› NOM : Depuis le jour de sa naissance, il se voit porter celui de sa famille, Fawley. Un nom qui pouvait apporter une certaine influence à l'époque de la seconde guerre sorcière, bien que cette lignée n'ai jamais su se faire démarquer et restant à l'ombre des autres. Seulement, à présent elle signifie plus qu'une famille détesté par son simple statut de sang, des années d'humiliation que ses descendants comptent bien venger à n'importe quel prix. › PRÉNOMS : Ces familles ayant souvent pour coutume de prénommer leur enfant par les mêmes que leur ancêtres, il n'en fut pourtant rien pour le jeune homme qui se vu attribuer de nouveau prénom dans l'arbre généalogique. Ainsi, son premier est Jeremy, celui par lequel il se fait couramment appeler par ses proches, autant dire très peu de personne. Son second quant à lui est Nolan, dont peu de personne ne le connaissent, si ce n'est que ses parents et sa soeur. › AGE : Il est âgé de dix neuf ans, il n'est encore qu'un jeune sorcier qui vient tout juste de finir ses études. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le jeune homme est né durant la matinée du trois février deux mille dix à Sainte-Mangouste, une clinique sorcière bien connu, en Angleterre. › STATUT : Si bien longtemps le jeune homme se trouvait célibataire, bien qu'enchaînant les conquêtes, il se trouve désormais être fiancée depuis quelques semaines seulement à une sorcière qui possède relativement le même âge que lui. Bien qu'il n'en dise rien et ne proteste aucunement, cette situation ne lui plaît guère. Si bien qu'il multiplie les conquêtes pour oublier cette union qu'il n'a jamais souhaité. › STATUT DU SANG : Le sang qui coule dans les veines du sorcier est pur, le jeune homme appartenant à l'une des dernières familles qui ne ce sont pas faite exterminées durant la Grande Burge. Si ce statut est désormais sujet à bien des critiques dans la société actuelle d'après-guerre, il n'en demeure pas moins fière au contraire, le revendiquant sans aucune peur. › ORIENTATION SEXUELLE :  Bien que cela pourrait en étonner plus d'un, le sorcier étant bien connu pour être un coureur auprès de la gente féminine, Jeremy est bisexuel. Attiré également par les hommes, il n'a vécu cependant encore aucune liaison avec un homme, étant plus habitué à partager ses draps avec des femmes. › MÉTIER : Après ses études, le jeune homme se vu être embauché au Ministère de la magie, dans le Département des mystères. Si travailler avec les responsables de toute la haine qui ressent aujourd'hui ne lui plaît en aucun cas, il est se trouve être apprenti langue-de-plomb dans la chambre des prophéties en attendant sa vengeance avec une patience qui ne lui ressemble pas. › BAGUETTE : Lorsque le sorcier se rendit chez Olivander pour l'achat de sa baguette, cette dernière ne mit que très peu de temps pour trouver son sorcier. Cette dernière fut alors taillée dans un bois d'if, contenant à l'intérieur de son coeur un crin de sombral et mesurant près de vingt-cinq centimètres. › MAISON A POUDLARD : C'est chez les verts et argents que le sorcier fut répartit lors de sa première année à l'école de magie, une maison bien à son image dans laquelle il suivit un bon parcours dans l'ensemble. › PATRONUS :  Très peu de fois il réussit à faire apparaître son patronus dans sa véritable forme, ayant eut beaucoup de mal pour y parvenir. Ce dernier prenait alors la forme d'une couleuvre imposante et à la fois terrifiante, mais il n'est plus capable de la produire désormais. › EPOUVANTARD :  C'est un gouffre sans fin qui se forme alors face à lui lorsqu'il se trouve en présence de son épouvantard, douloureux et amer souvenir d'une chute de balais durant un match de quidditch alors qu'il étudiait encore à Poudlard. › CREDIT : we heart it - @shit (bannière).

› UN SORT : Doloris, un sort qu'il apprit à adorer lors de la première torture qu'il fut subir à sa victime. La première d'une longue liste. › UNE POTION : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UN OUVRAGE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : Batteur, il l'occupé avant son accident de quidditch. Un douloureux souvenir lorsqu'il vient à y songer. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : Le transplanage, c'est bien celui qu'il utilise le plus souvent. Une manière très pratique pour s'échapper rapidement. › UN MAGE CELEBRE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : La Terreur, lorsque Voldemort régnait encore sur la société magique. Un temps bien loin maintenant qui le rend mélancolique, lui qui n'a jamais pu connaître cette période. › UNE CREATURE MAGIQUE : Un elfe de maison, bien pratique pour obéir au doigt et à l'oeil.

