› NOM : Cosenza, un nom précédé par sa réputation qui n'est plus à faire dans son pays d'origine, l'Italie. Une grande famille de sang-pur comme on n'en voit plus beaucoup ces derniers temps et qui aiment le rappeler à qui veut bien écouter. › PRÉNOMS : Bianca, et non, il n'est pas là pour rappeler la tante de la soeur de sa mère ni pour évoquer le prénom préféré de l'ex maîtresse de son géniteur. C'est Bianca parce que ça sonnait joli aux oreilles de la madre et basta. › AGE : Vingt-trois ans. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : La sorcière est née le vingt deux juillet deux mille cinq à Florence, en Italie. › STATUT : Célibataire, elle profite autant qu'elle peut de sa liberté qu'elle sait éphémère en étant très volage car elle sait que tôt ou tard, sa famille lui imposera un époux dont elle ne connaîtra que le nom, à moins qu'elle en trouve un qui convienne elle-même. › STATUT DU SANG : Les Cosenza sont l'une des plus anciennes familles de sang-pur d'Italie. › ORIENTATION SEXUELLE : La blonde est une séductrice, dans le fond. Et si l'on lui prête exclusivement des liaisons avec des hommes elle prêche des deux côtés, considérant que la vie est bien trop courte pour se priver de la moitié de la population (parce que clairement, le sexe féminin est supérieur). › MÉTIER : Elle ne sait plus délier ses rêves personnels des espoirs que placent sa famille en elle et ainsi elle est dans la bonne voie pour devenir médicomage, étant en pleine formation. › BAGUETTE : Taillée dans un bois d'oranger, sa baguette magique contient une écaille de sirène et mesure environ vingt-quatre centimètres. › MAISON A POUDLARD : Ayant fait ses études en Italie la blonde n'a jamais foulé le sol de Hogwarts, cependant si tel fut le cas elle aurait pu intégrer Poufsouffle pour la loyauté sans faille qu'elle voue à sa famille mais semble après toutes ces années se diriger finalement chez les Serpentard en raison de son côté séducteur et manipulateur. › PATRONUS :  Les créatures magiques l'ayant toujours fascinée son patronus a prit la forme de l'une d'entres-elles, celle du centaure. Elle l'interprète comme reflétant les deux opposés de sa personnalité, il y a la Bianca qui veut satisfaire et rendre fière sa famille et il y a l'autre qui ne désire que de prouver au monde ce dont elle est capable en volant de ses propres ailes. › EPOUVANTARD :  Lorsqu'elle était petite sa famille se rendait souvent en Corse où ils possèdent une somptueuse villa et, lors d'un de ces étés la gamine a manqué de se noyer dans la piscine de la maison. Depuis elle a une peur bleu de l'eau et celle-ci est désormais son épouvantard. › CREDIT : unknow/tumblr

› UN SORT : aparecium. › UNE POTION : veritaserum. › UN OUVRAGE : Pourquoi je ne suis pas mort le jour où l'Augurey a chanté par Gulliver Pokeby, 1824. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : attrapeur. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : le transplanage. › UN MAGE CELEBRE : Grindelwald. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : la Renaissance Italienne. › UNE CREATURE MAGIQUE : une sirène.

› pseudo : ovt. › prénom : le vrai de vrai est trop moche alors go ahead for nyf.   › âge : seventeen.   › fréquence de connexion : todo el tiempo, sauf si problemo.  › personnage : prédéfinis, j'ai hésité un moment à cause de Dianna mais elle m'a tellement bluffé dans Malavita que bah, yo soy aqui.  (c'est de l'espagnol, mais je parle pas italien, fail ) › groupe : la confrérie, you don't choose thug life, thug life choose you.   › commentaire ? : (je parle l'espagnol comme une vache espagnole) (non mais l'expression marche pas pour ça, j'crois, mais vous pigez. ) (btw j'suis là parce que j'aime pas le forum, évidemment. ) (je plaisante hein, il est perfecto) (j'aime bien les parenthèses. )

