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 the way it ends (albus)

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Albus Potter

Albus Potter


SORTS JETÉS : 1070
AVATAR : aaron johnson
CRÉDITS : bigbadwolf
BAGUETTE : elle est faite en bois de chêne rouge, contient un crin de sombral et mesure vingt-sept centimètres. souple et droite.

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MessageSujet: the way it ends (albus)   the way it ends (albus) EmptyVen 25 Oct - 12:47




albus severus potter
lost in the echo


› NOM : Potter. Patronyme auréolé de gloire et pourtant marqué par la tragédie et le destin. Un nom difficile à porter depuis toujours. Un fardeau autant qu'un honneur, une mauvaise comme une bonne chose. Un nom bien plus important que la personne en elle-même. Il suffit que quelqu'un sache qu'il s'agit du deuxième fils Potter pour susciter autant des réactions chaleureuses qu'hostiles. › PRÉNOMS : Albus Severus en l'honneur de deux directeurs de Poudlard qui ne sont plus en vie aujourd'hui : Albus Dumbledore et Severus Rogue. Deux prénoms aussi marqués d'histoire que son nom lui-même. Deux prénoms choisis de façon, certes, honorifique qui ont souvent fait penser à Albus qu'il n'était qu'une sorte de mémorial vivant. › AGE : Vingt-deux ans. Un âge où l'on commence à penser à son avenir et à tirer des leçons de la jeunesse d'après certains. Il n'en est absolument rien. Chacun évolue selon son rythme. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un certain dix décembre, à Godric's Hollow, une totale surprise pour les parents qui avaient pensé que le bébé serait là pour fin décembre. › STATUT : Célibataire. Albus n'a pas la tête à penser à la gent féminine et encore moins à satisfaire le moindre de leur désir. › STATUT DU SANG : Mêlé puisque son père est de sang-mêlé et que sa mère est de sang pur. Ce n'est pas vraiment important à ses yeux. › ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Un choix évident d'après lui. › MÉTIER : Tireur d'élite de baguette magique au Ministère de la Magie officiellement, mais depuis quelque temps, son travail est bien la dernière de ses occupations. › BAGUETTE : Elle est faite en bois de chêne rouge, contient un crin de sombral et mesure vingt-sept centimètres. Elle se veut plutôt souple et droite. Sa baguette est prédisposée pour les sortilèges.  › MAISON A POUDLARD : Il est issu de la maison de Salazar Serpentard. › PATRONUS :  Un aigle. Un animal loyal et juste.  › EPOUVANTARD : Une foule de sorciers l'appelant "fils de l'élu" et se faisant de plus en plus pressante autour de lui. › CREDIT : Tumblr.

› UN SORT : Expelliarmus. Comme son paternel. Oui le destin a un sens de l'humour. › UNE POTION : Une potion pour dormir d'un sommeil sans rêve, aussi appelée potion du sommeil. › UN OUVRAGE : Histoire de la magie de Bathilda Tourdesac. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : Poursuiveur. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : La poudre de cheminette. › UN MAGE CÉLÈBRE : Merlin. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : Le temps des quatre fondateurs de l'école Poudlard. › UNE CREATURE MAGIQUE : Un sombral.

› pseudo : wayland  › prénom : clara › âge : dix-huit ans What a Face› fréquence de connexion : tous les jours sauf problème › personnage : inventé › groupe : neutre › commentaire ? : I love you 

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Albus Potter

Albus Potter


SORTS JETÉS : 1070
AVATAR : aaron johnson
CRÉDITS : bigbadwolf
BAGUETTE : elle est faite en bois de chêne rouge, contient un crin de sombral et mesure vingt-sept centimètres. souple et droite.

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MessageSujet: Re: the way it ends (albus)   the way it ends (albus) EmptyVen 25 Oct - 13:00




a new age
listen to my story

Cette partie est la plus importante. C'est ici que vous développerez réellement votre personnage. Mais avant de le faire vous devrez remplit une première partie qui est celle-ci : les tics/manies/infos importantes et insolites sur votre personnage. Un résumé, si vous voulez, de ce qui est censé venir par la suite. Nous vous conseillons de remplir cette partie assez rapidement si jamais vous voulez des liens avant de commencer votre histoire car c'est celle-ci qui aidera le plus les autres membres à comprendre votre personnage sans devoir lire l'histoire. Ce texte ne doit pas être très long.

