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 And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)

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James Potter

James Potter


SORTS JETÉS : 2426
AVATAR : max irons.
CRÉDITS : voir avatar.
BAGUETTE : bois de tremble, 29 centimètres et demi, impregnée d'un ventricule de dragon. Souple.

And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) Empty
MessageSujet: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyDim 19 Mai - 10:42

And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase.
+++

Indésirable numéro un. James Potter était le digne fils de son père, lui aussi avait été activement recherché et lui aussi avait été le paria, celui qu’il fallait à tout prix retrouvé mais, tout de même, il y avait une petite nuance. Lui était coupable, James avait tué, il avait même tué des centaines de personnes si on lui imputait toute la responsabilité de la catastrophe de la coupe du monde. Il avait tué, il avait détruit des familles, il avait détruit la sienne en premier. Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu’on te fasse, précisément, il n’en avait rien à foutre. Il avait détruit sa famille, les autres avaient encore moins d’importance, si la sienne en avait un peu à ses yeux. Et elle en avait, plus qu’on ne pourrait le penser. Si ce n’était pas le cas son frère serait déjà mort, il aurait peut être même assassiné sa mère aussi, pour faire bonne figure ou son parrain, Ron. Ses pensées se tournèrent vers Lily et comme si l’idée même de lui faire un peu de mal lui était insupportable il ferma les yeux, allongé dans son lit. James revoyait le doux visage de sa sœur derrière ses paupières hermétiquement closes, sa respiration se faisait plus douce, plus calme. Elle était tout ce qu’il lui restait. Une boule se forma dans sa gorge quand il en vint à cette conclusion. Et c’était de sa faute, évidemment que c’était de sa faute. Encore une fois il en était arrivé à un de ses rares moments de lucidité où il se haïssait pour ce qu’il avait fait, la folie l’avait quitté la nuit précédente alors qu’il était rentré chez lui après une longue discussion avec Rabastan. Il s’était senti vide. Et puis vivant, à nouveau. Et soudainement, la culpabilité était venue le rejoindre pour l’empêcher de dormir. James soupira longuement, il porta ses mains tremblantes à son visage, toujours allongé dans son grand lit. Trop grand depuis qu’Alexandra l’avait quitté. Sa respiration avait recommencée à s’emballer, son souffle était court, il roula sur le coté et s’enferma dans ses couvertures. Les yeux clos il attendait, il attendait peut être que la vie passe, que quelqu’un le retrouve et qu’on lui fasse payer tous ses crimes. Il aurait voulu de l’aide, James ne voulait pas qu’on le retrouve pour l’envoyer à Azkaban, il ne voulait pas non plu mourir mais savait qu’il ne devrait pas compter sur l’appuie de sa famille si un jour on le retrouverait. Son frère le regarderait mourir sans sourciller, comme lui le ferait. Oui James pourrait regarder Albus s’éteindre et s’en délecter. Il pourrait voir le monde brûler et s’en réjouir mais alors plus personne ne serait là pour reconnaitre à quel point il était grand et puissant.

Trop souvent James tombait endormit a des heures pas possibles et se réveillait un long moment après. Il jeta un œil dehors, le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Alors il se leva, passa une main sur son visage et dans sa nuque avant de se rendre dans la cuisine où il vit l’heure qu’il était. Près de trois heures de l’après-midi. Il avait fait pire, il serait capable de rester seulement six heures éveillé ou plus de vingt-quatre heures. La fatigue du jeune sorcier était mentale, physiquement il ne faisait rien. Il ne combattait que ses démons intérieurs et perdait tous les soirs, tous les matins, à chaque fois qu’il se sentait prit d’assaut il fermait les yeux, il laissait ses pensées suivre un ordre qu’il pensait être logique et puis, il s’endormait. Et quand il se levait il allait mieux. Ou en tout cas il allait un peu moins mal.

James ne s’était pas non plus rendu compte qu’il avait régulièrement des absences. Mais aujourd’hui, il s’en rendit compte. Il était dehors, il était nuit et il avait oublié la plus grande partie de sa journée. Le sorcier réfléchit brièvement à ce qu’il avait fait. Il s’était douché. Il était sortit de l’appartement… Il se retourna en entendant un bruit derrière lui et avança dans la ruelle sombre qui lui faisait face. Après, qu’avait-il fait ? Le sorcier passe devant une boutique. Il s’immobilise. Il était aller voir Rabastan. Et maintenant, il devait rentrer chez lui mais il était suivit, il en était sur. Il se retourna vivement. Il avança encore dans la ruelle qu’il venait pourtant de traverser et leva sa baguette devant lui. « Montrez-vous. » ordonna-t-il d’un ton froid, implacable. Féroce, même. Mais c’était derrière lui qu’était la sorcière. Il pivota et pointa sa baguette sur… Alice. James hésita un instant, sa baguette se baissa de quelques centimètres avant qu’il ne la relève. Il était recherché. Et elle était une auror.
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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyDim 19 Mai - 14:10

