› NOM : delacour, un nom français, mais que vous devez certainement connaître ici en Angleterre. Ma tante a participé au tournoi des trois sorciers et à la guerre contre Voldemort. Curieusement, c'est le nom de ma mère, pas de mon père. Ce dernier est mort et ma mère a préféré garder son nom pour ma sœur et moi. › PRÉNOMS : malo, un prénom français choisi par mère. Simple, efficace et mignon. cillian, un prénom anglais et même irlandais, choisi par mon père. Je l'utilise rarement et il s'agit plus d'un souvenir de mon père pour moi. › AGE : vingt-deux ans, trois ans de plus que ma sœur et en tant que grand frère, je mets un point d'honneur à assurer sa protection ; je crois que ça la gonfle. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE :le 05 mai 2006 à Ste Mangouste, bien que je ne rejette absolument pas mes origines françaises, j'en suis même fier, je suis content d'être né sur le sol anglais et ne me demandez pas pourquoi, je ne saurais pas vous l'expliquer. › STATUT :célibataire, je n'ai aucun soucis à me trouver une fille quand je me sens seul, j'aurais plutôt du mal à les garder dans la durée. › STATUT DU SANG : mêlé, maman est une demi-vélane et papa était un sorcier au sang-pur, mais pour être franc, c'est histoire de sang m'énerve plus qu'autre chose. › ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel et si je n'en ai jamais douté, d'autres en ont doutaient pour moi. J'aime les femmes et j'ai même pas mal de succès avec ces dernières ; le côté frenchie sûrement. › MÉTIER : gérant d'un magasin de jouet sorcier, un métier qui colle à mon excentricité et qui me permet d'être entièrement libre et au contact des enfants. Parce que oui, je suis un vrai papa gâteau avec les enfants et leurs regards émerveillés quand je leur montre un train en bois qui roule tout seul, ça vaut tout l'or du monde. › BAGUETTE : ici, n'hésitez pas à développer. › MAISON A POUDLARD : serdaigle, pas une surprise, dans la famille l'intelligence a toujours primé sur le reste. Mais curieusement, ce n'est pas parce que je suis un génie que j'ai été envoyé dans la maison des bleus et argent. D'après le choixpeau, c'était plutôt pour ma curiosité naturelle et pour mon inventivité et ma créativité. › PATRONUS : un renard, étant un incorrigible optimiste et un joyeux luron, je n'ai jamais eu de problème pour produire un patronus. Sa forme ne m'a pas vraiment surpris, le renard est un animal intelligent et plutôt joueur ; comme moi. › EPOUVANTARD :  ici, n'hésitez pas à développer. › CREDIT : tumblr

› UN SORT : le sortilège du patronus, il représente l'espoir, mais aussi la protection et la bonté en quelque sorte. › UNE POTION : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UN OUVRAGE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UN MAGE CELEBRE : dumbledore, sans aucun doute. Un homme intelligent, un esprit brillant et inventif. Il avait sa part d'ombre, bien sûr, mais c'est ce qui nous rend tous plus humain. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois. › UNE CREATURE MAGIQUE : ici, à répondre sur le principe du portrait chinois.

› pseudo : radium girls › prénom : benoît › âge : 24 ans › fréquence de connexion : 4-5/7 › personnage : prédéfinis › groupe : le nouvel ordre › commentaire ? : olaw est beau ! olaw est grand ! vive olaw !  

Cette partie est la plus importante. C'est ici que vous développerez réellement votre personnage. Mais avant de le faire vous devrez remplit une première partie qui est celle-ci : les tics/manies/infos importantes et insolites sur votre personnage. Un résumé, si vous voulez, de ce qui est censé venir par la suite. Nous vous conseillons de remplir cette partie assez rapidement si jamais vous voulez des liens avant de commencer votre histoire car c'est celle-ci qui aidera le plus les autres membres à comprendre votre personnage sans devoir lire l'histoire. Ce texte ne doit pas être très long.

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Pourquoi c'est tout rose et mou, on dirait une créature bizarre, un alien qui veut conquérir le monde. Quoique vu la taille du truc, ce serait plutôt une crevette et le monde n'a pas grand chose à craindre. Un crevette, ça ferait de mal à personne, ce serait un canard ou une poule, on serait foutu, mais là ça va. « alors qu'est-ce que tu penses de ta sœur ? ». Je hausse les épaules. J'ai trois ans, vous vous attendiez à quoi : un discours philosophique. « ça ressemble à une crevette ». Mon père rigole doucement et ma mère sourit ; elle a l'air épuisé, mais radieuse. L'alien à forme de crevette humanoïde gazouille et ouvre les yeux, de grands yeux noisettes qu'elle fixe sur moi. Je souris.


