› NOM : descendante de la très riche famille des allerdyce.  › PRÉNOMS : aobh emrose› AGE : tout juste dix sept ans, elle est presque encore une enfant.  › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un jour brumeux d'avril dans cette grand ville qu'est new york.  › STATUT : irrémédiablement seule. › STATUT DU SANG : sang sale. sang boueux. sang de bourbe.  › ORIENTATION SEXUELLE :  elle ne sait même pas elle-même. elle se dit comme toute personne "normale"  elle aime les garçons. › MÉTIER : a peine sortie de poudlard, elle a réussi à décroché une place de stagiaire au département des mystères. mais bon, elle fait plus le café qu'autre chose. › BAGUETTE : vingt centimètre, bois d'acaia, écaille de sirène. une baguette étrange qui la maitrise plus qu'aobh la contrôle. › MAISON A POUDLARD : à ses onze ans, après l'avoir arrachée à son monde, embarqué dans un train pour un endroit inconnu, on lui a mis un chapeau sur la tête, et ce foutu bout de tissu  a décidé de la maison où elle vivrait les sept prochaines années de sa vie. le choix s'est arrêté sur celle qui avait la pire réputation, celle des mages noirs, serpentards. hypocrites. › PATRONUS : elle n'a jamais réussi à en produire un. pas qu'elle ait le coeur trop sombre, elle n'a juste jamais été assez douée.  › EPOUVANTARD :  elle, vieillissante. elle a peur de la fin tout simplement. › CREDIT : Frenchadicted

› UN SORT : métamorphose humaine. › UNE POTION : potion d'allégresse améliorée. › UN OUVRAGE : vanity fair de william makepeace thackeray. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : arbitre. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : transplanage. › UN MAGE CELEBRE : harry houdini.› UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : dans des millions d'années, quand la terre aura explosé. › UNE CREATURE MAGIQUE : une licorne.

› pseudo : spf. › prénom : marie. › âge : 18 › fréquence de connexion : fréquente :D › personnage : pi, cey la vie. › groupe : neutre. › commentaire ? : VIVE LES LAMAS.

elle fait un boulot qu'elle déteste, et qu'elle ne sait même pas par qu'elle miracle elle a réussi à le décrocher o elle n'a aucun contrôle sur sa consommation de drogue o elle a des problèmes de santé qu'elle occulte complétement o elle n'est jamais allée en Afrique du Sud, et n'a donc jamais rencontré la famille de sa mère o elle n'a d'ailleurs presque aucun contact avec sa mère, et se fait juste le diner de famille mensuelle au restaurant o elle ne parle que très rarement de sa période à poudlard, où elle avait une réputation plus que désastreuse o elle n'est jamais tombée amoureuse, et a parfois l'impression qu'elle ne peut pas aimer o elle est totalement immature, et a dû mal à s'autogérer o elle vit seule dans un appartement payé par papa et maman, la solitude la met mal-alaise mais ne se voit pas vivre avec quelqu'un.

Chercher la gosse bien trop jeune avec une cigarette à la main, des vêtements bien trop vulgaire pour son âge, et un air arrogant sur son visage, et vous la trouverez. Aobh ne saurait exactement vous dire quand elle a commencé à faire plus attention à ce qu’on pensait d’elle, qu’à ses propres convictions, quand est-ce qu’elle a fini par devenir ce que les autres voulaient qu’elle soit plutôt ce qu’elle voulait être. Parce qu’à la fin, Emrose n’est qu’un genre. Elle est l’amie que vos parents refusent vous fréquentiez, celle qui ne porte plus des vêtements parce qu’elle les aime, mais parce que c’est à la mode,  la fille tellement populaire qu’elle en devient impopulaire, la fille presque pathétique que vous regardez avec envie, mais que vous refuseriez pour tout l’or du monde d’être à sa place. Ô oui, elle est belle la noiraude, avec ses traits fins, son corps mince et parfait, ses fringues trop sexuées, son regard qui vous transperce mais que vous ne savez pas lire. Parce que vous l’auriez lu, et vous auriez su. Su qu’elle n’est pas heureuse. Su qu’elle se fait vomir dans les chiottes à chaque repas, qu’elle compte toutes les calories qu’elle mange, qu’elle se met tellement de maquillage qu’elle en a la peau irritée, qu’elle s’épile à s’en faire saigner, que toutes les heures de sommeil perdu à faire la fête, à se faire belle s’inscrivent en grande cerne acariâtre sur son visage de poupon, qu’elle n’est plus qu’un déchet. Alors, elle marche fièrement sur ses talons de douze, le port de tête droite, le regard conquérant. Elle regarde dans le miroir, voit cette couleur de peau qui lui vaut tant de haine, voit ses traits marquées par ses abus, et ose se dire que c’est peut-être ça, être vivant. Vivre à ne plus s’en reconnaître. Au final, ce reflet dans la glace, elle s’y est fait. Elle l’aimerait presque. Mais qu’est-ce que l’on sait de l’amour à 17 ans ?