Below my soul I feel an engine.Collapsing as it sees the pain. If I could only shut it out › with james potter
« Tu ne peux pas rester ici indéfiniment. » Il ne comprenait pas. Il ne te comprenait pas. Depuis la coupe du monde, tu avais peur de rentrer chez toi. Tu ne pouvais retourner dans cet appartement en plein centre de Londres alors que le danger était partout. Tu étais devenue cette petite fille effrayée, à nouveau. Personne n’arrivait à te cerner. A comprendre ô combien tu avais peur. Toi-même tu ne l’avais pas réalisé. Tout ce que tu savais c’était que tu ne voulais pas rentrer chez toi. Tu ne voulais pas rester seule. « Je n’ai pas envie de rentrer pour trouver un appartement vide où je suis seule. » Répondis-tu à ton père. Depuis quelques jours déjà, tu logeais chez ton père. Tu ne pouvais te permettre de t’incruster dans la vie de ton frère alors tu avais décidé de trouver refuge chez tes parents. Tu étais presque sûre qu’il ne le savait pas. Personne ne savait qu’Alice Londubat s’était cachée dans un petit village sans histoire. Tu préférais que ça reste ainsi. Qu’allait devenir ta réputation sinon ? Tu serais condamnée à être l’auror qui n’a pas su supporter le poids. Et tu ne voulais pas devenir cette personne. Tu étais brave, forte et courageuse. Mais tu n’étais pas invincible. Ca ne semblait choquer personne mais la vue d’autant de sang et d’autant de corps inertes avait laissé un impact dans ta mémoire. Tu n’arrivais plus à penser ou à agir correctement. Tu devais absolument te reposer. Ta santé mentale l’exigeait. « Alice… » Tu relevas le regard jusqu’à croiser celui de ton père et tu fronças les sourcils comme un appel à l’aide. Tu avais grand besoin de soutien. « Je peux pas, papa. Je ne peux pas. » Tu détournas à nouveau le regard. Emmitouflée sur ce canapé, tu admirais le vide. Les images défilaient dans ta tête, devant tes yeux et elles n’étaient pas prêtes à partir. « Tu as vécu la guerre. Tu sais ce que ça fait de voir ses amis tomber un à un et de ne pas pouvoir les sauver. » Une larme glissa sur ta joue, que tu empressas d’essuyer. Il ne pouvait pas voir ta faiblesse. Il ne pouvait pas voir à quel point tu étais brisée depuis la coupe du monde. « J’ai failli perdre Frank ! J’ai failli à mon devoir cette nuit là... Que serait-il passé s’il.. » Tu t’arrêtas dans tes paroles à cause de cette vague de sentiments qui t’enveloppa soudainement. « Mais il n’est pas mort. Il est vivant et plus fort que jamais. Et toi aussi.. » Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. C’est ce qu’il avait l’habitude de dire. Après tout ce que ton père avait vécu durant sa scolarité et même après, il savait de quoi il parlait. Maintenant, il était devenu un héros national pour le Ministère anglais. Tu devais prendre exemple sur lui. Et pourtant tu n’y arrivais pas. Tu déglutis. Une fois. Deux fois. Puis tu le regardas à nouveau. Un sourire forcé collé sur tes lèvres, tu devais lui montrer qu’il ne devait pas s’inquiéter, que tu allais surmonter ça. Tu le faisais toujours. Tu n’avais pas vraiment le choix. Il s’approcha de toi et te serra dans ses bras. Son étreinte était aussi forte que son inquiétude. Il finit par te relâcher. Il ne dit pas un mot, il n’en avait pas besoin. Vous vous compreniez rien que par vos regards. Comme toujours. « Bonne nuit, papa. » Il monta finalement se coucher, te laissant seule dans le noir avec comme seule compagnie, tes songes.

Lumineuse était la lune. Elle t’éclairait dans le noir. Tu n’avais pas besoin de baguette pour y voir, tu te fiais à cette grosse boule blanche dans le ciel. Tu venais de quitter la maison familiale sans en informer ton père. Ce n’était qu’une fugue d’une nuit. Tu comptais bien revenir, tu avais trop peur d’être seule pour partir. Tu avais transplané, visualisant Londres dans ton esprit. Tu voulais atterrir à Diagon Alley mais tu avais chuté en plein Knockturn Alley. Cette Allée déconseillée pour les sorciers de ton genre. Tu n’avais pas été assez concentrée pour visualiser le bon endroit et tu étais maintenant perdue dans le quartier le plus infâme de Londres. Tu marchais doucement, baissant la tête, cachant ton regard. Tu ne savais pas où aller. Là où t’emporterait le vent, sans doute. L’errance était devenue ta meilleure amie. Tu finis par apercevoir une silhouette à quelques mètres de toi. Tu la reconnaissais très bien cette silhouette. Tu pouvais identifier son ombre parmi tant d’autres. Tu fronças le regard et tu crispas ta mâchoire en grinçant son nom. Tu avais soif. Soif de vengeance. Ton état actuel était sa faute. Il t’avait forcé à assister à la déchéance de l’Empire anglais. Il avait provoqué tout ça. Il avait blessé tes amis, tes collègues, ta famille.. Il était responsable des morts et blessés. Tu le haïssais. Plus que tout au monde. Votre amitié était terminée, tu l’avais bien compris. Il l’avait détruite le jour où il t’a trahi. Tu savais pardonner tout et n’importe quoi mais il avait blessé ta famille. Et on ne blesse pas la famille d’Alice Londubat. Tu le suivis, baguette en main. La rage te possédait, tu étais tellement en colère contre lui que tu étais capable du pire ce soir-là. Il ne fit pas plus d’une ruelle avant de comprendre qu’il était suivi. Ivre de sombres sentiments, tu étais incapable d’être discrète. Tu voulais lui montrer qui tu étais. Tu voulais le blesser, le détruire et l’abandonner comme il l’avait fait avec toi. Tu voulais qu’il sache que tu serais la personne qui provoquera sa chute. L’heure de vérité était arrivée. Laquelle des deux baguettes était la plus forte… Il leva sa baguette devant lui en ordonnant ton visage. « Montrez-vous. » Tu finis par sortir de ton ombre, de ta pénombre, de ta solitude. Il vit ton visage, il scruta ton regard. Il comprit rapidement qui tu étais et pour quelles raisons tu étais là. Il hésita quelques moments, te pensant inoffensif alors il baissa sa baguette pour la remonter directement après. Tu tenais la tienne fermement dans ta main. « Et moi qui pensait que tu réussirais à me reconnaître par le bruit de ma respiration. » Ajoutas-tu avec un léger sourire en coin. Un sourire effrayant et réconfortant à la fois. « C’est décevant de ta part Potter. » Le mangemort croisa ton regard. Il devait trembler, fuir, ou n’importe quoi d’autre. Mais il devait principalement avoir peur pour sa vie. Car ce soir, tu t’assurerais qu’il ne blesserait plus jamais personne.

Spoiler:


Dernière édition par Alice Londubat le Jeu 30 Mai - 7:00, édité 3 fois
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James Potter

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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyJeu 23 Mai - 12:07

Depuis quand, exactement, est-ce James avait cessé d’être un sorcier qui aimait s’entourer d’amis, un sorcier qui n’avait certes pas toujours l’air aussi bon que son frère mais qu’ont n’aurait pas non plus vu être à l’origine d’une telle catastrophe ? Personne ne le savait, lui-même ne le savait pas. Personne ne le savait car avant de devenir celui qu’il était maintenant il avait déjà cessé de faire confiance à la plupart des gens en qui, précisément, il aurait du avoir confiance. Et donc il avait joué à celui qui allait parfaitement bien alors que tout ce sur quoi il se reposait s’effondrait autour de lui. Oh bien sur une autre personne aurait probablement tout simplement décidé d’extérioriser, d’en parler mais penser que James eut été ce genre de personne était apporter la preuve qu’on ne le connaissait pas. Trop fier pour parler de ses émotions, il l’était. Trop fier pour dire que, non, ça n’allait pas. Trop fier pour aller voir sa mère, sa sœur, n’importe qui pour leur dire qu’il n’en pouvait plus. Surtout que tout le monde avait toujours pensé que James Sirius Potter avait tout. Le sorcier avait de l’argent, il avait le nom, il avait même l’intelligence, la chance de ne pas finir cracmol, la chance de se débrouiller suffisamment bien sur un balais pour, pourquoi pas, faire partie d’une équipe de quidditch nationale mais non, non il s’en fichait de tout ça. Il n’avait matériellement tout et sentimentalement rien. Et c’était une des rares choses dont il était conscient. C’était ce qui le maintenant éveillé trop souvent. Ce soir encore. Il était suivit.

