› NOM : Cavendish. Un nom de famille qui se veut particulier connu et respecter au sein du Cercle mais dont la fortune semble être de mise au sein du monde des sorciers. Un patronyme qu'elle reste fière de porter comme son père avant elle, bien qu'elle sait pertinemment qu'un nom de forge guère l'homme. › PRÉNOMS : Si les connexions et le devoir de traditions sont souvent de rigueur dans certaines familles, les Cavendish ne déroge guère à la règle. Hazel, Meera. Si son prénom usuel vient d'un récit antique que ne cessait de lire sa mère, le second en revanche ne fait guère exception à l'hommage qu'elle rend en portant le prénom de son arrière grand-mère maternelle.  › AGE : Les âges au delà des prises de responsabilités, Hazel tend à croire qu'il n'y a aucun âge pour être emplit d'une certaine sagesse. Pour sa part, elle vient tout juste de souffler sa vingtième bougies, bien qu'elle porte encore en elle un esprit enfantin. › DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Contrairement à ses ainés, la jeune blondinette à vu le jour à la clinique de Sainte Mangouste à Londres (Grande-Bretagne). › STATUT : Grain de liberté tout en étant un brin de douceur à la fois, elle est à sa connaissance juste célibataire. Sa mémoire bien que défaillante se tourne doucement mais certainement vers des souvenirs où un visage en particulier se dessine. Le cœur papillonne mais son esprit reste quelque peu perdu entre deux eaux. › STATUT DU SANG : Depuis des années et des années - pour ne pas dire plusieurs générations - la famille Cavendish ne tient aucunement un regard envers la provenance du sang. L'ascendance n'est pour Hazel qu'un détails dans le flot identitaire de l'être humain. En bref, cela n'a strictement aucune importance. Tout comme les dernières branches de son arbre généalogique, elle est d'ascendance mêlée. › ORIENTATION SEXUELLE :  Jusque là où remonte ses souvenirs les plus lointains et les plus sur, Hazel a toujours été attirée par les hommes. › MÉTIER :  Son métier actuel n'a fait que suivre son envie de petite fille, même si autrefois elle se voyait déjà au sein du Ministère de la Magie. Pour autant, c'est au sein de l'équipe de quidditch des Tornades de Tutshill qu'Hazel agit au poste de poursuiveuse. Même si elle tenait une place de  remplaçante il y a encore quelques temps. › BAGUETTE : Taillée dans du bois de frêne et mesurant vingt-neuf centimètres et demi, la baguette de la jeune Cavendish contient un ventricule de cœur de dragon. Légèrement souple, elle est a des prédispositions pour les sortilèges et enchantements. › MAISON A POUDLARD : Ce bon vieux bout de chiffon à émit une certaine hésitation lorsqu'il a été posée au dessus de sa tête. Si sa force de caractère a été d'une tentation de choix, et si son esprit rationnel, assidue et ingénieux rejoint fortement les compétences des aigles ; C'est bien au sein de la maison de Rowena Serdaigle que la jeune sorcière a effectuée sa scolarité. › PATRONUS : D'une malice amusante et dotée d'un esprit prudent et téméraire à la fois, la loutre reflète assez bien le dit patronus de la jeune Cavendish.  › EPOUVANTARD : La peur la plus primaire, la plus primordiale celle se situant dans les profondeurs de l'esprit. Son épouvantard prend la forme d'un petit espace clos dans lequel il lui est impossible de sortir.› CREDIT : tumblr/dailymoretz

› UN SORT : Finite Incantatem. › UNE POTION : Felix Felicis. › UN OUVRAGE : Le contes des trois frères. › UNE PLACE AU QUIDDITCH : Poursuiveuse. › UN MOYEN DE TRANSPORT MAGIQUE : Un balai. › UN MAGE CELEBRE : Jocunda Sykes. › UNE PERIODE DE L'HISTOIRE : L'année quatre-vingt-dix-huit, date à laquelle le renouveau et la liberté de tout un chacun était au centre des cœurs et des mœurs. › UNE CREATURE MAGIQUE : Un centaure.