La première fois qu’elle vit la lumière du jour, elle lui éblouie les yeux, sa mère cacha son visage avec sa couverture juste pour qu’elle se sente mieux. Elle n’avait que trois jours, et elle se sentit pour la première fois importante. Sentiment qui ne fut par la suite que bien rare. Sa mère, Ingrid Allerdyce né Mogwadi, mannequin prodige venait de mettre au monde son premier et unique enfant. Elle était si débordante de joie qu’elle rayonnait. Le bonheur se maculait sur son visage. Elle était si jeune, et elle avait si peur. Peur de tout foirer, et de ne pas être à la hauteur. Mais ce fut ce qui arriva. Elle refusait de laisser sa propre enfant gâchée sa vie, sa carrière, sa fête continuelle. Elle se disait simplement, oh ça ira elle se démerdera. Moi quand j’étais gosse, on vivait dans une maison en ruine, elle, elle a toutes les poupées qu’elle veut. Mais regarde Ingrid, regarde, ce que ta fille est devenue. Une loque, une épave. Tu n’étais pas le seul parent c’est vrai. Il n’a pas fait mieux que toi. Allez, offre-lui une paire de jimmy choo pour te faire pardonner. Ça marchait tellement bien quand elle était petite.

Enfant, sa mère n’avait jamais vraiment pris soin d’elle, père toujours absent à cause de son travail prenant. Oui, Aobh était une clichée du genre. On pourrait presque dire qu’elle a été élevée par une des amies de sa mère. Sûrement aussi droguée qu’elle. Merveilleux exemple pour la gamine qu’elle était. Cette femme n’était pas une sainte, elle vivait en total parasite, nourrie, logée,  habillée, invitée à la plus part des fêtes de la haute modeuse de New York, sans jamais débourser un centime. Elle était presque la poupée d’Ingrid, un objet. Seulement, elle était avec sa grand-mère paternelle une des seules personnes à réellement faire attention à elle, à s'occupait d'elle comme ce qu'elle était vraiment. Une enfant. Sa mère cuvait dans sa chambre, ou avait une de ses nombreux défilés/séances photo/rendez-vous. Elle était là. Souvent défoncée, parfois avec la gueule de bois. Les plus beaux moments de son enfance se sont passés avec elle. Albane Exupéry. Une femme aussi douce que violente. Sûrement une des plus folles qu’elle ait pu connaitre. Elle lui racontait toujours des histoires immondes, la terrifiant quand elle était seule dans son lit. Les contes de fée comme on n’en voit pas à la télé. Bercée, par cette opulence de cruauté, elle n’avait jamais pu voir le monde autrement que comme un univers froid. Et sa seule chaleur humaine disparut du jour au lendemain. Albane, dans ses explosions de victuaille offerte par Ingrid, trouva l’amour. Du moins, c’est ce qu’elle essayait de faire croire. Elle fut arrachée à Emrose par un homme aussi riche qu’ignare, aussi charmant qu’incontrôlable. L’enfant se souvenait encore de la rage de sa mère quand Albane lui annonça la nouvelle. Les vases en cristal volèrent, et chasser comme une malpropre. Aobh ne la revit plus jamais. Elle avait huit ans, et elle avait perdu ce qui se rapprochait le plus d’une vraie mère. C’est à cet instant précis qu’elle commença à rêver d’un autre monde. Aussi beau que celui des livres.