« Albus ! » Bien plus surpris que méfiant de te faire héler par ton frère, tu levas les yeux de ton livre et le regrettas aussitôt. Déséspéré, tu vis ton frère s'asseoir en face de toi et par conséquent en territoire ennemi. Jamais un élève de Gryffondor n'avait osé prendre place sur les bancs de la maison Serpentard. Fermant ton bouquin presque immédiatement, tu plantas ton regard dans celui de ton inconscient de frère. « Tu veux mourir, James ? Parce qu'en prenant place ici, je ne suis pas en mesure de te promettre qu'il ne t'arrivera rien. » Franchement agacé de voir la mine étonnée de ce dernier, tu attrapas ton livre et lui frappas la tête sans ménagement. Ignorant les rires de tes camarades, tu ouvris par la suite l'ouvrage à la page à laquelle tu étais rendu et continuas ta lecture sans te préoccuper de James. Imperturbable, tu ignoras ce dernier plusieurs minutes avant qu'il ne te jette un verre d'eau à la figure. Respirant un bon coup, tu résistas aux envies de meurtres soudaines te traversant l'esprit et sortis ta baguette afin de nettoyer ses bêtises. « Je te préviens, tu refais ça une seule fois et je te balance par la fenêtre. » déclaras-tu après avoir lancé un récurvite. Fronçant les sourcils devant son air arrogant, tu levas les yeux au ciel et fermas ton livre en même temps. « Bon vas-y, je t'écoute. » Visiblement plus atterré que d'habitude, tu te demandais ce que valait cette visite soudaine. James devait bien avoir une bonne raison pour te déranger ainsi, surtout dans la Grande Salle parmi les verts et argents. Restait à savoir quelle était cette si bonne raison. Faisait mine de t'intéresser à ce qu'il pouvait bien raconter, ta curiosité naturelle prit le dessus quand il mentionna le nom de votre cousine puis celui de votre soeur. « Ce Malfoy est une vraie plaie. Il n'arrête pas d'emmerder Rose et Lily. Bon après c'est pas comme si Rose ne le lui rendait pas mais Lily est vraiment trop jeune pour avoir affaire avec un abruti pareil. » Jugeant son raisonnement plutôt correctement, tu continuas cependant de l'écouter d'une seule oreille tout en restant stoïque face à ton frère et aux autres. Quand il termina, tu arquas un sourcil et te redressas. « On sait très bien que Malfoy en a après nous, mais qu'est ce que tu veux qu'on fasse ? On a pas encore trouvé de remède contre le manque de cerveau. » expliquas-tu tout en t'étirant. Pas matinal, tu te demandais bien où James voulait en venir quand une suggestion traversa ton esprit. Tu te rapprochas de James pour que les autres n'entendent pas. « Ne me dis pas que tu veux te venger de Malfoy en lui faisant un mauvais coup ? La réputation des Potter est déjà assez faite comme ça. » Comptant bien montrer à James l'erreur de son jugement, tu découvris avec stupéfaction son sourire. Comme si cet idiot pensait que tu allais prendre part à ses projets machiavéliques. Jusqu'à présent, tu avais beau être l'élève de Serpentard, c'est bien lui qui se faisait le plus coller et réprimander pour sa mauvaise conduite. Réalisant que ta position dans la même maison que Malfoy faisait de toi une aide non négligeable, tu écarquillas les yeux et te reculas en voyant la réaction de ton frère. Il venait de comprendre que tu venais de faire le lien. « Il en est absolument hors de question James ! » crias-tu, te moquant bien qu'on t'entende ou non. « Prête moi au moins ta carte pour que je puisse savoir où cette face de limace à cornes se trouve. Au nom de notre famille. » Franchement agacé par son attitude, tu te tournas vers un groupe d'élèves de ta maison et pointas un doigt sur James. « Il vient de vous insulter en vous comparant à Rusard. Je serai vous, je ne laisserai pas passer ça. » Sachant pertinemment ce qui allait se passer, tu adressas un signe de la main à ton frère tandis qu'il s'éloignait en vitesse de la table.