Spoiler:

Même si elle possède un grand potentiel intellectuel et une grande clairvoyance, Hazel possède deux facettes un parfait équilibre qui jusqu'à maintenant ne lui a jamais fait défaut. ✻ Elle a une peur sainte peur des endroits clos, dans ce genre de situaton la panique prend le dessus sur sa capacité à prendre du recul, elle qui est pourtant si calme et rationnelle. ✻ Depuis l'âge de cinq années c'est une grande supporter de l'équipe nationale de quidditch. Un sport qui devient très rapidement une passion puis une envie au cours des années. ✻ Le terme famille est pour elle très important, une notion dont elle a toujours tiré sa force mais qui demeure aussi l'une de ses pires faiblesses. Elle ferait n'importe quoi pour eux, quitte à périr pour conserver le secret de la lignée du cercle. ✻ Hazel possède ue chouette hulotte prénommée Lindell. Un volatile qu'elle a reçu lors de sa première année au collège Poudlard et qui continue de l'accompagner depuis. Elle est particulièrement attentive à cet oiseau au plumage d'un blanc noir doté d'une trainée blanche au sommet du a tête. ✻ Il y a quelques mois, au cours d'un match de quidditch, la jeune sorcière a été victime d'une attaque de cognard qui a occasionnée une chute ainsi qu'une perte de mémoire. Une amnésie qui lui fait tout oublié de ces dix derniers mois. Une faille qui l'emporte vers une brume mentale de ses souvenirs ainsi qu'une insomnie dont elle a du mal à apprivoiser les cauchemars. ✻ Des apparences souvent angéliques qu’ils seraient bons à ne pas toujours se fier. C’est une grande téméraire qui mesure – la plupart du temps – l’impact de ses gestes et de ses actions bien que des fois il lui est difficile de prendre une décision qu’elle estime être juste.

PEOPLE BELIEVE WHAT THEY WANT TO BELIEVE ✻ L’esprit tourbillonne aussi bien qu’un tas de feuilles mortes emporté par la brise d’automne. C’est comme une faveur faite par la nature, elle balaye d’un mouvement gracile et harmonieux les composants de son monde alors qu’au milieu de tout cela tu observes le ciel. Ce dernier tapissé de couleurs pastel et brumeuses à la fois voyage comme de concert au fil du chemin qui accompagne les nuages. Tu lèves ton visage vers le plafond du ciel, tes prunelles limpides et claires transperçant cette liberté encore tout naissante d’imagination à l’intérieur de ta tête. Des boucles blondes s’échappent de ton capuchon, elles se laissent bercer par le vent et tu souris. Un sourire innocent, sincère dont le son cristallin témoigne encore ta fragilité enfantine. Tu tournes alors sur toi-même comme aurait pu le faire une ballerine sur une mélodie classique. Les bras placés sur l’horizon de ton corps, tes paupières se ferment pour ressentir un peu plus cette sensation de liberté et de bien être que te procure le froid automnales et les impressions du vent fouettant ton visage. Tourner sur toi-même comme tu pourrais le faire en apesanteur. Laisser tes instincts et tes envies individualistes prendre le dessus puis le pas de tes mouvements intérieurs pour ne jamais entraver l’être qui vit en toi.  Imaginer seulement un juste milieu entre cet entre-deux qui prend la forme d’une dualité parfois compliquée. « Hazel ?! ». La voix de ton père s’élève alors de manière solennelle et imposante dans la cour de la demeure familiale. Il avait toujours un été de respect dont les plans et les objectifs se dessinaient de manière tout à fait versatile pour l’esprit d’un simple homme ne voyant guère plus loin que le bout de son nez. Il te disait souvent qu’il te faudrait être vigilant au cours de ton existence, car être une lecture ouverte était une faiblesse dont le tranchant userait de son revers de médaille. En jetant un dernier regard en direction du ciel qui commence à s’assombrir, tu rebrousses chemin vers la porte d’entrée du logement de la famille  qui a su être témoin de ton évolution depuis ta naissance. Une fois à l’intérieur, tu peux entendre les notes du piano à queue retentir comme un baume agréable au sein du salon, signe avant-coureur de  la présence de ton frère ainé dans cette pièce. Tu penches