La baguette levée le sorcier ordonna à la personne qui le suivait de se montrer. Personne, chose, qui sait ce que l’on peut croiser dans cette partie de la ville ? Peut importe, il pourrait se défendre. Ou alors il mourrait et qui s’en soucierait ? Pas lui, même pas lui, triste vérité et pourtant… « Et moi qui pensait que tu réussirais à me reconnaître par le bruit de ma respiration. » Il hésita en reconnaissant la jeune femme qui lui faisait face. Il aurait pou la reconnaitre bien plus facilement mais c’était peut être justement parce que c’était Alice qu’il avait si vite compris qu’on le suivait. Ils se connaissaient bien, très bien même, voilà une personne qui aurait pu aider James si celui-ci avait consenti à avoir un peu d’aide. En dehors de sa famille Alice était la personne qui se rapprochait le plus d’une petite sœur pour lui, pas de la même manière que Lily qu’il voyait comme son joyau et qu’il devait protéger envers et contre tous mais comme ce qu’avait été Albus, il y a si longtemps que le souvenir se fanait dans sa mémoire. Ils avaient eu une certaine complicité. Maintenant elle ne haïssait comme tous les autres et de la part d’une auror telle qu’elle, il n’en attendait presque pas mois. Et si il hésitait, ce n’était pas parce qu’il n’avait pas peur d’elle mais parce qu’il avait encore ce reste d’humanité qui lui soufflait de ne pas toucher à la fille Londubat. Pas elle, James, les autres peuvent crever mais pas elle. Mais pas lui. Pas de sa main à elle du moins. Ca, il ne le laisserait pas faire. « C’est décevant de ta part Potter. » Il passa ses dents sur sa lèvre inférieure, soupirant d’un air exaspéré. Potter. Ce nom le répugnait, il lui donnait des envies de meurtres, littéralement. « Quelle différence entre toi et n’importe quel autre auror, Londubat ? commença-t-il, bien sur il y avait une tonne de différence, elle n'était pas n'importe quelle auror, elle était une auror qu'il répugnait à blesser, à tuer même si cela était nécessaire. Toute la différence était là. Alors, combien de galions tu vas toucher si c’est toi qui m’attrape, hein ? » Il se savait rechercher, bien sur, mais le monde le savait fou et personne n’osait se lancer à la poursuite d’un fou. Sauf Alice, évidemment, il aurait du s’en douter. Elle était le prototype même de la lionne, elle l’aurait chassé jusqu’au bout du monde si ça lui aurait permit d’assouvir sa soif de justice. Il n’aurait jamais la paix avec elle, ni avec ses cousins, si avec son frère. Il devait se battre et vaincre, parce que la victoire signifiait la mort et même si il l’aurait peut être pas si mal accueillie que ça, il avait cet instinct animal de survie. Et il était plus fort que tout. « Tu m’excuseras, mais il est hors de question que je me laisse prendre. » James pointa sa baguette sur un étalage de caisses en bois qui explosèrent juste à coté de la sorcière, provoquant un bruit qu’il n’avait pas prévu – au plutôt auquel il n’avait pas pensé – mais peut importe, dans l’allée des embrûmes personne ne sortirait pour savoir ce qu’il se passait. Les gens étaient habitués, parfois même certains se faisaient mordre par des loups les nuits de pleine lune et d’autre se faisaient vider le sang par des vampires. Ce quartier était le plus dangereux de Londres et c’était plus vrai ce soir que n’importe quel autre soir. Après avoir fait exploser les caisse, James tourna alors les talons et courru en sens inverse, jetant des regards furtifs derrière lui pour s’assurer qu’elle ne le retrouvait pas. Mais un couvre-feu avait du être installé car il lui était impossible de transplaner et quand il en arriva à cette conclusion Alice était presque arrivé jusqu'à lui. Il aurait pu continuer à courir, fuir et attendre qu’elle le retrouve encore et encore et fuir, toujours plus loin, toujours ailleurs. Ou il pouvait être digne de son ancien insigne rouge et or et du lion qui l’ornait, il pouvait prouver que le choipeau ne s’était pas trompé. Il ne lui fallu pas plus d’une seconde pour prendre sa situation, autant rester et régler le problème Londubat une bonne fois pour toute.
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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyVen 31 Mai - 11:39

Lorsque tu compris que c’était James que tu tenais en filature, c’était difficile de continuer. Tu savais pertinemment qu’à la fin de ce voyage, celui-ci découvrirait que tu étais celle qui allait être responsable de sa déchéance. Tu ignorais pourquoi tu le suivais. Tu étais encore dans cette vague idée d’être celle qui parviendrait à attraper le fils de l’Elu même si intérieurement tu te refusais de le blesser. C’était ce qui avait couru ta perte à la Coupe du monde de Quidditch. Il avait profité de ta faiblesse pour attaquer le ministre et s’en échapper indemne tandis qu’il te restait quelques brûlures sur tes membres et le choc émotionnel d’avoir failli perdre ton frère. Un événement pareil était en partie traumatisant pour toi. Tu n’osais plus rentrer chez toi ni même effectuer ton travail. James t’avait rendu apeuré et tu n’en connaissais même pas la raison. Une voix au fond de toi s’annonçait, cette vieille voix que tu as faite taire il y a bien longtemps. Tu la sentais jaillir du bas de tes entrailles. Elle était celle qui te disait de baisser la tête et marcher dans l’obscurité. Celle qui te dictait ta conscience. Celle qui t’ordonnait de suivre celui qui t’a trahi. Cette voix était dangereuse mais tellement seule, tout comme ton état actuel. Danger et solitude était un mauvais mélange pour toi. Ca donnait des réactions imprévisibles dans ton comportement. Tu n’étais plus toi-même et ça depuis un bon moment. Depuis le moment où il avait assassiné son père, tu l’avais perdu. Et tu t’étais perdue toi-même sur la route. Et pendant tout ce temps, tu t’étais dévouée à le défendre, à blanchir son nom. Tu t’étais aperçue qu’il était l’homme dont les journaux parlaient. L’homme qui a tué Harry Potter. Ce trou dans ce cœur qu’il avait percé ne pourra jamais être rebouché. Tu l’avais perdu, tu l’avais vraiment perdu. Et il t’a fallut d’attendre le sabotage de la Coupe pour t’en rendre compte. C’était ce qui te faisait le plus mal au cœur. Savoir qu’on a perdu un ami. Ca tue tout le temps, et ça ne guérit jamais.