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« je vois. plutôt intelligent, rusé même et créatif, imaginatif. tu ne manques pas de courage, mais tu préfères fuir les conflits, n'est-ce pas ? ». Il fait noir et chaud, et j'ai une voix goguenarde qui me fait une analyse gratuite de ma psychée. Et pourtant, c'est sûrement le moment le plus important de ma vie. Ma répartition. Je sais depuis toujours que je suis un sorcier, je sais que j'irais à Poudlard en train, que je serais réparti dans une des quatre maison et bien sûr comme tous les élèves, j'ai ma petite préférée, mais je laisse faire le choixpeau. « je sais pas mon vieux, c'est vous qui êtes dans ma tête ». Je l'entends rouspéter dans sa barbe ... enfin dans les plis de son tissu plutôt. « tiens-toi tranquille veux-tu ? je réfléchissais à haute voix ». Je lève les yeux au ciel. « vous savez ce qu'on dit, parler tout seul c'est un des premiers signe de la folie ». Le choixpeau lâche un long soupir et préfère ne pas répondre. Il reste silencieux un moment et finit par s'exclamer d'une voix tonitruante : « Serdaigle ! ». Retour dans le monde réel, tous les autres élèves et les professeurs ont les yeux rivés sur moi. A la table des aigles, mes camarades applaudissent chaleureusement et c'est un autre gamin qui prend ma place pendant que je me sers une très large portion de pudding.


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Pourquoi j'ai accepté de venir voir ces crétins. Peut être par curiosité, peut être parce que je m'ennuie et que ça m'amuse. « pourquoi avoir défendu cette fille l'autre jour ? ». La grande blonde qui m'interroge - ouais on peut parler d'interrogatoire à ce niveau-là - fait référence à un incident auquel j'ai été mêlé un peu malgré moi. Quatre mecs qui se revendiquent de l'ordre, ou en tout cas qui partagent les idéaux de l'ordre en les pervertissant au passage, avaient encerclés une deuxième année qui avait le malheur de venir d'une famille de sang-pur. Normalement, je suis pas violent, je me contiens, je discute, je raisonne ; j'essaye de trouver une alternative. Mais là, j'ai juste sorti ma baguette et j'ai fait le ménage. « quatre contre un, sur une gamine en plus, tu m'excuseras de pas trouver ça normal ». Elle me jauge, je sais qu'elle m'aime bien, on fait parti de la même maison, on a une petite aventure l'année passée, mais elle sait aussi que son engagement "politique" auprès de l'ordre me laisse de marbre ; et ça l'énerve. « il faudra que tu finisses par choisir ton camp, soit t'es avec eux, soit t'es avec nous ». Je rigole et je croise mes jambes en bougeant légèrement sur ma chaise pour prendre mes aises. « choisir un camp... je vois pas pourquoi je devrais choisir un camp dans une guerre que je trouve absurde et à laquelle je compte pas participer ». Elle jette les bras en l'air en signe d'exaspération, je sais que ça l'énerve et j'en rajoute. « et parlons-en de ton "camp", vous persécutez des sang-purs parce que des sang-purs ont persécuté des sang-mêlés et des né-moldus pendant la guerre. votre réponse, votre seul réponse c'est d'attaquer des gens en vous basant sur la supposée pureté de leur sang tout comme les mangemorts se sont attaqués aux né-moldus en se basant sur la supposée impureté de leur sang ; y a rien qui te choque dans cette logique ». Elle détourne le regard, elle sait que j'ai raison, même s'il préférerait que j'ai tort. Je me lève et je remets ma veste en place avant de partir. « et ta sœur, Delacour ? elle, elle a choisi son camp, on dirait ». Je me stoppe net. Ma sœur, ma famille, mon point faible et elle décide d'appuyer dessus ; très grosse erreur. Je me retourne pour voir son rictus victorieux accroché à ses lèvres. Moi, j'oubli les sourires de façade, si mes yeux pouvaient lancer des éclairs, ils le feraient. Je m'approche d'elle et elle recule d'un pas, son rictus a disparu ; elle a peur et pour être franc, j'aime assez cette sensation. « jamais, personne ne parle de ma sœur, personne ne l'approche, personne dans ta petite armée ridicule de décérébrés n'essayent de rentrer en contact avec elle ou je te jures que je vous traque tous et que je vous détruis un par un ». On reste quelques secondes à s'observer comme si on se voyait pour la première fois. Le doux et sympathique Malo a disparu. « ma sœur est intouchable, compris ». Puis je m'en vais d'un pas décidé ; décidément, les sorties dramatiques c'est classe.

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