légèrement la tête pour entre apercevoir sa silhouette. Tu apprécies le voir dans cette posture, car cela lui donne une attitude bien plus différente que celle qu’il adopte au quotidien, un peu comme si il était plus vulnérable, plus accessible. Haussant les épaules, les mains dans les poches, tu entres d’un pas prudent et silencieux dans le bureau de ta figure paternelle. De son nez droit et ses yeux noirs corbeau, il se plonge comme de coutume dans les écrits d’un parchemin des affaires professionnelles auxquelles il n’autorise personne hormis peut-être votre mère ou Anthony y jeter un coup d’œil. L’intérêt de ta famille pour le pouvoir ne t’a jamais été étranger et ce depuis le berceau. Les histoires que pouvaient te conter ta mère avaient toutes une morale bien précise : tirer son épingle du jeu, donner le meilleur de soi, la valeur de la famille est une force, et tous les moyens pour y parvenir ont toujours une raison d’être. William Cavendish attend toujours de ses héritiers une conduite exemplaire, comme le ferait une plume sur un parchemin sans la moindre faute d’orthographe. Ton père lève le bout de son nez et fixe son visage droit sur le tien. Son expression faciale se détend pour adopter une expression plus douce, plus complice et protectrice. Une facette que peu de gens pouvait lui connaitre, mais qu’en ce qui te concerne te reste quotidien depuis des années. « Il faut que l’on parle un peu de ce qui j’ai reçu ma grande. ». Tu t’avances un peu plus place dans la pièce où brulent des buches en bois dans l’antre de la cheminée. L’enveloppe qu’il tenait entre ses mains était imprimée du sceau de l’emblème de l’école de magie, et elle contenait les résultats de tes BUSES. Des  résultats que tu connaissais plus qu’excellent, mais dont le but pouvait te faire défaut. Ton choix de carrière professionnelle dans l’avenir n’avait strictement rien d’héréditaire, il suffisait de prendre le choix de ton frère et de ta sœur pour le comprendre. Tu hoches d’un calme déconcertant qui semble arracher un rire suspect à ton propre père. « Mes résultats sont plus que satisfaisants je pense que tu en seras heureux, mais pour le reste c’est à moi d’en décider. Je ferais toujours passer le bien être du Cercle et la famille avant le reste  et je sais cela à son importance pour notre famille. D’ailleurs je crois que jusque-là j’ai plutôt bien répondu à tes attentes. ». Ton intonation est d’une maturité et d’un réalisme qui traduisent une vérité vécue. Il te serait bien difficile de nier l’évidence et de te dire que tu n’es en rien en totale contradiction avec les mouvements d’actions et de pensées de tes tiens. Non, tu mettras jamais un voile sur cette vérité car cela serait renier ton intégrité. La vérité s’est juxtaposée à tes paroles avec l’art que tu as dans le discours comme dans ton attitude. Le chef de la famille se lève de son fauteuil pour venir se placer devant toi, en posant une main sur le sommet de ta tête. « Bien. N’oublie pas une chose Hazel, les moyens pour parvenir à nos objectifs ne sont compréhensibles que de la part de ceux qui voient au-delà des murs. Tu possèdes ses prunelles là, mieux quiconque. Faisant bon usage, comme tu as toujours su le faire. ». Il te considère d’une œillade sérieuse et pondérée à la fois tout en pinçant l’arrête du bout de ton nez, le tout porté sur un rire que peu de personne pourront l’entendre s’exprimer. Ce geste, il l’avait souvent eu envers toi surtout lorsqu’il te sermonnait pour  tes bêtises ou encore pour partager un moment de complicité. Le sorcier sort dès lors de la pièce, et ton intérêt porte tout naturellement son intention sur la fenêtre du bureau qui légèrement ouvert laisse apparaitre les fins gouttes de la pluie qui viennent tambouriner le verre épais de la fenêtre. Tu t’approches un peu plus de la fenêtre pour admirer ce paysage de couleurs et de mouvements naturels qui se soustrait à l’âme humaine, à l’importance de l’individu. Le temps se reflète au monde dans lequel tu vis. Il est imprévisible, incertain et mystérieux, tous les mystères qui règnent au sein de ton essence intérieure.