Tu sortais tout juste de chez ton père, par transplanage et dans un élan de folie printanière tu le suivais. Découvrir ce qu’il mijotait et l’emprisonner étaient devenu ton seul but. Tu étais avide de vengeance. Tu lui avais laissé assez de temps et assez de pitié, il n’avait rien fait. C’était ton tour de chasser. Tes émotions prenaient le pas, tu étais tellement sous leur emprise que ça t’avait laissé négligente. Il t’avait entendu, reconnu pratiquement. Du moins, il se doutait de ton identité. Tu pouvais être la seule auror à être incroyablement assez stupide pour suivre James Potter à l’allée des Embrumes. Tu finis par te prononcer comme il te l’avait demandé, suivi d’un petit peu de sarcasmes. Ca te détendait vraiment dans les situations les plus pires. Ca pouvait énerver certain mais prendre les choses à la légère et à l’ironie te permettait de t’apaiser psychologiquement. « Quelle différence entre toi et n’importe quel autre auror, Londubat ? » Tu inspiras fortement en fermant lentement les yeux. Ca commençait. Ca commençait fort. Après tout ce temps, tu pensais qu’il avait compris que tu étais différente des autres aurors. Cette question te blessa, ça touchait ton égo. Tu étais complètement spéciale dans ta manière d’être et celle d’attraper les mages noirs. Il le savait. Et au fond de toi, tu savais qu’il ne cherchait qu’à te destabiliser. Tu étais juste trop faible pour t’en rendre compte. « Différence n°1. Je suis jeune, intelligente et sexy. » Commençais-tu à énumérer avec un léger rictus accrochait à tes lèvres. « Différence n°2. J’ai des belles dents. » Tu continuais dans ton humour décalé habituel afin de relâcher la tension qu’il y avait dans l’air. « Différence n°3. Je suis celle qui va attraper James Potter. » Puis tu deviens sérieuse et tu perdis ton sourire. La guerre était déclarée et elle s’annonçait glaciale. Cette petite guéguerre que vous meniez tous les deux se montrait destructrice. Un jour tu allais finir par le voir perdre ses esprits et sa folie allait prendre le dessus. Tu assisterais à sa propre mort mais pas de ta main, de la sienne. Son suicide était proche. Tu le sentais. Et ce jour-là tu pleurerais. Non pas parce qu’il est mort, mais parce que tu n’aurais pas réussis à le faire pour lui. A lui épargner cette souffrance. Vous vous regardiez dans les yeux un long moment avant qu’il ne brise ce silence. « Alors, combien de galions tu vas toucher si c’est toi qui m’attrape, hein ? » Tu esquissas un sourire parce qu’après tout ce temps il n’avait toujours pas compris. Ca te fit sourire intérieurement mais une autre partie de toi peinait pour son esprit qui n’était toujours pas rétabli et pour sa folie qui retardait sa capacité mentale de réflexion. « Et moi qui te pensais intelligent. » Tu haussas les épaules en soupirant, le regard détourné. Puis tu croisas ses yeux à nouveau avant de lui sortir une punchline dont il se souviendra toute sa vie : « Je ne suis pas là au nom du Ministère, James. Mais au nom de l’Ordre. Au nom de ton frère et de ton père… » Face à ça, tu ne pouvais pas prévoir quelle réaction il allait avoir. C’était un sacré choc. Tu faisais parti de l’Ordre du Phoenix depuis quelques moins maintenant mais tu avais tenu à garder tes appartenances militaires secrètes. Du fait, aucuns mangemorts ne savaient qui tu étais vraiment. Juste une auror parmi d’autre, mais plus que ça, à vrai dire. « Et je te jure que tu vas payer pour ton crime. » Oui ce crime qui est resté impuni. Cet assassinat. Le jour où Harry Potter est mort, tu t’étais juré que personne ne fera souffrir ta famille une deuxième fois. Cette mort avait accablé tes parents et avait poussé ton frère à entrer dans les rangs de l’Ordre, chose stupide. A cette minute précise, tu t’étais sentie responsable de ce malheur parce que James était ton ami et que tu n’avais jamais réussi à comprendre pourquoi il détestait autant son père. Et toute cette haine l’avait consumé, au point d’en perdre les esprits et de faire des choses qu’il regrettera. C’était ta faute et tu en prenais l’entière responsabilité. « Tu m’excuseras, mais il est hors de question que je me laisse prendre. » Tu retrouvas ton sourire, un sourire narquois comme si tu savais ce qui allait se passer. « J’en avais pas l’intention. Ais au moins l’honneur de mourir en te battant. » Tu serras ta baguette, prête à te battre. Tu l’étais. Ce soir allait scellé une amitié qui était déjà morte. Puis il pointa sa baguette sur des caisses pour te retenir tandis qu’il commençait déjà à fuir. Lâche, pensais-tu. Il n’avait même pas le courage de se battre devant toi. Combien même tu étais exténuée par ce petit jeu tu le suivis, même si les caisses te bloquèrent une dizaine de seconde. Tu n’hésitas pas à les expulser au loin à coup de Bombardo. Tu courrais derrière lui, tentant de le rattraper. Il était rapide mais pas autant que toi. La fatigue te prenait mais tu ne pouvais pas t’arrêter. Ta motivation t’en empêchait. Tu arrivas finalement à sa hauteur où tu lui lanças un sort pour l’attraper. Tu crias « Incarcerem ! » à voix haute en pointant ses jambes. Une corde jaillit de ta baguette pour s’enrouler autour de ses jambes, provoquant instantanément sa chute. Le voyant à terre, tu t’arrêtas pour récupérer ton souffle. Il était rapide, il ne fallait pas le nier. Tu te redressas et pointas ta baguette sur lui. Tu voulais un duel, un vrai. Avant de l’enfermer à vie dans une cellule pour ses méfaits. « T’es qu’un lâche James. » Tu étais une idiote. Une pauvre petite idiote, pour avoir cru qu’il aurait au moins la dignité de se battre. S’il voulait la jouer comme ça, tu étais prête à l’achever à coups de poignard dans le dos tel Judas l’a fait. Avec ses ennemis, on utilise les mêmes armes qu’eux. Tu l’avais compris trop tard. Malheureusement.
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BAGUETTE : bois de tremble, 29 centimètres et demi, impregnée d'un ventricule de dragon. Souple.

