, elle savait refréner sa soif de liberté pour tenir son rang. Elle était plus douce que les autres membres de sa famille. Mais aussi plus sage. Elle comprenait que sa vie n'était pas à détester. Certes, elle devait se plier aux conventions et à ses devoirs mais elle n'était pas malheureuse et son rang lui apportait un confort et sécurité. Le mari que ses parents avaient choisi était respectable et lui plaisait. Elle pourrait être heureuse avec lui... Elle voulait être heureuse avec lui... Sa coiffure étant presque achevée, sa figure maternelle lui glissa un ornement dans les cheveux : deux serpents d'argent enlacés. « Un cadeau de ton futur mari. » . L'attention touche la jeune sorcière, balayant quelques peu les doutes bien légitimes qui saisissent chaque future épousée quelques minutes avant le grand moment. Elle se relève, n'attendant guère de compliment supplémentaire. Pour la première fois de la journée, elle parla. « Je suis prête, vous pouvez aller chercher père pour qu'il me conduise à Draco. » Une étrange sensation naît au creux de son ventre quand elle prononce le nom de celui avec qui elle va partager le reste de sa vie. Oui, elle était prête à devenir Astoria Malfoy.

la vie conjugale ◊ Elle frappe à la porte et la pousse sans attendre la réponse, se retrouvant dans le bureau de son mari. Celui-ci, penché sur une lettre visiblement importante lève la tête, les sourcils froncés. Mais son visage se détend quand il reconnaît sa femme. Astoria lui adresse un sourire radieux. « Je venais juste te prévenir que j'emmenais Perry faire des courses avec moi. Donc ne t'inquiète pas si le manoir est très calme tout à coup. » . Il pousse un soupir ostensible et se lève pour se rapprocher d'elle. Elle sait d'avance ce qu'il va lui dire mais elle le laisse faire.  « Chérie, je t'aime beaucoup mais je crois t'avoir déjà demandé de ne pas appeler notre fils ainsi. » . A son tour, elle fait mine de se rapprocher de lui, sans se départir de son sourire. Elle aime son entêtement, elle aime avoir cette discussion avec lui une énième fois. Elle lève une main taquine et lui caresse la joue, plongeant ses yeux dans les siens. « En effet, tu l'as demandé. Comme je t'ai demandé ne pas l'appeler Scorpius Hyperion. Mais tu n'as pas écouté, que je sache... Donc c'est de bonne guerre. ». Il feint de ne pas être amusé. En vain. De toute façon, il sait qu'il n'aura pas gain de cause sur ce point. Astoria utilise depuis toujours ce diminutif tiré du second prénom de son fils. Et elle se fiche bien d'être la seule à le faire. Au contraire, cela la rapproche de lui en quelque sorte... Sentant la tendance s'inverser en sa faveur, elle en profite. « Écoute, c'est un petit garçon, il n'a pas besoin d'un nom aussi compliqué pour le moment. Et toi, mon cher mari, tu ne devrais pas faire cette tête là. Cela te fait ressembler à mon père, et ce n'est guère séduisant pour moi. » . Il accuse le coup, plissant les yeux avec un petit air moqueur. Il attrape la main qui s'égare le long de sa mâchoire pour attirer l'insolente près de lui et déposer un baiser sur ces lèvres. Cela a le mérite de la faire taire quelques instants. Elle apprécie toujours ces moments où son mari sort de sa retenue habituelle. Il s'écarte d'elle, ressemblant au diable en personne. « Tu veux vraiment qu'on discute de mon potentiel de séduction maintenant ? » . Elle secoue la tête, recherchant ses lèvres à nouveau. Il emprisonne sa seconde main, bloquant son mouvement avant de l'embrasser une seconde fois d'un manière terriblement chaste. Il se venge... à sa façon. « Je te souhaite un agréable après midi avec Scorpius. » . Il a bien entendu insisté sur les deux dernières syllabes. Et c'est fini. Il s'éloigne d'elle et retourne s'assoir face à son bureau, avec un sourire satisfait, la laissant frustrée, redevenant sérieux. « Tu ne veux pas venir avec nous ? » . Il hoche la tête, ne la regardant déjà plus. Elle lui retourne une mimique agacée avant de quitter la pièce pour aller chercher son fils. Parfois, le nom de Malfoy était difficile à porter à cause du passé ou de certains accès caractériels de son mari, mais pas dans les jours comme celui-ci, ces jours où elle avait l'impression que toutes les pièces du puzzle s'imbriquaient parfaitement.