« Co .. Comment as-tu trouvé cet endroit ? » Surprenant apparemment ton interlocuteur, tu ne pensas même pas à dissimuler la carte que tu tenais dans tes mains et que tu venais d'utiliser pour atterrir dans un des nombreux endroits de Poudlard. Décontenancé de voir qu'on avait découvert cette pièce avant toi, tu mis quelques secondes avant d'entendre sa réponse. « Je viens ici depuis longtemps. Je l'ai trouvé peu après ma première rentrée. Et .. cette carte. Tu dois être un des Potter non ? » Evidemment. Tu aurais du t'y attendre mais tu avais préféré penser que pour une fois, on ne ferait pas le lien avec ton illustre père et cette fichue carte. Déçu, tu la rangeas presque immédiatement dans une de tes poches. Préférant partir avant d'être assaillit par des tas de questions et de commentaires positifs sur ta famille, tu fus surpris de voir la décomposition du visage du sorcier en face de toi. « Excuse moi, je ne voulais pas me montrer impoli. Je me doute que cela ne doit pas être facile pour toi. » Curieux, tu le retournas et le dévisageas avec étonnement. Jamais au grand jamais on avait osé dire cela à voix haute. Jamais on avait formulé devant toi ce que tu pensais et ce que tout le monde ignorait ou souhaitait cacher. Bien sûr que c'était difficile de supporter le regards appuyés, les compliments et accolades uniquement dues à ton patronyme et à sa réputation. Tu avais du subir cela depuis ta naissance et étonnement, entendre quelqu'un reconnaître qu'être le fils du grand Harry Potter devait être dur te soulageait. Les larmes aux yeux, tu restas ainsi durant plusieurs minutes avant de prendre place à côté du sorcier. Muet, tu laissas ton regard errer dans la pièce avant de répondre. « Contrairement à l'idée générale, ce n'est pas le rêve de s'appeler Potter. Tu es bien le premier à dire le contraire devant moi. » Tu t'attendais bien sûr à le choquer ou du moins à le surprendre, et au lieu de ça, tu vis qu'il était tout aussi attristé que toi. « Je n'arrive pas à imaginer ce que cela doit être .. » répliqua-t-il alors, sans doute sans s'en rendre compte. Souriant tristement, tu te laissas bercer par le silence et le calme de cette pièce. Un endroit reposant que tu aurais du trouver plus tôt tant tu l'appréciais. Fermant à moitié les yeux, tu les rouvris en entendant la voix de ton interlocuteur s'élever à nouveau. « C'est calme ici, non ? Je l'ai trouvé par hasard durant ma deuxième année à Poudlard. » Hochant la tête légèrement pour confirmer ses dires, tu restas stupéfait quand il te tendit sa main. « Je m'appelle Simon. Je suis à Serdaigle comme le montre mon uniforme. » Amusé et touché, tu levas à ton tour une de tes mains et t'empressas de la saisir. Tu n'avais pas vraiment besoin de te présenter puisqu'il t'avait fait comprendre plusieurs minutes auparavant qu'il avait deviné qui tu étais. Content de voir une possible amitié naître, tu étais ravi d'avoir rencontré quelqu'un qui ne te jugeait apparemment pas qu'à ton nom.