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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyJeu 6 Juin - 9:57

Evidemment qu’il avait croisé le chemin d’Alice Londubat, il aurait de toute manière finit par la croiser et James savait que si il devait redouter un auror, c’était elle. Pas parce qu’elle était la plus puissante d’entre eux, non, il pourrait probablement s’en sortir mais le voudrait-il vraiment ? Voudrait-il vraiment blesser cette sorcière qu’il avait longtemps considérée comme une sœur ? Et il savait que ça avait été réciproque, il y avait un lien fort entre eux malgré qu’ils ne soient absolument pas de la même famille, le fait est qu’il tenait à Alice plus qu’a son propre frère et si tout le monde aurait cru que ce n’était pas beaucoup dire ils se trompaient car James tenait encore à son frère, du moins quand il arrivait à réfléchir normalement. Comme il fallait s’y attendre le face-à-face débuta par une petite joute verbale. « Différence n°1. Je suis jeune, intelligente et sexy. » James eu du mal à dissimuler un sourire amusé, elle voulait vraiment balancer ce genre de connerie dans un moment pareil ? « Différence n°2. J’ai des belles dents. » James haussa les épaules, il se fichait bien de tout ça, cherchait-elle à gagner du temps ? En tout cas le sorcier avait le poing serré sur sa baguette qu’il ne ferait plus jamais l’erreur de lâcher, il ne laisserait personne d’autre lui brisé une autre amie, même si il répugnait à utiliser la baguette d’accacia. Le fait est qu’il ne se remettait pas de la destruction de sa baguette en tremble, pire, il ne se remettait pas cette altercation avec Albus. « Différence n°3. Je suis celle qui va attraper James Potter. » Le sérieux retombe en même temps qu’un rideau imaginaire cache la scène, finit la rigolade. Un rictus amusé apparait sur le visage du sorcier. « Rectification, tu es celle qui sera assez folle pour essayer. » Et James accompagna ses paroles d’un mouvement de l’index, il souriait, réellement amusé tandis qu’une lueur de démence animait son regard. « Et moi qui te pensais intelligent. » fit-elle après que James lui eu demandé combien de galions valait sa capture. Il n’était pas encore passé devant le moindre avis de recherche, il se demandait de quoi ils pouvaient bien l’accuser, est-ce que le meurtre de son père était écrit sur l’acte de condamnation ? Pas encore, quand il avait vu Alexandra celle-ci ne semblait pas convaincue qu’il avait assassiné Harry alors le reste du magenmagot devait surement penser pareil. « Je ne suis pas là au nom du Ministère, James. Mais au nom de l’Ordre. Au nom de ton frère et de ton père… » James passa sa langue sur sa lèvre supérieure en toisant Alice, il se tint droit tout en la juchant d’un regard pénétrant, il aurait du s’en douté… « C’est moi qui te croyais intelligente et non complètement suicidaire. » finit-il par éructer, le regard noir. Il n’aurait su dire si il était en colère de savoir Alice chez l’ennemi ou en danger, tout simplement. Ne pouvait-elle pas ne pas prendre parti ? Non évidemment ce n’était pas son genre, il fallait qu’elle fasse justice, tout le temps, partout et pour ça elle avait rejoint l’Ordre, bien sur. Qu’Albus décide de risquer sa vie de la sorte faisait plus rire James qu’autre chose mais qu’Alice en fasse de même avait tendance à l’irriter au plus haut point. « Et je te jure que tu vas payer pour ton crime. » La colère inondait James mais il se refusait encore à attaquer Alice de front, il se savait un sorcier puissant et craint, mais ignorait que c’était surtout sa folie que l’on craignait, autrefois intelligent, devenu fou, il n’avait plus rien à perdre, il n’avait que soif de pouvoir et en était devenu proprement terrifiant. Qu’est-ce qu’une vie pour James Potter ? Justement, quand on pouvait penser que ce n’était rien c’était parfois tout, une manière de ne pas complètement se perdre, mais il n’y avait déjà plus d’espoir. « J’en avais pas l’intention. Ais au moins l’honneur de mourir en te battant. » Fit-elle un peu avant que James ne tourne les talons, il ne comptait pas mourir non, jamais. Ou alors si, mais pas tout de suite, car tous les hommes meurent un jour et la différence entre lui et l’autre sorcier qui avait un jour terrorisé le monde magique c’était que la mort ne l’effrayait pas, il l’attendait de pied ferme, il l’accueillerait comme une vieille amie, comme un Potter accueille toujours la mort parce que c’était là son héritage, il était en ça le digne fils de son père. James savait que la mort n’était que la prochaine grande aventure, une libération des souffrances de l’esprit et du corps et parfois même, James se disait qu’il avait hâte d’y être. Mais juste au moment ou il prenait la décision de se battre Alice le rattrapa et lança un Incarcerem qui lui bloqua les jambes. Le sorcier tomba au sol. Avec un grognement il roula sur lui-même pour se mettre face à Alice qui l’avait rejoint. « T’es qu’un lâche James. » Cette phrase plus que toutes les autres le fit enrager, elle le traitait de lâche alors que tout ce qu’il voulait c’était ne pas se battre avec elle, Alice ne se rendait pas compte que James pouvait réellement lui faire du mal, peut être n’avait elle jamais réalisé à quel point il était capable de faire du mal autour de lui, mais il l’avait toujours été. Petit, il était déjà un emmerdeur et ce qui n’avaient été que des blagues de mauvais gouts s’étaient transformées en expériences sadiques. Elle l’aurait voulu, particulièrement doué pour les sortilèges informulés le sorcier n’eut qu’un coup de baguette à faire pour envoyer la jeune femme dans les airs contre un mur. Il mit à profit le temps qu’il s’était gagné pour faire disparaitre les liens qui enserraient ses jambes et se releva, ils étaient déjà tout deux vaguement blessé mais à la fin de cette affrontement ce serait pire et il en avait rien à foutre, tellement rien à foutre si elle savait. « Je ne suis pas un lâche, Alice. » Fit-il en la bombardant encore de sortilège qu’elle arrivait cependant à éviter, il pouvait la faire danser comme ça encore longtemps. Mais il avançait, comme un lion approche sa proie, il finit même par l’attraper par les cheveux et la tira vers lui. « Tu vas payer pour ton insolence et ta connerie Londubat, Tu te crois plus forte que moi ! » Sans ménagement le mangemort la jeta au sol, la folie n’avait désormais plus rien à voir la dedans, il n’y avait que colère. « BATS-TOI ! » Fit-il en faisant un nouveau mouvement de baguette, encore une fois la sorcière valsa en arrière.
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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyDim 9 Juin - 2:06

