› NOM : O'Connell. Inutile de mentionner que je suis irlandaise n'est-ce pas ? Vous l'auriez deviné vous même. Et bien oui, les O'Connell sont l'une des plus grandes familles d'Irlande. Irlande du Nord bien sûr. Fidèles à l'United Kingdom, m'voyez ? › PRÉNOMS : Iseult et Mathilda. Seigneur, qu'est-il arrivé à mes parents pour mes choisir de tels prénoms ?  › AGE : 23 printemps.  › DATE ET LIEU DE NAISSANCE :Le vingt mars deux mille six, dans l'hôpital magique de Belfast. Irlandaise un jour, irlandaise toujours. › STATUT :Célibataire. De toute façon, je n'ai pas le temps de penser aux garçons, ni aux filles. Je suis beaucoup trop prise par mon travail pour songer à fonder une famille. › STATUT DU SANG : Sang-mêlé, sans doute. Vous savez, en Irlande, ce qui compte réellement n'est pas tant le nombre de moldus dans votre famille mais plutôt le nombre d'irlandais.  Pourtant, ma famille se marie entre sorciers depuis plusieurs générations.. Quoiqu'à bien y réfléchir, j'avais un grand oncle, du côté de ma mère, qui était moldu ou cracmol. Mais on n'en parle jamais. › ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle, je suppose. Je ne me suis jamais posée la question à vrai dire. Et puis l'important c'est d'être amoureux non ? Homme, femme .. Quelle importance ? Quelle idée de vouloir caser tout en monde en case !  › MÉTIER : Je suis actuellement en cinquième année d'étude pour devenir guérisseuse. et croyez moi, ce n'est pas de tout repos.  › BAGUETTE : Crin de sombral et bois de saule, 27.5 cm centimètres, plutôt souple. Je me souviens que le fabricant était très étonné car seuls très peu de sorciers avaient le privilège de posséder un cœur de sombral. C'est sans doute mon rapport avec la mort et avec ma sœur qui a déterminé cette association au bois de saule, idéal pour les guérisseurs. Comme quoi, c'est bel et bien la baguette qui choisit son sorcier et non l'inverse, car je n'aurais jamais pensé en avoir une qui me ressemble autant. › MAISON A POUDLARD : Gryffondor. C'est sans doute ma débrouillardise qui m'y a envoyé là bas.. Quoi ? ... Bon d'accord, et mon impulsivité. Certes.  › PATRONUS : Une cigogne. Dans l'imaginaire moldu, ce serait les cigognes qui apporteraient le bébé, source de bonheur, aux parents. J'ose imaginer qu'à travers mon futur métier, c'est également ce bonheur que j'apporterai aux gens et que c'est pourquoi mon patronus a cette forme, en plus de mon irrésistible envie de liberté.  › EPOUVANTARD : C'est elle. Ma soeur. Elle revient, sous une forme plus âgée qu'à l'âge où elle nous a quitté. Sans doute, cet épouvantard est-il le fruit de mon imagination, de ce qu'elle aurait dû être si elle était encore là.. Et lorsqu'elle parle, ce ne sont pas des mots qui sortent, ce sont des bulles. Bulles d'eau. Bulles d'appel à l'aide. Je n'ai jamais réussi à le vaincre vraiment, c'est pourquoi je n'ai obtenu qu'un Effort Exceptionnel à mon buse de DCFM › CREDIT : Frenchadicted

› UN SORT : Levicorpus. Parce que mettre la tête en l'air de certains gens permettrait sans doute de leur secouer les neurones; › UNE POTION : Felix Felicis. Parce que l'on a toujours besoin de chance, dans notre vie, et qu'une petite dose n'est pas dangereuse.  › UN OUVRAGE : Les contes de Beedle Le Barde. C'est stupide, je sais, mais ils m'ont toujours fascinés. Et puis maman nous les lisait tous les soirs, à Maë et moi, si bien que nous les connaissions par coeur. C'est encore le cas aujourd'hui. Pour moi, tout du moins.  › UNE PLACE AU QUIDDITCH : Poursuiveur. La meilleur défense, c'est l'attaque, c'est bien connu. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : Le transplanage. Difficile à réaliser mais rapide et efficace. › UN MAGE CELEBRE : La reine Mäeva. Je sais bien, personne ne la connait en Angleterre. C'est pourtant l'une des plus grandes mages.. Irlandaises ! Elle a appris à de nombreux sorciers irlandais la magie, avant la construction de Poudlard.  › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : La nôtre. Pourquoi vivre dans le passé ? › UNE CREATURE MAGIQUE :  Les hiboux, parce qu'ils sont adorables, serviables et attachants.

