mischief managed

« regarde les étoiles, peu importe le temps, peu importe le malheur des gens, elles sont là. parfois tu ne les voies pas, mais elles seront toujours là et nous mourrons bien avant qu'elles ne disparaissent. je veux que tu retiennes une chose, lucile : c'est que peu importe le temps, peu importe le malheur des gens, nous, on sera toujours là. » c'était une promesse qu'il avait fait à la mère de l'enfant, plusieurs années auparavant. c'était étrange à dire mais la petite s'entendait plus que bien avec son parrain, il avait un statut un peu privilégié dans son coeur et même s'il n’éclipsait pas son affection pour ses parents, il pouvait se venter de les avoir presque égalé. « il se fait tard, simon tu serais gentil de ne pas emmener ma fille dehors à cette heure là. » « dois-je te rappeler ce que tu faisais à dix ans, le soir ? » lucile vit vaguement son père dans l'encadrement de la porte. il prit sa femme dans ses bras et l'entraina à l'intérieur, la laissant à nouveau seule avec simon. « alors tu vas bientôt rentrer à poudlard ? » elle baissa les yeux et pinça les lèvres, sale habitude de famille. elle angoissait, et même si elle avait l'air détachée, elle avait peur d'entrer dans cette école durant dix mois par ans. et si elle ne s'y plaisait pas ? et si elle voulait rentrer ? parler avec son père, sa mère ou simon ? « et si je vais pas à serpentard ? » des pas se firent entendre et pansy s'installa à côté de sa fille « ta grand-mère était à serdaigle. » « et elle n'était pas complètement dingue, contrairement à certains serpentards. » ajouta son père. il posa ses mains sur les épaules de lucile qui soupira. ils ne pouvaient pas comprendre ses inquiétudes. avaient-ils eu cette peur, de décevoir leur famille ? majoritairement, les nott comme les parkinson étaient tous allés chez les verts et argents. elle ne voulait pas être citée comme exemple comme sa grand-mère.

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« amuse-toi bien. » « et pas trop de bêtises hein ? » ajouta son père. lucile avait vaguement entendu parler des petits accrochages que ses parents avaient eu, ensemble ou avec d'autres, mais n'avait jamais eu droit aux détails. elle avança sur le quai, aux côtés de son frère qui souriait de temps à autres à une fille. lorsqu'il eut disparu, théodore lança à sa femme « on voit de qui il tient. » elle lui sourit et continu d'avancer. finalement, anthony seclipsa après avoir brièvement embrassé ses parents et fait un clin d'oeil à sa soeur « je te revois ce soir, p'tite soeur » leur relation avait toujours été cordiale, voir affective mais pas très démonstrative. ils arrivèrent finalement au train lorsque son père sourit à un inconnu. « blaise ! ca fait longtemps ! » il serra la main à un homme, d'à peu près la même taille, d'une carrure cependant plus imposante. « n'est-ce pas ? j'ai entendu dire ton fils et le mien étaient plutôt en de bons termes. » « ô joie ! » les yeux des deux hommes se tournèrent vers pansy qui soutint le regard du dénommé blaise. « il y a des choses qui ne changeront jamais. » un dernier sourire et le métisse s'éclipsa. « je me demande toujours comment il a pu avoir un enfant ? surtout avec elle ! » le père de lucile observa sa femme avec amusement « ce ne sont pas tes affaires, ma chérie. » « évite de trop fréquenter le fils zabini, lucile, sinon tu risques de le regretter. » « tu vas lui dire que tous les zabini sont malheureux en amour ? » pansy haussa les épaules et sourit à sa fille. « allez, tu vas louper ton train ! » après un dernier sourire, des embrassades mais pas de larmes, elle quitta ses parents.

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voyons voir... la fille parkinson-nott ? intéressant. serpentard, je suppose ? pourtant tu tiens vraiment de ton père et de sa famille, je pense que serdaigle pourrait te convenir tout aussi bien. enfin bon... « SERPENTARD ! » elle sauta du tabouret, le sourire aux lèvres. elle ne serait pas une paria dans sa famille, rejoindrait le mur de l'arbre généalogique comme une véritable nott. elle rejoignit la table de ce qui allait devenir sa nouvelle famille. « eh bien ma petite, on dira ce qu'on veut, tu gères ! maman va être fière de toi ! » « merci » elle sourit à son frère et à ses amis. si elle avait bien compris le sous entendu de son père, il avait de la chance avec les filles, tout comme sa mère en avait eu avec les hommes. plusieurs élèves, autant de serpentards que des autres tables, vinrent lui parler pendant les quelques minutes où elle l'observa. si elle avait la (mal)chance de son père en amour comme en amitié... elle sourit à son voisin de table et observa le reste de la répartition. une bonne année pour gryffondor. lorsque le repas fut fini, anthony s'approcha de sa soeur et lui glissa à l'oreille « ce qui se passe ici, tu le gardes pour toi, ce que tu entends sur moi, tu en dis pas un mot aux parents, clair ? » elle hocha la tête, il n'était pas dans ses habitudes de se mêler des affaires de son frère, encore moins de les rapporter à ses parents. pourtant, même si elle tenait à rester éloignée de ses histoires de coeur, ou plutôt cul, elle ne pouvait pas vraiment y échapper. elle s'appelait nott et les filles s'intéressaient à elle uniquement pour ca.