Il avait commencé. Quelles différences il y avait entre toi et les autres aurors. Elles étaient nombreuses. Tellement qu’il aurait fallu une nuit entière pour les énumérer. Tu préféras citer les plus capitales. Pendant un court instant, tu réussis à le faire sourire. Un sourire amusé. Tu l’avais vu de nombreuses fois celui-là. Tu le détenais, tu le possédais. Tu étais celle qui arrivait à le faire sourire et rire comme si jamais ça n’allait s’arrêter. Mais tout à une fin et James est celui qui a précipité celle de son père et jamais tu ne devais oublier ça. Tu te refroidis à la fin de ton énumération. Trêve de plaisanteries, l’heure était au drama. Malgré ton sérieux et ton visage impassible aux traits durs, tu pouvais toujours percevoir ce petit sourire sur les lèvres de ton adversaire. Tu venais de te déclarer comme la fille qui allait attraper James Potter. Ca ne pouvait que le faire rire. « Rectification, tu es celle qui sera assez folle pour essayer. » Trop fière, trop arrogant, il ne savait pas dans quoi il s’embarquait. Et toi non plus. Un léger sourire narquois se dessina sur ton visage. Tu allais sans doute mourir mais tu mourrais en te battant. « Alors c’est un combat de fou. On faisait une bonne équipe, tu ne penses pas ? » Ce temps était révolu. L’équipe était dissoute. Le partenariat était terminé. Ce n’était qu’une folle contre un fou. Il ne restait plus qu’à attendre pour voir lequel des deux étaient le plus mentalement instable pour gagner ce combat. Tu déclaras par la suite ton camp, lorsqu’il te demanda quel prix valait sa capture. L’argent ne t’intéressait pas. Ce que tu voulais c’était ta vengeance. Pure et personnelle. Et ceci n’avait pas de prix car peu importe les limites imposés, tu irais jusqu’au bout. Il le fallait. Tu étais la seule à oser. La seule à le vouloir tellement fort que plus rien ne t’en empêcherait. « C’est moi qui te croyais intelligente et non complètement suicidaire. » Tu haussas les épaules en regardant ailleurs, l’air je-m’en-foutiste. Mourir ? Ca ne t’importait pas vraiment. On allait tous finir par y passer à la fin alors autant maintenant que jamais. Autant mourir dignement en te battant que lâchement. « Il y a des chances pour que je sois les deux. » Affirmais-tu en reposant ton regard sur lui. Folle, intelligente et suicidaire ? C’était un très mauvais mélange pour un Londubat.
Il commença alors à courir et tu le coursas. Une bonne vieille course à l’ancienne. Tu finis par le faire tomber par terre suite à un Incarcerem. Tu osas le traiter de lâche. Tu étais tout aussi folle que lui. Sa trahison avait laissé de graves séquelles dans ton esprit. Malheureusement pour toi, c’était le mot qui le motiva à se battre. Il n’était plus un lâche mais un Potter. Celui qui se bat vaillamment jusqu’à la fin. Là, tu reconnus ton ami. Même s’il était rempli de colère et d’amertume. Il finit par t’envoyer en l’air face à cette insulte. Tu te cognas contre violemment contre un mur, où une blessure finit par s’ouvrir au niveau de ton front. Le sang ne coulait pas mais la blessure était profonde. Et la douleur n’était rien comparée à ce que ton cœur subissait. Le temps que tu te relèves et que tu te joignes à lui, il s’était déjà libéré de ses liens. Il était autrefois un sorcier brillant, tout comme toi. Tu te tenais devant lui, à peine droite. Tu étais incapable de te redresser à cause de ton dos qui avait subis un violent impact. « Je ne suis pas un lâche, Alice. » Déclara-t-il en te bombardant de sortilèges. Sortilèges que tu réussis à éviter par pur chance. « Alors pourquoi as-tu fui ? » Tu étais tellement occupée que tu ne remarquais pas qu’il s’avançait vers toi, jusqu’à ce qu’il t’attrape par les cheveux. Tu ne criais pas mais tu souffrais. Tes grognements sortaient de ta bouche. Tu étais cambrée pour pouvoir le suivre et ne pas te briser la nuque. « Tu vas payer pour ton insolence et ta connerie Londubat, Tu te crois plus forte que moi ! » Il te jeta à terre sans état d’âme. Tu étais au sol et tu n’osais plus te relever. Tu n’en avais pas la force mais il le fallait bien. Ta fierté allait en prendre un coup, sinon. Tu te relevas lentement en serrant ta baguette. « Je ne suis pas plus forte que toi. Je l’admets. Mais tu as osé toucher à mon frère durant la Coupe. Et juste pour ça tu vas souffrir Potter. Crois-moi, les prochaines heures seront les plus éprouvantes de ta vie. » Bien décidée à te venger, ta motivation était revenue. Tu venais de te souvenir ce que pour quoi tu te battais. « BATS-TOI ! » Ordonna-t-il une seconde fois. Tu allais le faire mais tu étais encore fois, trop occupée à te prendre un mur pour répliquer. Tu te relevas à nouveau et tu t’avanças vers lui. « Crève, sale traître ! » C’était à ton tour de le faire voler. D’un simple coup de baguette, tu l’expulsas au loin pour qu’il puisse se prendre des murs lui aussi. « Souviens-toi d’une chose avant de mourir. On ne touche pas à mes cheveux ! » Tu commenças à lui lancer divers sorts qu’il contra ou évita. Peu d’entre eux ont réussi à atteindre leur cible, ce qui te démoralisa. Un quart de seconde, tu crus que tu allais perdre ce combat. Tu ne te l’autoriseras pas. Jamais. Et pas devant lui.

Spoiler:
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James Potter

James Potter


SORTS JETÉS : 2426
AVATAR : max irons.
CRÉDITS : voir avatar.
BAGUETTE : bois de tremble, 29 centimètres et demi, impregnée d'un ventricule de dragon. Souple.

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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyMar 18 Juin - 11:08

« Alors c’est un combat de fou. On faisait une bonne équipe, tu ne penses pas ? » fit-elle alors qu’il lui avait presque rit au nez au moment où, pleine d’assurance, elle avait déclaré être celle qui l’attraperait. Le sorcier haussa les sourcils. « Certes. » Murmure-t-il plus pour lui-même que pour elle. C’est à ce moment-là qu’il décide qu’ils ont assez parlé pour cette nuit et qu’il est temps pour lui de mettre les voiles. Il doit trouver un moyen, faire diversion, ensuite il pourra partir car il se refuse encore à lui faire réellement du mal. Pour gagner du temps il lui demanda combien elle gagnerait pour l’avoir capturer. Rien, voilà plus ou moins sa réponse, car Alice déclarait n’agir que pour l’ordre de son frère, celui qu’Albus avait été assez fou pour remettre sur pied. Il est surprenant de constaté que tout ceux qui ont un rôle déterminant à jouer dans cette guerre sont à moitiés fous. Lui, Alice, mais son frère également il en était certain, celui-ci lui avait presque supplié de mettre fin à ses jours. Il l’avait poussé, il l’avait provoqué exprès. Et pourtant son cœur battait toujours parce que James avait été incapable de tuer son frère, c’eut été trop lui demander même après qu’Albus ait détruit sa baguette.