Depuis son premier souffle, la blonde a toujours agit de façon à rester dans les bonnes grâces de sa famille dont la puissance est indéniable dans son pays natal, l'Italie. Elle ne se souvient pas avoir jamais agit en ne pensant qu'à sa petite personne, c'était toujours de façon superficielle. Toute sa vie on l'a rabaissé au simple caniche des Cosenza, car perpétuellement dans leur ombre à n'agir que dans leur sens sans jamais agir à l'encontre de leurs souhaits. On lui a souvent dit que son frère était un sorcier admirable, fidèle à sa propre opinion, envoyant valser le reste du monde pour n'écouter que son cœur. Quelque part, la blonde l'a toujours envié d'avoir le cran de s'affirmer en dépit de ce que le monde pourrait en penser. Et du jour au lendemain, elle fait un excès de tout. L'Italie, sa mère qui n'attend que de la marier au premier venu de bonne famille, la pression qui croule sous ses maigres épaules, l'angoisse. L'angoisse de ne pas être à la hauteur, de décevoir, l'angoisse d'un jour ne suivre que son instinct et non pas celui greffé par les Cosenza. Être sois-même, c'est probablement la chose la plus inquiétante aux yeux de la sorcière, juste après les étendues d'eau. ~ La blonde a apprit l'anglais lorsqu'elle était très jeune et s'exprime de ce fait très bien dans cette langue mais étant Italienne son accent est profondément marqué, en particulier dans ses intonations, très expressive elle fait de grands gestes lorsqu'elle parle et laisse régulièrement échapper quelques jurons dans sa langue natale. ~ Elle est insouciante, Bianca, elle casse des choses et des gens puis se cache derrière son argent et la puissance de sa famille avant de laisser d'autres personnes nettoyer le désordre qu'elle a fait.

Elle court, ignorant délibérément les larmes qui roulent sur sa peau de porcelaine. Elle ne cherche plus à réprimer ses sanglots qui l'étouffaient, elle laisse tout partir, elle laisse tout ses sentiments s'en voler avec le vent. Qu'ils s'en aillent loin, qu'il se perdent dans une tornade, qu'ils disparaissent, qu'ils emportent avec eux ce goût amer de regret encore coincé au fond de sa gorge. Elle se dit que tant pis, elle s'en fiche, c'est fini, c'est fait, c'est dit, basta. Plus rien n'a d'importance, plus rien excepté ce déchirement dans sa poitrine qui laisse à la vue de tous un trou béant dans sa poitrine. Un vide qu'elle n'a aucune idée sur la façon de le combler. Elle continue de courir, s'arrêtant au prochain angle, repérant d'un balayage du regard qu'il est vide. Elle marche d'un pas nonchalant et s'adosse durement contre le bitume, levant la tête pour prendre une profonde respiration. La sorcière passe sa main dans ses cheveux dorés comme les blés, étouffant sanglots sur sanglots. Respire, respire, s'ordonne-t-elle de peur d'oublier de le faire si elle n'y pense plus. Alors que son cœur lui hurle de faire demi-tour pour ôter toutes les merdes qu'elle lui a balancé à la figure, son instinct, ou plutôt celui des Cosenza lui gueule de rentrer au pays parce que c'est ce qui se passe lorsqu'une gamine stupide tente de n'écouter qu'elle-même. Un joli foutoir, un putain de bordel le genre dans lequel on se perd, comme au milieu d'un tourbillon ou perdu entre les vagues virulentes des océans, celles qui vous ôtent votre dernier souffle. Quelque part elle se demande si elle pourrait rattraper les choses, les changer en retournant s'excuser. Mais ça n'efface rien. Des excuses n'effaceront pas les mots qui sont sortis de ses fines lèvres, parce que les mots comptent. Les mots restent. Les mots construisent, mais par-dessus tout, les mots détruisent. Elle se mord la lèvre inférieure, fermant ses paupières alourdies par les larmes qui brouillent sa vision. Elle ne voit plus rien, le décors se floute, s'éloigne, ne laissant dans ses pensées que son visage, son regard après qu'elle lui ait balancé ces saloperies qu'elle ne pensaient pas. Elle est comme ça, Bianca, c'est comme ça qu'elle a été élevée. Destinée à briser tout ce qui se trouve autour d'elle pour faire prôner la puissance de sa famille, et cela en dépit des éventuels dommages collatéraux. Elle ferme les yeux à nouveau, plus fort cette fois, tentant de le chasser de ses pensées, mais rien n'y fait, son esprit, vicieux, lui repasse en boucle la scène, à chaque fois de façon plus brutale.

