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| Sujet: GOD YOU'RE OK ft. nicholas Mer 10 Avr - 14:38 | |
| GOD YOU'RE OK. HANNAH & NICHOLAS Enfin ! Un congé bien mérité ! Pas que je n'aime pas mon emploi, mais après tout une pause de temps en temps c'est toujours apprécié, et je ne suis pas la seule a le dire, loin de là. J'ai donc décidé de me rendre dans le Londres moldu, plus précisément chez mon père. Je m'y rendais un peu plus souvent depuis quelques temps, et je crois qu'il l'avait remarquer. Mais après tout, j'ai quand même le droit de venir pour dire bonjour de temps en temps. Je m'étais éloignée de mon père quelques années, après la mort de ma mère. Je savais que ma présence lui rappellerait sûrement rappellerait la femme qu'il aimait, et je ne souhaitais pas le rendre plus triste. Et en même temps, je confis rarement mes émotions aux autres, donc c'était un bon prétexte pour pas faire saigner la plaie encore plus. Mais aujourd'hui ça allait mieux entre lui et moi. On ne se fuit plus, je veux dire. On a enfin retrouvé notre lien d'avant, et je dois bien l'avouer, mon père me manquait drôlement.
Je marchais, comme d'habitude. Je devais le faire pour m'y rendre et ça à chaque fois. Bon en même temps, je n'ai pas a me plaindre, c'est moi qui le veut. Mais, mes pieds me font mais. J'ai marché beaucoup c'est dernier temps, et je crois que les deux cents pas que je fais chaque soir ne m'aide vraiment pas du tout. Je peux même directe ça empire plus qu'autre chose. Je suis stressée, c'est donc ce que je fais pour m'apaiser. Je pourrais faire du yoga, comme m'a suggéré mon père, et j'ai essayé. Ça n'a pas donné un grand résultat. J'étais seulement assise, les jambes croisés en silence parterre. Et je bougeais, comme ce n'était pas possible.
Je vus enfin ma maison. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je marchai plus rapidement, malgré ma douleur. Quand je fus rendu devant la porte, j'eus un moment d'hésitation. Je touchai du bout de mes doigts la porte de bois vieillis. Elle était étrangement douce en fait. Je m'apprêtais a cogné, quand la porte s'ouvrit d'elle même. Je ne vu personne dans le couloir que je m'apprêtais à traverser. Je déposait mon sac et je lançai « Est-ce qu'il y a quelqu'un ? Papa ? » J'avais utilisé un ton un peu incertaine. Mais quand j'entendis des bruits de pas, je fus légèrement soulager. Je ne le suis pas totalement, puisque je n'ai toujours pas la preuve que mon père va bien. Je ne l'aurai pas tant que je ne l'ai pas vu.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. |
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