la rôle de mère ◊ Dans le hall du grand manoir, elle retrouve l'enfant, prêt à partir. Tous deux se réjouissent à l'idée de quitter pour quelques heures le silence oppressant du manoir. Astoria s'agenouille devant Scorpius pour réajuster son écharpe... de couleur verte, cela va sans dire. « Il faut que tu t'habille bien chaudement mon amour, il fait froid dehors et nous allons y rester longtemps. » . Les yeux limpides du petit garçon s'allume face à cette déclaration. Il a beau être jeune, ces capacités de réflexions sont déjà très développées. « On ne va pas faire les magasins alors ? » . Sa mère le contemple avec affection avant de secouer la tête d'un air malicieux. Puis, elle se penche vers son fils avec un air de conspiratrice, humant au passage la délicieuse odeur de chocogrenouille qui émane de lui. « Non, ça c'est ce qu'on dira à papa tout à l'heure. La vérité, c'est qu'on va dans notre endroit secret. Enfin, si tu veux bien sûr... » . Il hoche la tête vigoureusement, ce qui la fait doucement rire. Elle est totalement folle de cet enfant. Si à la base, elle avait vécu sa maternité comme une potentielle entrave de plus, tout avait changé depuis que Scorpius était venu au monde. Il était son rayon de soleil, il représentait quelque chose qui lui avait toujours manqué sans qu'elle le sache. Finalement, il lui avait fait comprendre qu'elle était faite pour être mère. C'était même elle qui avait souhaité avoir un deuxième enfant. Mais Drago avait refusé. Il avait eut ce qu'il voulait, son héritier, il voulait se concentrer sur cet unique enfant. « Maman, pourquoi on ne peut pas dire qu'on va chez les moldus ? » . Une question innocente mais dont la complexité de la réponse n'était plus à prouver. Astoria n'aimait pas les conflits. Elle ne voulait pas insérer d'idées fausses dans l'esprit de son fils tout comme elle ne voulait pas lui dire la vérité pour le moment. Elle éluda donc la question. « Ce n'est pas qu'on ne peut pas le dire, mais c'est plus amusant de garder le secret, non ? » . Il parut y réfléchir sérieusement avant d'acquiescer. Elle soupira de soulagement, attrapant sa main dans la sienne. Et ils se mirent en route. Leur destination : le zoo de Londres, un endroit qu'elle affectionnait particulièrement. Elle aimait observer les créatures étranges qui s'y trouvaient, déplorant cependant l'absence des dragons. Mais par dessus tout, elle éprouvait un intérêt tout particulier à se mêler aux moldus et à apprendre la tolérance à son fils...C'était leur rituel. Le seul bémol était bien entendu la peur que Drago découvre cela. Car ces excursions ne collaient pas vraiment avec l'éducation qu'il essayait de donner à Scorpius...