« Dégage, j'veux plus te voir. » qu'elle lui crache à la figure comme si elle ne pesait pas ses mots, comme s'ils n'avaient aucune conséquence, comme si l'on balançait ce genre de choses quotidiennement. Comme si briser un cœur était son plus fidèle passe-temps. Comme si ça ne lui faisait rien. Il entre-ouvre la bouche, comme pour essayer d'articuler quelque chose mais elle lui coupe la parole aussi sec, le regard planté dans le sien. Elle ne veut pas qu'il parle, elle ne veut pas l'entendre parce qu'elle aurait peur de rebrousser le chemin, elle veut juste lui balancer à la gueule ce qu'il faut qu'elle lui dise. Et puis elle veut s'enfuir. Elle veut partir aussi loin qu'elle le peut jusqu'à ce qu'elle ait oublié pourquoi elle a un jour commencé à courir. « On avait aucune chance de toute façon, mais j'en peux plus. Tu m'étouffes. » continue-t-elle alors que c'est son cœur, son corps entier qui lui crie de la fermer et de ne pas le laisser partir. Mais plus elle lui crache ces mots amers en pleine figure, plus elle le sent glisser entre ses doigts fins, sentant alors un immense vide les séparant. Comme s'ils appartenaient à deux mondes différents, deux droites parallèles condamnées à ne jamais se recroiser. Et putain, ça lui faisait mal. C'était physique, elle avait vraiment mal. Ça la détruisait de devoir faire ça, mais elle ne savait pas comment faire autrement. Elle n'avait pas pensé à la manière douce, à celle-là, non elle, elle avait foncé dans le tas et faisait ça vite. Plus vite c'était fait, plus vite elle pouvait filer droit vers un coin éloigné pour déversé ses maux, telle la gamine lâche qu'elle était, incapable d'assumer ses propres opinions, même quand ceux-ci venaient du cœur. « J'sais même pas ce que je fiche encore ici à me justifier. » largue-t-elle comme un déchet à la mer. Elle pince les lèvres, son cœur valsant bien trop vite dans sa poitrine. « T'en vaux pas la peine, basta. » La blonde lui lance ses mots comme des poignards, transperçant le regard d'Aedan Longbottom tel un surin, un dar. Elle n'attend qu'une chose, se retrouver toute seule pour ôter ce masque qui lui coupe la respiration.

La scène s'achève dans son esprit en même temps que ses paupières ne s'ouvrent à nouveau, laissant transparaître un regard encore plus vide et immense que le cosmos. Elle inspire doucement, gonflant ses poumons de tout l'air qu'ils peuvent contenir et tente d'oublier absolument tout. Plus rien ne compte, se persuade-t-elle les yeux rivés sur le mur situé en face d'elle. Plus rien n'a d'importance.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

Je dois te dire que ton style est un style d'écriture que j'adore lire, c'est même ce que je préfère lire. Tu ne cherches pas à faire de la grande littérature dans le choix de tes mots, de tes tournures de phrases, j'ai l'impression que tu écris juste parce que tu aimes ça (enfin c'est l'impression qui se dégage de ton écriture) et je préfère lire ça à des textes surchargés de formes de styles et d'un vocabulaire trop riche. J'ai adoré, quoi .