Après quoi le sorcier finit par s’enfuir, ça plutôt que de lui faire du mal à elle aussi car si James n’avait pas pu tuer Albus alors il était inconcevable pour lui de s’en prendre à Alice qu’il avait plus longtemps estimé comme une sœur qu’Albus comme un frère. Il ne tenait pas à elle autant qu’il tenait à Lily – à qui il n’aurait vraiment pu rien faire – mais tout de même, il ne tenait pas à énormément de personnes et les rares qui lui étaient chers étaient intouchables. Jusqu'à ce qu’elle le mette en colère. Il n’avait pas fuit par lâcheté mais ça évidemment elle ne s’en était pas rendue compte, toute fuite indique la lâcheté pourtant elle ne connaissait, elle aurait du savoir qu’il n’était pas comme ça et que si il courait pour lui échapper c’était surtout pour qu’elle lui échappe à lui. Mais sa fierté à elle était aussi mal placée que la sienne à lui, elle pensait être à la hauteur de le vaincre alors qu’il avait longtemps été celui qui l’avait aidé lorsque ses cours étaient un peu trop difficile. Bien sur, il n’avait pas pu l’aider dans toutes les matières mais James avait hérité du don de son père pour la défense contre les forces du mal et il avait même été plus loin que la simple défense, il avait apprit l’attaque. Il était devenu offensif. Il ne voulait pas devenir un simple auror comme tout les Potter, il voulait découvrir des aspects de la magie qui n’était réservé qu’a une élite, qu’a une petite partie de sorciers formés pour devenir des langues-de-plomb et le département des mystères lui avait bien assez tôt ouvert ses portes, lui avait dévoilé tous ses secrets. Son nom avait été une porte grande ouverte, il ne fallait pas se méfier d’un Potter, le fils de l’élu, du héros d’une autre génération n’allait jamais utiliser tout ce savoir pour faire le mal. Ah, si ils avaient su, ils l’auraient envoyé à Ste Mangouste ou son esprit troublé aurait été noyé dans les médicaments et les potions toutes plus étranges les unes que les autres. Et il aurait évité cet accès de colère. « Alors pourquoi as-tu fui ? » Il gonda en se relevant. « Pour t’éviter une mort lente et douloureuse mais comme Albus, tu as l’air d’y tenir et je n’aimerais pas te priver d’un tel cadeau… » Et sur ces mots il attaqua. Il allait la trainer dans la boue, il allait lui faire si mal qu’elle en pleurerait, qu’elle le supplierait de la tuer plus vite, elle n’aurait plus aucun espoir et il se délecterait de sa souffrance comme d’autres se délecte des baisers brûlants de leurs amants. Il n’en aurait jamais assez, jusqu'à ce qu’a bout de force elle finisse par crever entre ses mains. Alors il se trouverait une autre victime et recommencerait parce que là, tout de suite, tout ce qu’il réclamait c’était son lot de sang et de souffrance. Il voulait récupérer tout ce qu’il avait endurer et donc la douleur devait surtout être psychologique. Qu’elle le regarde sombrer sans pouvoir le sauver, c’était trop tard, leur amitié était morte, et elle allait crever avec, il allait les enterrer toutes les deux dans le même trou sombre et humide. Après qu’il l’eut jetée au sol la jeune femme se releva lentement, le corps abimé, portant déjà les séquelles d’un combat qui ne faisait que commencer. « Je ne suis pas plus forte que toi. Je l’admets. Mais tu as osé toucher à mon frère durant la Coupe. Et juste pour ça tu vas souffrir Potter. Crois-moi, les prochaines heures seront les plus éprouvantes de ta vie. » James eut un rire de fou, il résonna contre les habitations et les magasin de l’allée des embrumes, ce rire n’avait rien de joyeux, il annonçait des moments bien pires, il n’annonçait que désolation pour la jeune Londubat. Et peut être même pour lui, il annonçait qu’il n’en avait surtout rien à foutre. « Tu ne pourras pas m’atteindre plus, Alice, alors vas-y, montre moi ce qu’on t’as appris. » Rien ni personne ne pouvait plus le blesser que ce qu’il était déjà, il était au fond du gouffre, il n’avait plus rien à perdre même pas la raison, il n’avait que la vie. Et quand il l’aurait perdue il n’aurait plus souffrances ni souvenirs, il ne serait rien, il ne se rendrait pas compte de sa libération, ce serait juste finit. Et ça ne lui faisait pas peur. James lui ordonna de se battre, la colère lui brouillait presque la vue mais il arrivait toujours à la faire valser encore une fois. « Crève, sale traître ! » Fit-elle en se relevant, ce fut au tour de James de se prendre un mur. Sa tête heurta violemment la brique mais il faisait abstraction de la douleur. Il ferma tout de même un instant les yeux car la lumière de la nuit était déjà trop vive pour ce choc crânien. « Souviens-toi d’une chose avant de mourir. On ne touche pas à mes cheveux ! » Il rouvrit les yeux juste à temps pour contrer plusieurs sortilèges, l’un d’eux passa très près de lui et lui érafla la peau de la joue. Il contre-attaqua en lançant une gerbe de flammes dans sa direction, un sortilège que Rabastan lui avait enseigné. Le combat devenait de plus en plus intense, ils se blessaient mais jamais mortellement mais les deux combattants commençaient déjà à fatiguer. Un sortilège de plus immobilisa la jeune femme, le temps qu’elle trouve un contre sort elle ne pourrait plus répliquer. « Tu ne me tueras pas. » Fit-il en s’approchant de lui.

« Tu ne me ferais pas ce cadeau. » Sa baguette était baissée. Il aurait voulu mourir, pourquoi maintenant, alors que la colère avait dicté ses gestes pendant la première moitié de leur affrontement ? Il n’aurait su le dire, était-ce à cause de ce sortilège qui avait faillit lui être fatal à elle ? Car cette nuit elle était passé proche de la mort bien plus souvent que lui, il maitrisait totalement ce combat, s’en était presque triste pour la jeune auror mais lorsque l’on reste dans les sentiers battus de la magie on n’apprend malheureusement pas grand-chose et il en savait bien plus qu’elle en matière de combat. « Je n’ai pas peur de toi, Alice. » C’était vrai, tellement vrai qu’il ne se battait même plus. Mais de quoi avait-il peur ? Il n’aurait su le dire non plus, mais voilà ce qui l’effrayait le plus : lui. Si un jour il se réveillait en étant parfaitement conscient de ce qu’il était et en étant en parfaite santé mentale il n’hésiterait pas une seconde avant de se donner la mort. Un homme comme lui ne méritait pas de vivre et le James qui avait vécu il y a encore quelques années en était parfaitement conscient. Mais désormais il avait oublié toutes ses valeurs, il avait oublié pourquoi il était mauvais de tuer son père, il avait oublié pourquoi il répugnait à faire du mal à un homme auparavant. Rabastan lui avait apprit que c’était si facile… Et maintenant, il ne se rendait pas, il éprouvait Alice. Elle disait qu’elle allait le tuer, il était persuadé qu’elle n’allait pas le faire. Il cessait de se battre, tout simplement.
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MessageSujet: Re: And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice)   And it won’t leave me alone, these wounds won’t seem to heal, this pain is just too real there’s just too much, the time cannot erase. (alice) EmptyMar 25 Juin - 13:30