le début de la fin ◊ Seule dans la nuit, assise sur le divan face à la cheminée, elle fixait les flammes d'un air absent, levant de temps à autre sa baguette pour réduire en poussière les résidus qui voletaient doucement à ras du sol. Elle aurait dû être en train de vivre une soirée parfaite mais les échos de la terrible dispute entre son fils et son mari retentissaient encore dans son esprit tourmenté. Astoria Malfoy était en colère, terriblement en colère. Principalement contre son mari. Drago montrait un entêtement désolant. Si par le passé celui-ci l'avait amusée, elle n'avait désormais plus envie de rire. Pas quand cette obstination malsaine lui faisait perdre son enfant unique un peu plus chaque jour. A l'heure actuelle, ils auraient dû être tous les trois en train de fêter l'obtention des ASPIC de Scorpius mais la situation avait totalement dégénérée. Le cœur d'Astoria se serra quand elle se rappela l'expression de pure joie qu'avait eut le jeune sorcier quand il était venu annoncer ses résultats avant que son père ne la fasse lentement mais sûrement disparaître par ses mots durs... Elle soupira tristement. Elle s'en voulait aussi aussi. Elle n'avait rien dit. Elle n'avait pas pu se résoudre à prendre partie pour l'un ou pour l'autre. Et maintenant, son Perry était parti. Une sourde inquiétude lui tordait d'ailleurs le cœur à cette idée. Ou était t-il ? Elle espérait qu'il soit avec un de ses mais mais elle savait Scorpius fier... Un bruit lui fit relever la tête et elle constata que son mari l'observait d'un air froid. Était-ce à cause des petites explosions qu'elle produisait régulièrement ? Les larmes sur ses joue ? Son manque de dignité face à la situation ? Elle n'en savait rien. Mais elle ne pouvait pas supporter la vue de son époux, pas pour le moment. Elle leva sa baguette et ferma sur lui les portes du grand salon, constatant avec une légère pointe de satisfaction qu'il semblait abasourdi. Tant mieux ! C'était la preuve qu'il pouvait ressentir autre chose que du mépris... A nouveau seule, elle plongea sa tête entre ses mains. Elle le savait, elle ne supporterait pas la vie ici sans Scorpius, elle ne supportait pas la dissolution de sa famille. Elle avait besoin de voir le père et le fils uni. Malheureusement, elle était en train de réaliser avec effarement qu'il y avait bien longtemps que leurs liens s'étaient délités... Elle avait été aveugle et en payait maintenant les conséquences.

la nouvelle guerre ◊ « Qu'est-ce que vous pensez de la mort de Harry Potter ? » . Astoria suspend son geste, ne sachant quoi dire. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'une de ces clientes lui posait la question mais elle n'aimait pas évoquer le sujet. Elle sort donc une réponse mécanique. « Je pense qu'on devrait attendre les conclusions du ministère et ne pas anticiper la vérité. » . La cliente semble se contenter de cette esquive et se remet à babiller. Il faut dire que c'est tout à fait le genre de personne qui aime s'écouter parler et qui pose des questions par pure politesse ou pour ensuite donner son propre avis sur ces questions. L'ancienne Serpentard la laissait donc parler, tout en s'activant autour d'elle pour ajuster la robe qu'elle avait conçue à son intention. Enfin, l'essayage se termine, et la cliente repart l'air satisfaite. Épuisée par ses bavardages, Astoria se laisse tomber sur une chaise, entreprenant d'inscrire la vente de la robe sur son carnet de compte à l'encre verte. Elle était satisfaite de la façon dont sa boutique tournait et de la façon dont elle pouvait exprimer sa créativité loin de la tutelle de son mari. A vrai dire, c'était une de ses seules satisfactions actuelles... La cloche de la porte d'entrée tinte, elle relève la tête pour accueillir son nouveau client. Mais à la place elle a l'agréable surprise de voir son Scorpius. Un large sourire fend son visage tandis qu'elle se précipite pour le serrer dans ses bras. Une fois que c'est fait, elle s'empresse de le gronder gentiment. « Tu es sûr que tu manges correctement ? On dirait que tu as encore maigri ! » . Les récriminations d'usages passées, elle s'enquiert de son travail au ministère, de Rose, de Frank... Scorpius lui manque tellement entre chaque visite... cette conversation avec lui est une bouffée d'oxygène. Elle l'écoute avec attention, fière de ce qu'il devenait. Puis enfin, elle posa la question qui la taraudait. « Tu travailles au ministère... tu dois donc en savoir plus que le reste du monde. Est-ce que c'est vrai qu'une nouvelle guerre se prépare ? J'ai peur Scorpius. Promets moi que tu fera en sorte d'être en sécurité... » . Le silence qu'il lui oppose est éloquent. Elle sent un tremblement naître dans ses mains. « J'ai toujours été fière de toi, de la façon dont tu as suivi ta propre voie mais je ne suis pas prête à te perdre... » . Elle lui arrache une promesse faite du bout des lèvres et se retrouve instantanément projetée dans ses pires cauchemars... Son instinct de mère ne la trompait pas. Elle avait toutes les raisons de s'inquiéter. Scorpius exerçait en temps normal un métier dangereux mais pour l'avoir élevé, elle savait que si une guerre éclatait, Scorpius prendrait parti.. et pas forcément le même que le reste de la famille. Elle renonça d'ailleurs à essayer de lui parler de Drago cette fois-ci, bien qu'elle caressait toujours le rêve de réunir les deux hommes les plus importants de sa vie.