At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat. On the other hand, we denounce with righteous indignation and dislike men who are so beguiled and demoralized by the charms of pleasure of the moment, so blinded by desire, that they cannot foresee the pain and trouble that are bound to ensue; and equal blame belongs to those who fail in their duty through weakness of will, which is the same as saying through shrinking from toil and pain. These cases are perfectly simple and easy to distinguish. In a free hour, when our power of choice is untrammelled and when nothing prevents our being able to do what we like best, every pleasure is to be welcomed and every pain avoided. But in certain circumstances and owing to the claims of duty or the obligations of business it will frequently occur that pleasures have to be repudiated and annoyances accepted. The wise man therefore always holds in these matters to this principle of selection: he rejects pleasures to secure other greater pleasures, or else he endures pains to avoid worse pains.

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« pourquoi tu m'as pas dit que t'étais un zabini ? » il lui lança un regard surpris, elle venait de débarquer dans la grande salle et certains la regardaient déjà avec de gros yeux. « parce que tu ne me l'as pas demandé ? » elle le fusilla du regard et se détourna vers son frère qui mangeait un morceau de poulet avec la grâce qui le caractérisait. il avait hérité des manière de la famille parkinson, c'était indéniable. « et toi ? pourquoi tu me l'as pas dit ? » « aucune idée ! » anthony haussa les épaules en pinçant les lèvres. elle ne savait pas s'il se moquait d'elle ou s'il avait juste peur qu'elle le dise à ses parents. fréquenter les zabini était une mauvaise idée, surtout aux yeux de sa mère. elle ne savait pas ce qu'ils avaient comme histoire mais pansy et blaise se haïssait, elle l'avait suffisamment fait comprendre. « pas un mot à maman. » « mais on s'en fout de son avis ! » « si elle l'apprend, elle va nous tuer. » « je me demande bien pourquoi.... » « ca, tu sais très bien qu'on ne le saura jamais. on sait rien de leur passé aux parents. » c'était vrai, ils ne savaient presque rien d'eux. ils s'étaient rencontrés à poudlard et avaient toujours filé le parfait amour depuis. enfin c'était ce qu'ils avaient toujours affirmé mais certains sous entendus laissaient deviner le contraire. lorsqu'elle quitta enfin la grande salle, c'est henry qui la rattrapa, avant qu'elle ne pénètre dans la salle commune. il était tôt et personne ne rejoignait encore son dortoir, ce qui leur laissai un couloir désert, rien qu'à tous les deux. « je sais que tu es le meilleur ami d'anthony, mais les zabini ont ... quelques problèmes avec ma famille et... ce n'est pas très... judicieux, ce qu'on fait. se parler je veux dire. »

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At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat. On the other hand, we denounce with righteous indignation and dislike men who are so beguiled and demoralized by the charms of pleasure of the moment, so blinded by desire, that they cannot foresee the pain and trouble that are bound to ensue; and equal blame belongs to those who fail in their duty through weakness of will, which is the same as saying through shrinking from toil and pain. These cases are perfectly simple and easy to distinguish. In a free hour, when our power of choice is untrammelled and when nothing prevents our being able to do what we like best, every pleasure is to be welcomed and every pain avoided. But in certain circumstances and owing to the claims of duty or the obligations of business it will frequently occur that pleasures have to be repudiated and annoyances accepted. The wise man therefore always holds in these matters to this principle of selection: he rejects pleasures to secure other greater pleasures, or else he endures pains to avoid worse pains.


« alors soeurette, prête à partir pour de bon ? » elle tira sa lourde valise du train pour la dernière fois et sauta dans les bras de son frère. une fois séparés, les retrouvailles étaient toujours agréables, ils n'étaient désagréables qu'une fois contraints de se croiser tous les jours. heureusement, il avait son appartement au coeur de londres et ne passait que de temps à autres à la maison familiale. « je te ramène à la maison, je crois que papa veut te proposer un stage. » théodore avait toujours eu une vocation pour le journalisme, la transmettant à sa fille. il avait travaillé pour des journeaux français mais à présent il était employé en amérique. il refusait cordialement toutes les propositions de journaux anglais, préférant garder un oeil critique sur d'autres choses que les affaires de son propre pays. UNDERCO

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At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat. On the other hand, we denounce with righteous indignation and dislike men who are so beguiled and demoralized by the charms of pleasure of the moment, so blinded by desire, that they cannot foresee the pain and trouble that are bound to ensue; and equal blame belongs to those who fail in their duty through weakness of will, which is the same as saying through shrinking from toil and pain. These cases are perfectly simple and easy to distinguish. In a free hour, when our power of choice is untrammelled and when nothing prevents our being able to do what we like best, every pleasure is to be welcomed and every pain avoided. But in certain circumstances and owing to the claims of duty or the obligations of business it will frequently occur that pleasures have to be repudiated and annoyances accepted. The wise man therefore always holds in these matters to this principle of selection: he rejects pleasures to secure other greater pleasures, or else he endures pains to avoid worse pains.

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