La première fois qu’elle arriva à Poudlard, Emrose ne savait rien de la guerre. Elle ne l’avait pas vu, pas vécue, et était arrivée vingt ans trop tard. Et elle se retrouva perdue avec tous ses gosses traumatisées. Elle n’osait pas poser ses questions qui lui brûlaient les lèvres. Elle avait l’impression qu’encore une fois elle n’avait pas sa place. Un grand retour à ses années de primaires désastreuses. On blâme toujours les parents, qu’ils ne font jamais ça assez bien, qu’ils commettent des erreurs, mais on oublie souvent que chacun est libre de son destin. C’est cliché à dire et pourtant c’est vrai. Oui, l’éducation facilite ou complique cette prise de choix. Il en reste que c’est un choix. Aobh avait eu la chance de ne pas avoir connue la guerre, née-moldue elle a seulement pris conscience que tous ses évènements étranges n’étaient que des affres de la désolation humaine. Et de ce que cette horreur lui avait enlevé sans le savoir. Sa grand-mère paternelle, Margata Lesterr, avait été une femme forte. Une femme aimante. Aobh passait toutes les vacances scolaires avec elle, à faire des gâteaux, à dessiner, à coudre. Telle une enfant normale. Margata était anglaise. Margata était moldue. Margata avait été retrouvé morte dans une ruelle. Personne n’avait jamais pu comprendre ce qui lui était arrivé.  Personne n’avait réussi à trouver la cause de sa fin. Margata avait subis l’impardonnable. La magie n’était pas belle. La magie était dangereuse, mortelle, et bordel tellement humaine. Le monde moldu lui avait arraché sa mère de substitution, le monde magique, la deuxième personne qui comptait le plus pour elle. Parce qu’au final, elle avait beau faire ses grands discours contre ses parents, même avec tous leurs défauts, elle ne leur en voulait pas tant que ça. Non, elle, elle en voulait à son monde féérique, son rêve d’échappatoire enfantine qui n’en n’était pas un. Juste la même merde qu’avant, des baguettes en plus.

Elle était de ses filles qui fument leurs premières cigarettes à 11 ans, commencent à boire à 12 et couchent à 13. Elle était de ses gamines qui ne traversent pas l’adolescence sans problème mais qui mettent les deux pieds dedans, et s’enlisent dans la fange comme si elle était leur plus tendre ami. Une de celles qui refusent l’enfance et ne rêvent que de l’âge à adulte sans se rendre compte qu’elles ne font que s’en éloigner. Oui, Emrose n’était pas de celles qui sortaient des clichés, elle n’était que ça, le stéréotype de la pauvre fille de 17 ans paumée qui ne savait pas quoi faire de sa vie. Et elle haïssait ça. Des fois, même elle n’arrivait plus à se regarder dans le miroir sans être dégouté. Elle voudrait pouvoir assumer tous ses actes, être décomplexer de toutes ses actions, mais elle ne pouvait pas. Sûrement à cause de toutes ses morales qu’on lui avait foutus dans le crâne étant petite, tous ses boniments pro-catholiques qui lui pourrissaient la cervelle et qu’elle prenait joie à détruire avant que l’âpre sensation de la culpabilité la reprenne. Elle n’avait pourtant rien fait de mal. Du moins, rien de si mal que ça. Oui, les pilules qu’elle ingérait n’était pas légal, oui, elle ne mangeait presque plus, oui, le nombre de ses malaises avaient considérablement augmenté.   Elle n’en pouvait plus de ce regard accusateur que tout le monde lui portait. Elle se refusait à changer. Elle se refusait à perdre cette bataille, celle de sa vie, celle d’être qui elle voulait. Elle en avait déjà que trop perdue.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

Désolé pour le temps j'ai passé toute ma journée à tenter de regler un problème. En vain. bref ! J'ai un peu de mal à imagine un personnage pareil dans l'univers de HP mais j'imagine que même les sorciers ont des vices donc have fun .