le retour du passé ◊ Bien après que Scorpius soit reparti de la boutique, elle transplana chez elle, avec dans l'idée de se faire coucher un bain chaud. Son assistante avait attrapée la dragoncelle, et gérer la boutique seule était plus compliqué qu'à ses débuts maintenant que celle-ci avait acquis une certaine renommée. Elle visualisa le hall d'entrée du manoir Malfoy et s'y retrouva aussitôt. Cependant, il n'était pas vide comme d'accoutumée. Drago s'y trouvait, se préparant visiblement à sortir. Ils ne se saluèrent que d'un signe de tête, leur rapports n'avaient cessés de se refroidir depuis le départ de Scorpius. Si Astoria n'avait jamais fait de reproches de front à son mari, elle ne lui pardonnait pas pour autant. « Tu vas quelque part ? » . Il darda un regard impatienté sur elle mais répondit d'une voix calme. « En effet. Ne m'attends pas, je risque de rentrer tardivement. » . Il la congédiait, comme le confirma le pas qu'il fit en direction de la porte d'entrée. En temps normal, ils en seraient sans doute resté la mais aujourd'hui était différent. Astoria avait encore en tête le regard de Scorpius quand il avait parlé d'une nouvelle guerre. Elle avait un mauvais pressentiment depuis l'assassinat d'Harry Potter et celui ci était en train de se confirmé. Elle devait savoir. « Je peux venir ? » . Il la regarda avec surprise avant que son visage ne se durcisse. Il hocha la tête, négativement. Elle ouvrit la bouche prête à répliquer mais il ne lui en laissant pas le temps. « Ne prends pas la peine de me demander où je vais, je ne te le dirai pas. » . C'était maintenant ou jamais, elle le savait. Elle s'avança d'un pas, se faisant accusatrice. « Je n'ai pas besoin de demander. Je vois ce qui se passe, je ne suis pas aveugle. Harry Potter est mort. Tout le monde parle d'une nouvelle guerre en préparation, tu sors le soir, et tu revois certains de tes anciens amis... Je sais ce que tu fais Malfoy ! » . Elle l'appelait rarement par son nom de famille, sauf quand elle était en colère. Et cette fois ci, c'était bel et bien le cas. Elle avait peur. Peur que le père fasse encore les mauvais choix, peur que le fils soit obligé de l'affronter, peur pour sa famille, peur pour elle qui ne pouvait pas vivre sans eux, peur d'une nouvelle guerre où on compterait les morts par centaines... « Dans ce cas, viens avec moi. Viens avec moi et nous obtiendrons notre vengeance. Nous redonnerons du prestige à notre nom et nous serons plus uni que jamais dans la quête du pouvoir... » . Elle secoua la tête, ne voulant pas croire ce qu'elle entendait. Elle n'avait pas voulu y croire jusqu'à maintenant mais là, elle n'avait plus le choix. Les yeux de Drago brillaient d'un éclat nouveau, un éclat qu'elle n'avait pas vu depuis Poudlard. Constatant son mutisme et son immobilité, il insista, tendant son bras. « Y-allons nous ? » . Elle se fit violence pour secouer la tête tandis que ses convictions s'effondraient. « Comment peux-tu ? Comment peux-tu repartir là dedans ? Toutes ces années qui ont passées ne t'ont rien appris ? Comment peux-tu faire ce choix alors que plus rien ne t'y oblige ? Est-ce que c'est ça qui te fait rêver à présent ? La vengeance ? » . Elle pensait qu'une dispute tumultueuse s'annonçait. Il n'en fut rien. Avec un détachement cruel, il ignora ses questions et sa détresse, prenant congé une nouvelle fois d'un ton poli mais légèrement agacé, la laissant encore et toujours seule dans ce manoir qu'elle n'en pouvait plus de détester. Une seule pensée tournait dans sa tête... le pire était à venir.