› pseudo : j'en ai pas (a) › prénom : Camille › âge : 18 › fréquence de connexion : 3/7 i hope so › personnage : inventé › groupe : neutre › commentaire ? : C'est un pingouin qui respire par les fesses. Un jour, il s'assit et meurt.

c'est répondu:

 

Elle aimerait adopter des enfants, mais ne souhaiterait pas en porter + quand elle est énervée, elle a la fâcheuse tendance à parler en irlandais + vagabonde dans l'âme, elle prend chaque année un mois de vacances pour découvrir un pays autre que l'Angleterre + Elle change de coupe et couleur de cheveux comme de culotte. Seul interdit ? La couleur rousse. Trop de mauvais souvenirs + son accent la rend parfois incompréhensible quand elle parle vite + c'est une perfectionniste, elle n'arrêtera jamais une tâche avant qu'elle ne soit totalement accomplie + elle ne sourit que très rarement sauf pour les patients à l'hopital + son sens de l'humour n'est pas forcément apprécié de tous + comme toute irlandaise, elle adore le Quidditch + elle n'est jamais tombée tombée amoureuse. Sa peur de l'attachement l'a conduit a repoussé ses prétendants + n'attache ses cheveux qu'au travail + elle aime les animaux et possède dans son modeste appartement deux chats, un hibou et une tortue - Quelle joyeuse ménagerie ! + si elle n'était pas devenue médicomage, elle aurait sans doute voulu devenir professeur de SACM + elle peut voir les sombrals. Rassurez vous, elle ne conçoit pas cela comme une chance + Impulsive, elle peut parfois perdre son sang-froid (surtout cinq jours par mois, ifyouknowwhatimean) + elle fait parti des rares élèves à avoir obtenu 9 ASPIC, dont 5 Optimals + certains disent d'elle qu'elle travaille pour oublier sa douleur + elle n'a peur de presque rien, c'est une casse-cou et se fourre sans cesse dans des situations rocambolesques + le sang d'un individu n'a aucune importance pour elle, bien qu'elle ne se voit pas finir sa vie avec un moldu, devant lui cacher ses dons de sorcière +

Autour les enfants pleuraient, parfois discrètement ou moins discrètement. Cela faisait contraste avec la jeune Iseult, qui attendait sagement auprès de ses parents, pendant que ces derniers lui transmettaient ses dernières recommandations. Recommandations qu'elle ne cessait d'entendre depuis deux semaines. « Tiens toi droite, soit polie, n'use pas de magie en dehors des cours, fais des devoirs, souris. » Et bla.bla.bla. La jeune enfant hochait la tête, indifférente. Ses parents étaient devenus protecteurs, étouffant même depuis qu'Ophélia n'était plus. Cela ne faisait pourtant pas un an mais leur deuil était encore loin d'être terminé. Pour Iseult, c'était la même chose, mais elle ne le manifestait pas. A vrai dire, elle ne parlait plus beaucoup et quand elle disait quelque chose, c'était généralement pour lui faire fermer son clapet. L'enfant avait changé, avait muri. Trop tôt malheureusement. Mais ses parents comme elle même n'y pouvaient rien, bien qu'ils se le reprochaient encore.