› pseudo : candids. › prénom : andréanne. › âge : seize ans. › fréquence de connexion : 5j/7. › personnage : prédéfinis de longue date. › groupe : la confrérie for the win. › commentaire ? : les méchants au pouvoir.  

Plus jeune enfant de sa famille, il est l'unique fils de sa fratrie, ne possédant qu'une soeur de deux ans son aînée. ◊ Bien que chéri et gâté tout autant que sa soeur grâce aux hauts revenus de ses parents, le jeune homme ne vécut pas l'une des plus heureuses enfances de part les nombreuses humiliations dont fut victime sa famille. ◊ Heureusement, aucun membre de sa famille ne fut tué durant la Grande Purge, ces derniers étant seulement victimes de la haine de la société d'après-guerre par le simple statut de sang. ◊ Ayant mal vécu ses nombreuses et longues années, le sorcier se referma doucement sur lui-même. N'étant pas sociable de nature, il se forma un masque froid et dénué de toute émotion derrière lequel il se cache toujours, si bien qu'il finit même par croire qu'il s'agit bien de lui. ◊ Blabla.

manoir fawley, deux mille dix sept.
Grande Purge, arrestation du père, humiliation de la famille. (ec)

poudlard, deux mille vingt.
Répartition, serpentard, souhait de vengeance. (ec)

poudlard, deux mille vingt six.
Pénélope, accident de quidditch, séparation. (ec)

manoir fawley, deux mille vingt huit.
Rencontre avec la future fiancée. (ec)

londres, deux mille vingt huit.
Le froid était roi ce soir là. La nuit était bien présente, se trouvant même être à son apogée alors que la lune éclairait les rues sombres. Malgré tout, Jeremy ne tremblait en aucun cas, la fraîcheur de la nuit ne l’atteignant point. Il restait droit, fière, impérieux. Ses bras se trouvant le long de son corps, il tenait fermement sa baguette dans sa main droite, fixant le corps recroquevillé de sa victime sous ses yeux. Il ne prenait pas la peine d’écouter ses plaintes, une consolation pour lui après tout ce qu’il avait pu vivre par leur faute. Ces nés-moldus responsable du malheur de sa famille, responsable de ce qu’il est devenu aujourd’hui. Il ne fait que leur rendre la monnaie de la pièce. Leur montrant la seule chose qu’ils ont réussit à faire naître suite à leurs actions. Un doux sentiment de vengeance que le brun était près à accomplir. Le plaisir était là, ce plaisir malsain mais qui animait tellement de chose en lui. « Doloris. » Un cri s’échappa des lèvres de sa victime, cette dernière appuyait désespérément contre un mur. Malgré ses plaintes, il savait que personne ne viendrait, du moins n’oserais venir le déranger. Il ne l’accepterait en aucun cas, n’aimant pas que l’on l’interrompt durant ce moment de pur plaisir. Beaucoup de monde disait de lui qu’il était fou, complètement. Ils n’avaient pas tord, au contraire. Lui-même le savait, d’un côté. Mais il en jouait et continuait. Il n’avait aucune pitié pour ses victimes, se plaisant à les torturer un long moment, avant de les tuer. De les achever sans gène. Les voir crier, le supplier… Il n’y a rien de mieux d’après lui. Son regard toujours planté sur sa victime, elle avait arrêtée d'hurler. Il pouvait voir des larmes rouler sur ses joues, son regard vide. Cependant, malgré cette scène morbide dont-il était le créateur, ce fut un sourire qui se forma sur ses lèvres. Lassé, il leva une dernière fois sa baguette, la pointant sur le corps marqué de blessures qui se trouvait à ses pieds. « Avada kedavra. » Murmura-t-il simplement, machinalement. Ce sort interdit résonna entre les murs de l’allée sombre dans laquelle il se trouvait. Un rayon vert jaillissant, il observa le corps sans vie tomber de tout son poids sur le sol en dalles de pierre. Il se délectait de la vision qui s’offrait à lui. Cette mort dont-il était le fautif, cette mort qu’il ne regrettait en aucun cas. Observant quelques instants la scène, il tourna finalement les talons, un sourire toujours présent sur ses lèvres. Il jouissait de sa puissance, heureux de l’acte qu’il venait d’accomplir. Une fierté pour lui. Après tout, ce n’était rien. Un simple né-moldu. Rien de plus qu’une mort supplémentaire, une mort amplement méritée. La première d’une longue liste dont même lui n’en voyait pas la fin.