Ils t'avaient menti. Tous ceux que tu connaissais t'avaient menti, et ce, depuis ta venue en ce monde. Ils t'avaient chanté les louanges de ton père, ce héros, qui avait ramené la paix en arrachant la victoire à cet ennemi immortel et autrefois invincible. En te jurant que tu seras à tout jamais en sécurité et que tu vivrais heureux très longtemps, ils avaient inséminé dans ton coeur et dans ton esprit cette vérité absolue selon laquelle jamais tu ne connaîtrais le malheur. Ils t'avaient promis que jamais tu ne passerais par ce qu'était passé ton propre père. Paroles mensongères. Calomnies idéalistes. Tu savais maintenant. Toi, pauvre inconscient berçant ce corps devenu si froid et si vide au sol. Tes larmes ne suffisaient pas à faire taire les rires autour de toi, ni à ramener ton ami le plus cher désormais mort par ta faute. Tu continuais à prier, et qu'importe qui entendrait ce souhait. Tu aurais préféré mourir à sa place. C'était toi qui portait ce nom maudit. Toi qui était le fils du célèbre Harry Potter. Toi qui avait été trompé par de belles paroles. Et celui que tu considérais comme ton meilleur ami venait de mourir sous tes yeux sans que tu ne comprennes ce qui se passait. Mué d'une tristesse inextinguible, tu te fichais bien que ces assaillants s'en prenne à toi. Qu'il te prenne la vie aussi s'ils le voulaient. Quelque chose avait cédé en toi et tu prenais conscience de tout ce que tu avais refoulé en toi ces vingt-deux dernières années. Tu en voulais à la terre entière et ce n'était qu'une étape. Etape mortelle puisque tu décidais de ton plein gré de ne rien faire. Les coups pouvaient bien tomber, tu t'accrochais à ton ami, les yeux clos en psalmodiant des paroles insensées. C'était peut-être ce qui se passait quand on vous brisait le coeur. Tu ne le savais pas puisque jusqu'à présent tu n'avais jamais été confronté à une telle douleur. Tu avais été tant protégé et tant enfermé dans cette bulle que tu n'avais jamais réalisé ce que c'était la vie réelle. Celle où ton coeur se brise en morceaux, balayés par le temps. Cette réalité qui fait que les gens meurent et que l'injustice est bien présente dans ce monde. C'était si intense et si bouleversant que tu sentais ton propre corps crier et implorer. Tu étais faible et totalement à la merci du monde. Vulnérable. Et tu t'en moquais. Tu ignorais ton instinct qui te disait te te battre ou au moins de te défendre. Tu te fichais de savoir que tu deviendrais. Autour de toi, tout semblait prendre feu. Tout n'était que cris et flashs de couleurs différents. Étaient-ils en train de t'affubler de sortilèges ? Allais-tu mourir ? Pourtant tu ne sentais rien mis à part le corps de ton ami dans tes bras. Tes oreilles étaient si assourdies pas la vacarme que lorsqu'une main se posa sur ton épaule, tu sursautas et attrapas ta baguette, prêt à défendre le corps de ton ami contre tous ceux qui oseraient vouloir y toucher. Bien sûr, tu t'attendais à tout sauf à James, ton frère. Les mots avaient beau se former sur ta bouche, aucun son n'en sortait. « Al' c'est terminé, laisse le corps de ton ami en paix. Ces sorciers vont s'en charger. » Il était peut-être ton frère, cela ne changeait rien à ton refus d'accepter ce qui venait de se passer ainsi que de laisser n'importe quel sorcier s'occuper de son corps. Cela reviendrait à dire qu'il était vraiment mort. Or tu n'arrivais pas à te faire à cette idée. Les larmes aux yeux, tu plongeas ton regard dans celui de James, en priant pour qu'il comprenne. Il devait comprendre. Fermant les yeux un instant pour arrêter les larmes de couler sur tes joues, tu laissas échapper un hoquet de surprise quand tu sentis des bras se refermer sur toi. Avant même de rouvrir les yeux, tu sus qu'il s'agissait de ton frère. Anéanti, tu te débattis quelques instants avant de retomber mollement au sol, toujours soutenu par James qui restait à ton côté. « Il est mort. Il est mort ! » criais-tu. Ils venaient de tuer Simon.