« Allez, mon Iseult, il est temps de rentrer dans le train.  » Des deux, c'était ses parents et non elle qui étaient le plus ému par son départ. Mais l'enfant fit un effort et serra ses parents dans ses bras, pour lui témoigner son affection. « Papa, n'oublies pas : C'est Mathilda, maintenant. » Le ton presque monotone de l'enfant de 11 ans fit grimacer M. O'Connell mais il ne contesta pas. L'enfant pouvait se donner le nom qu'elle voulait, du moment qu'elle était heureuse. Cette lubie s'était développée après l'accident de sa sœur et il ne pouvait lui en vouloir. Le prénom état si proche de celui d'Ophélia.. Un moyen de ne pas l'oublier, sans doute. La saluant alors que le train s'éloignait, les parents songèrent qu'il ne serait pas facile de répartir Mathilda.


« De l'impétuosité, un chagrin profond et une soif de savoir extrême... mmmm... » Mathilda attendait le résultat du choixpeau, qui ne paraissait pas pressé de la répartir. Ses parents ne lui avaient pas dévoilé la manière de sélection dans les différentes maisons, car c'était de tradition que les enfants le découvrent eux-même. Cela ajoutait du mystère, du piquant dans leurs questionnements préalables. Au final, ce n'était qu'un Choixpeau s'était dit la jeune enfant. Cependant, il semblait que le-dit choixpeau soit doté de conscience et qu'il puisse même lire dans leurs âmes – si toutefois l'âme d'un être humain existait – pour décider de leur affectation. Cela ne rassurait pas la jeune blonde qui n'aimait pas qu'on fouille dans son esprit. Mais évidemment, elle n'avait pas eu son mot à dire. Elle pensait aller à Serdaigle, la maison des érudits mais le choixpeau hésitait. Gryffondor semblait également être une option envisageable, pourtant Mathilda ne se voyait pas dans cette maison. A ces yeux, c'était Ophélia qui aurait du s'y rendre. Ophélia qui n'était plus...

« Gryffondor ! » annonça fortement le choixpeau, délivrant l'enfant de ses doutes. Il avait tranché. Encore quelque peu étourdie, Mathilda rejoignit à la hâte sa nouvelle maison.


« Pourquoi guérisseuse ? »

La question n'avait en rien surpris Mathilda. Elle faisait partie de ces rares élèves à savoir depuis toute jeune ce qu'elle voulait faire comme futur métier. Cependant, c'était le rôle de son directeur de maison de s'assurer qu'elle prenait la bonne direction. De s'assurer que c'était son envie propre, son choix. Pourtant, malgré sa préparation préalable, elle ressentait au plus profond d'elle la douleur, le chagrin et les souvenirs qui refluaient dans sa mémoire.

Elle avait 8 ans. Elle était jeune, belle, douce. Rousse, elle flamboyait dans la campagne et était presque invisible lorsqu'elle jouait dans les champs de coquelicots. Enfant téméraire et rusée, Ophélia était la première à découvrir de nouveaux jeux, de nouvelles cachettes. Ses parents avaient l'habitude de la laisser jouer toute seule, elle était grande maintenant et surtout, elle avait déjà ses pouvoirs. Un jour, partie explorer les environs, elle n'était pas revenue pour le diner. D'abord confiants, les O'Connell s'étaient inquiétés puis s'était mis en quête de la petite fille mais aucun sort ne parvenait à la localiser. C'était Mathilda qui l'avait trouvé, près d'un ruisseau. Morte. C'était un accident, un bête accident. Elle avait voulu traverser le ruisseau mais avait glissé sur une pierre et était tombée. S'était noyée. Accident mortel, un accident qui aurait pu être évité. Si seulement Mathilda était partie jouer avec sa sœur. Si seulement elle s'était inquiété de ne pas la voir revenir à 18heures, comme c'était son habitude. Quelques minutes auraient pu la sauver...