Elle le souhaitait tellement fort. Et pourtant, elle n’y arrivait pas. Elle ne pouvait pas le blesser et c’était réciproque. Elle s’y refusait. Elle voulait tellement se venger, le faire souffrir comme elle souffrait mais elle n’arrivait pas à oublier l’ami qu’elle avait. Elle le laissa alors mener le combat parce qu’elle n’était pas en mesure -psychologiquement- de l’égaler. Il avait fuit, c’était une raison n’est-ce pas ? Ca voulait dire qu’il ne voulait pas la blesser, qu’il préférait paraître pour un lâche que la toucher. Elle a juste fait l’erreur de l’insulter de ce nom. De lâche. Ce n’était pas un lâche. James était vaillant. James était courageux. James était un Gryffondor ! Un lion, un vrai. Autant qu’Alice l’était. C’était là les deux caractéristiques communes qu’ils partageaient. Ils pensaient pareils. Mais pendant un court moment, elle s’est détachée de lui, de cette connexion qu’ils avaient, et elle a osé l’insulter de lâche. Et ce fut le moment où tout commença. Le moment où il enterra leur amitié et où il s’attaqua à elle. Ils avaient été si proches mais ce ne sont que des étrangers maintenant. Il n’est plus que quelqu’un qu’elle avait l’habitude de connaître. C’était blessant. Beaucoup plus que ça en avait l’air. Elle poursuivit, elle se bâta mais pas complètement. Combien même elle savait quel obscurité possédait son cœur, elle n’arrivait toujours pas à se faire à l’idée qu’il était l’ennemi. Elle l’avait toujours vu comme un ami, le meilleur des amis. Lui ne l’avait pas oublié et il ne s’était pas gêné pour lui faire faire des sauts en l’air et pour rencontrer des murs. Elle souffrait mais sa peine était plus grande à l’intérieur. Elle saignait du visage, ses jambes boitaient mais elle se relevait. Par pur fierté. Elle le questionna, elle lui demanda pourquoi avait-il fui. Malheureusement, il ne tenait pas à s’expliquer avec elle convenablement. Il préférait la violence. Toujours la violence. « Pour t’éviter une mort lente et douloureuse mais comme Albus, tu as l’air d’y tenir et je n’aimerais pas te priver d’un tel cadeau… » Alice était en froid avec Albus, à cause de James justement. Elle grimaça brièvement en se remémorant sa dispute avec lui à la commémoration du 2 mai puis elle se remit à se protéger. Il ne lui laissait même pas le temps de répondre.

Mourir ? Elle n’allait pas mourir aujourd’hui. Pas ce soir en tout cas. Elle n’avait pas peur de mourir. Téméraire et forts sont les Londubat. Ils ne sont pas effrayés par le cycle de la vie. La seule chose qu’elle pouvait espérer c’était d’avoir une fin digne, et non se faire vulgairement assassiner par James lors d’un combat. Elle aurait au moins eu le plaisir de s’être battue pour sa vie. Mais la seule chose qu’on se serait rappelée d’elle serait comment elle est tombée aussi vite, comment la grande Alice Londubat IIe du nom a-t-elle perdu ce combat face au fils de l’Elu. Elle ne voulait pas ce soit marquer à vie sur sa pierre tombale. Elle se releva et elle se jura que ce soit la dernière fois qu’elle tomba. Elle le menaça. Oui, l’auror était bien déterminée à l’attraper. « Tu ne pourras pas m’atteindre plus, Alice, alors vas-y, montre moi ce qu’on t’as appris. » Le défigurant du regard, elle serra sa baguette. Non. Pas comme ça. Elle voulait attendre la surprise, le moment fatal auquel il ne s’attendait pas. « Je ne suis pas du genre à me donner en spectacle. Tu devrais le savoir, James. » Elle le scruta dans les yeux et elle lui lança un simple sortilège de stupéfixation. Et pourtant, c’est elle qui se prit les sorts en retour. Elle ne faisait pas le poids contre lui. Elle le savait mais elle ne voulait juste pas l’admettre. La Londubat soupira une dernière fois après s’être fait immobilisée par le Potter. « Tu ne me tueras pas. » « C’est vrai. » Répondit-elle instinctivement avant de changer son visage en dégoût et haine. « Je te ferai souffrir jusqu’à ce que tu me supplies de t’achever. » Elle était si…différente. Ce n’était plus la Alice qu’on avait l’habitude de connaître c’était juste quelqu’un d’autre. Elle était au bord de l’interdit. Ca aurait été plus facile s’il ne l’avait pas provoquée. « Tu ne me ferais pas ce cadeau. » Il voulait mourir. Elle voulait le tuer. Mais ce n’était pas sur le point de se passer comme ça. « Tu mérites de souffrir pour ce que tu as fais. Certaines choses sont impardonnables. » Déclara-t-elle en plongeant son regard aussi vide que la conscience de James dans le sien. Elle savait pertinemment que ce genre de phrase niaise ne lui faisait rien mais elle aimait croire que ça allait le toucher. De toute façon, on ne peut raisonner un fou. Pas même un autre fou ne le peut. C’était comme ça. Ils étaient condamnés à avoir un dialogue de sourd, un quiproquo. Le sort s’annula et elle tomba à terre. Encore. « Je n’ai pas peur de toi, Alice. » Elle ramassa sa baguette en main et elle se releva en laissant une larme glisser sur sa joue. Et pourtant il devrait car elle s’apprêtait à faire quelque chose d’impardonnable. « Je suis désolée, James. » Il y avait un fond de vérité et un fond d’hypocrisie dans cette phrase. Elle le regarda un court instant, laissant sa larme glisser jusqu’au bas de sa joue et elle cria violemment en le pointant de sa baguette d’un coup sec et rapide. « Endoloris ! » Elle voulait le faire souffrir mais pas physiquement, pas comme ça. Mais c’était le seul moyen. Elle était désavantagée. Elle n’était pas aussi brillante et aussi bonne duelliste que lui, elle avait dû employer des moyens qui le blesseraient. Littéralement. Elle observa alors James se plier et se tordre de douleur. Elle tourna la tête un instant pour ne pas avoir à subir ça. Entendre ses cris était suffisant, devoir regarder c’était trop pour elle. Elle annula finalement le sortilège et elle le regarda tomber au sol. L’auror s’approcha et lui menotta les poignets à coup d’Incarcerem. « James Potter, je vous arrête pour attentat envers le Ministère de la Magie britannique et pour le meurtre d’Harry Potter. »
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