REMEMBER THE VIEW, BETWEEN LIGHT AND THOUGHT ✻ C’est l’un des nombreux moments que tu t’apprêtes encore à vivre, c’est l’effervescence de toute une équipe, de toute une collectivité qui soutient les Tornades Tutshill. Tu peux sentir le vent balayer ton visage, tes joues sont chaudes à cause de l’effort et des élans de ta course. L’énième tacle que tu viens d’effectuer agrandit une fois de plus le point en votre faveur, un écart qui permet à votre attrapeur de prendre l’avantage et de remporter le match. Tu le revis au travers de tes rêves qui en deviennent presque des cauchemars. Une fois de plus ta vague de témérité est à l’ombre de la conséquence même. Tu prends alors de la vitesse par de là l’altitude à laquelle tu te trouves, le souaffle sous le bras tu te dévies légèrement vers le centre avant de le lancer à ta coéquipière qui le réceptionne à son tour. Tout est entre ses mains désormais pour marquer encore dix points supplémentaires. Les cris des supporters de votre équipe résonnent en échos assourdissants dans tes oreilles. Tu suis avec attention l’ensemble de sa course, prêt à exploser de joie sous le énième but que vous alliez mettre. Le hurlement de Jonas – ton capitaine d’équipe – retentit à ton écoute mais bien trop tard. Bien trop tard pour que tu sortes de sa trajectoire. Tu retournes alors ta tête en arrière pour apercevoir que le cognard se dirige droit en ta direction. Tes yeux s’écarquillent, la balle vient alors percuter violemment ta tête basculant ainsi ton corps en arrière. Tes mains lâchent le manche de ton balai. Tu te sens comme aspirer par le vide alors que ta vision se brouille et que les élans brumeux du noir et du silence ne t’engloutissent totalement. Les hurlements des spectateurs dans les gradins ne forment plus qu’une lourde pesanteur dans ton esprit. L’ultime moment avant que ton corps ne heurte la pelouse fertile du stade, l’ultime moment où ton cauchemar prend fin sonnant le réveil brutal. C’est le souffle court que tu te redresses dans ton lit, ta baguette magique dans ta main droite, une trainée de sueur collant tes cheveux châtains sur le sommet de ton front. L’ombre de la nuit à pris possession du ciel et seuls les rayons de la lune qui filtrent au travers de la fenêtre t’offre un brin de luminosité bien que timide. Ta respiration saccadé est au gout des rythmes de l’accélération de ton cœur, celui-ci bat vite comme à chaque fois depuis des semaines, depuis des nuits. Tu reconnais les lieux de cet habitat qui est le tien, tu prends conscience qu’une fois de plus ce n’est que ta conscience qui te joue des tours comme ta mémoire actuelle semble te faire défaut. Tu fermes les yeux comme pour reprendre le fil de ton calme habituel. La porte de la chambre s’ouvre à la volée, laissant entrevoir un visage connu, la silhouette musclée et sécurisante d’Alden. Ce dernier était le premier visage que tu avais reconnu sans aucun effort, il était à la fois celui qui te soutenait en des temps difficiles mais également celui qui avait en quelque sorte pris soin de toi lors de ta convalescence. Il s’approche à pas calme venant s’installer au bord de lit, une main fraiche et douce se posant sur ta joue. Tes paupières closes finissent par s’ouvrir lentement alors que tu adosses ta joue contre cette main qu’il ne cesse de te tendre. « Encore un énième cauchemar c’est ça. ». A ce stade il savait parfaitement que ce n’était plus une question ou encore une supposition mais tout simplement une affirmation