« Avez-vous déjà perdu un proche, professeur ? » lui répondit-elle calmement, en essayant de gommer toute trace de chagrin, toutefois perceptible chaque fois qu'elle abordait le sujet. Elle n'attendit toutefois pas la réponse de son interlocuteur. Sa question était purement rhétorique. « Parce que c'est mon cas. Vous le savez, sans doute si vous avez lu mon dossier. Vous savez aussi les circonstances de sa mort. Si nous avions été mieux formés, si nous nous y étions connu en magie médicale, si nous avions reconnu les signes.. ma sœur serait encore parmi nous. Et plus jamais, je ne veux revivre cette tragédie. Je veux, je souhaite du plus profond de mon âme ôter cette douleur à d'autres familles. Je souhaite sauver des vies, voir le sourire sur leur visage, le bonheur qui ne fut pas le notre. Je veux me sentir utile et honorer la mémoire de Maëva. Je m'en suis fait la promesse. C'est tout. »

Suite à sa tirade, un silence pesant s'abattit sur la salle. Pourtant, Mathilda savait que son professeur était convaincu. De toute façon, qu'il l'approuve ou pas n'avait pas de réelle importance. Cependant, elle avait tord de s'inquiéter.
« Bien.. Pour cela, il va vous falloir travailler davantage en sortilèges. Votre moyenne oscille dangereusement vers l'acceptable, ce qui ne sera pas suffisant pour être prise après vos BUSES. Il me semble que vos résultats en potions et métamorphose sont eux excellents. Ne négligez pas les matières optionnelles, cela pourrait être votre erreur. Cependant, je ne vois aucune objection à vous voir poursuivre dans cette voie là. »

Pour la première fois depuis un moment, un sourire éclaira le visage concentré de la jeune femme. Elle remercia son directeur de maison et sorti, rassérénée par son entretien.


La lettre était arrivée ce matin, à neuf heures précises. Pourtant, et depuis déjà trois heures, Mathilda se refusait à l'ouvrir. Son poids relativement conséquent l'incitait à croire à une bonne nouvelle. A moins qu'elle n'ait totalement raté ses examens et que l'enveloppe soit remplie de documents de réorientation. Anxieuse, elle attendait le retour de ses parents. Elle avait l'envie qu'ils soient là pour fêter sa réussite – ou pleurer son échec, et ce malgré sa majorité. La famille était importante, encore plus maintenant qu'auparavant. Enfin, après une attente qui lui sembla interminable, ils franchirent le seuil de la porte.

« Papa, Maman! Devinez quel hibou est arrivé ce matin ? » Ce n'était pas réellement une question, d'ailleurs le ton angoissé dans sa voix ne les trompèrent pas.

« Ta lettre concernant tes ASPIC et ton concours d'entrée à l'école de médicomagie ? Alors.. Les résultats ? »
« Je ne sais pas, je ne les ai pas encore ouvert … »
« Mais par le caleçon de Merln, ouvre les donc ! »

La jeune femme ne se fit pas prier et les mains tremblantes, elle déchira l'enveloppe et en sorti quatre bouts de parchemin. La tension était palpable dans la salle à manger et après avoir inspiré un bon coup, elle se décida à lire le premier papier.

« Mlle O'Connell, nous avons la joie de vous informer du succès de votre candidature à l'école de médicomagie.. » Elle n'eut pas le besoin de continuer pour comprendre qu'elle avait réussi. Des larmes se mirent à couler sur les joues de ses parents.

« Oh mais c'est merveilleux, ma chérie ! Il faut que nous écrivions à toute la famille pour t'organiser une petite fête... mmm... oui, nous serons sans doute beaucoup mais rien de trop petit pour mon Iseult chérie.  » Se détournant de sa fille, Mme O'Connell s'empressa de réquisitionner du parchemin, une plume et de l'encre pour commencer sa liste de choses à faire. Mathilda ne s'offusqua même pas de se faire appelée par son premier prénom. Sa mère avait toujours refusé de l'appeler Mathilde même si maintenant, c'était officiel puisque sur ses diplômes étaient notés ce nom là. Mais Arya O'Connell était du genre borné, encore plus borné que ne l'était sa fille elle-même. Mathilda ne put s'empêcher de regarder la photo animée de sa soeur, qui était encore accrochée sur le mur du salon. Une larme, une unique larme, roula le long de sa joue. Tu vois, Ophélia, j'ai réussi. Et un jour, je sauverais des vies. Je redonnerai la vie à des enfants et ce sera comme s'ils recevaient un peu de la mienne, et de la tienne.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

J'aime beaucoup ton personnage, il est très intéressant (et j'ai eu un p'tit rire sur le "surtout cinq jour par mois" )..