« Maman je t'ai déjà dis de me laisser tranquille. Je vais bien ! » t'empressas-tu de crier, furieux qu'elle soit si collante et inquiète alors que tu t'en sortais très bien tout seul. Fixant avec férocité la tête de ta mère qui avait pris forme dans le brasier de ton feu de cheminée, tu la vis se renfrogner suite à ta réponse agressive quand tu t'étais rendu compte qu'elle venait une nouvelle fois venir aux nouvelles. Cela faisait à peine quelques semaines que Simon était mort et elle était la seule à t'empoisonner autant l'existence depuis. Ton père se contentait de prendre des nouvelles de temps à autres, tout comme James qui avait bien compris qu'il te fallait de la distance. Lily quant à elle, s'inquiétait autant que ta mère mais était plus respectueuse de tes choix. Jaugeant de façon absente les étincelles émanant du feu, tu t'aperçus que le visage de ta mère avait disparu. Las, tu te levas et marchas naturellement vers la cuisine où traînant tout et n'importe quoi. Attrapant un restant de whisky, tu le portas à ta bouche et l'avalas d'un seul trait. Agacé, tu t'approchas d'une des fenêtres de ta garçonnière et contemplas la pluie s'abattre tristement contre ton carreau ainsi que sur la ville. Désespéré tu tournas les talons et balanças ton verre à travers la pièce. Riant de ton état pathétique, tu vis avec indifférence le verre se briser contre le mur en briques d'en face. Oubliant ce magistral lancé, tu te laissas tomber sur ce qui te servait de canapé et fermas les yeux instantanément. Profitant de ce premier moment calme de la journée, tu ne résistas pas bien longtemps au sommeil avant d'être réveillé par des coups à la porte. De mauvaise humeur et encore un peu endormi, tu te levas avec réticence et allas voir ce qui poussait une personne à taper aussi fort sur ta pauvre porte. L’identité de la personne ne t'étonna même pas. Levant les yeux en l'air, tu laissas ta soeur entrer en fulminant. « Comment as-tu osé parler ainsi à maman ? Tu sais comment je l'ai trouvé après qu'elle ait osé te parler ? » Evidemment. Indifférent à sa colère et fatigué, tu n'essayas même pas de lui répondre de façon spirituelle. « Lily, il m'a semblé avoir été plutôt clair la dernière fois. Je voudrais être tranquille et là, tu ne me laissas pas vraiment respirer. Donc si tu pouvais partir. » Remarquant enfin l'état de ton appartement et ta présence, tu la regardas te détailler du regard et se figer au fur et à mesure. Tu n'avais pas regardé ton reflet depuis un certain moment et tu devais faire sacrément peur pour qu'elle soit si choquée. Passant ta main dans tes cheveux, tu lui fis signe de te laisser, et, devant son manque de prise d'initiative, tu la poussas à la porte. « Albus ! Tu .. tu m'inquiètes là ! » Levant une nouvelle fois les yeux au ciel, tu restas planté ainsi devant elle, la poignée de la porte dans une main. Ne désirant que retourner dormir et être tranquille, tu essayas tout de même de lui sortir les plus belles salades possibles pour qu'elle parte et arrête de s'inquiéter pendant un moment. Souriant comme si la vie était magnifique et que rien n'allait jamais arriver, tu plantas ton regard dans le sien pour la rassurer. « Lily, je t'assure que tout va bien. Si j'étais en colère tout à l'heure contre notre mère, c'est que son habitude à venir mettre son nez partout commence sérieusement à m'irriter. Et je suis sûr que tu ressens la même chose. » Apparemment moyennement satisfaite par ta prestation, ta soeur te jaugeas pendant plusieurs minutes avant de finir par concéder à te laisser tranquille. Franchement excédé par tout cela, tu fermas la porte avec soulagement et replongeas dans les bras de Morphée une fois allongé dans le canapé.


James,
Je suis désolé d'avoir mis tant de temps avant de te répondre. Un si grand nombre de choses se sont produites depuis la dernière fois que l'on s'est vu que je n'ai ni trouvé la force, ni l'envie de poser mes pensées sur un bout de parchemin. Tu dois bien savoir que nos parents sont inquiets face à mon attitude qu'ils qualifient de dépressionnaire. D'après moi, les gens en dépression sont les personnes les plus lucides sur terre. Ils voient la vie comme elle est j'imagine, et les autres ont trop peur de ça pour les laisser continuer à être qualifiés comme normaux. Cela reviendrait sans doute à leur donner raison .. Cette missive doit te sembler bien maussade et pessimiste à présent, sache que ce n'était pas là mon intention en t'écrivant. C'est juste si pesant tout cela .. Je crois que je m'en suis rendu compte après sa mort. Enfin tu vois .. Après, tout m'a semblé différent. J'ai pris connaissance de ce poids qui m'habitait depuis tout ce temps. Et la situation actuelle ne se prête guère à mon envie de m'éloigner de tout ça et de retrouver foi tout simplement. Ces rumeurs me font craindre le pire. Tout semble si différent du monde que l'on a connu lorsque nous étions enfants .. Je sais que tu dois te faire du souci pour moi et tu ne devrais pas ..

Je te donnerai rapidement de mes nouvelles,

Sincèrement. Albus.  

 

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