que tu faisais que nier. Alden était un être extrêmement patient et compréhensif, mais tu ne pouvais lui en dire davantage sur ta famille ou même ton appartenance au Cercle. Ta mémoire avait bien du mal à se rappeler certaines choses, en partis des souvenirs de ton enfance ou même des personnes que tu avais connue. Tout était flou, aussi brumeux qu’une flaque d’eau qui danse au vu des flots qui emportent les pas des gens. Tes prunelles ambrées cherchent le paysage qui se dessine au travers de la fenêtre, et tu soupires. « Non. Peut-être bien. Et puis cela ne changerait strictement rien … ». Glisses-tu en repoussant les draps tout en venant admirer la nuit devant cette fenêtre. Pas un bruit au dehors, seul le tableau d’une nuit froide et calme. A y contempler on ne s’imaginerait pas que le chaos a déjà frappé, que le pire reste encore à venir et que tout reste encore à prouver. Quelques minutes plus tard, le souffle de ton compagnon vient s’échouer le long de ton cou, ses bras t’enlaçant tendrement. Il était ton roc là où tu semblais parfois échouer. Il apaisait tes cauchemars là tes rêves ne demandaient qu’à prendre le contrôle. Tu étais sa boussole, son ouverture de confiance là cette dernière resté encore prisonnière des blessures du passé. Ta mémoire ne l’avait guère occulté lui et vaut quelques souvenirs en communs mais une grande part de votre vie t’était encore inconnue, c’était te semble-t-il effacé. « Tu penses bien trop et tu ne parles pas assez Hazel. Dis-moi ce que tu as en tête ? ».Sa voix de douce caresse ton ouïe et son inquiétude ténue témoingne de votre complicité antérieure. Mais que pouvais-tu lui dire ? Pas grande chose, tu ne voulais pas en parler. « Il n’y a rien dans mon esprit, il est embrouillé voilà l’unique problème. ». Déclares-tu d’un rictus monotone et ironique à la fois. C’est vrai, ton esprit n’est plus qu’une forêt sans sentier unique dans laquelle tu te perds un peu plus mais tu tiens le cap. Des paroles que tes parents, ton frère et ta sœur ne cessent de te répéter encore et encore. Tu te libères de l’étreinte d’Alden qui est une véritable invitation à la songerie et à la quiétude mais que tu as besoin de mettre de l’ordre dans tout cela. En entrant dans la petite cuisine, tu es comme aspiré par le mouvement de l’instinct dont tu tires le premier tiroir. Là, un tas de lettres ornées d’une écriture en italique porte les lettres de ton prénom. Une écriture qui t’est complétement inconnue, mais qui ne cesse de se répéter au fur et à mesure des missives que tu comptes une à une dans ta main. Une intrigue, un mystère et de la perspective. L’existence d’une personne dont tu ignores tout mais qui en sait long sur ta personne.

Au fond ta mémoire te joue des tours, des tours dont le sens même t’échappe. N’ignore jamais les signes de l’inconnu Hazel. Tu possèdes ces yeux qui voient par-delà les murs. Des paroles que ton paternel réitèrent encore et toujours.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Cependant rassure-toi, tu as une marge de trois jours pour recenser ton avatar, mais après ça si tu ne l'as pas fait et bien... Tant pis ! Même si nous voyons que tu as oublié, nous ne rajouterons pas ton avatar parce que les règles sont là pour être respectées (et surtout : sont les mêmes pour tout le monde !). Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !

Encore une fois te lire fut un véritable délice, Audrey en général j'appréhende les longues fiches mais avec toi, ça me captive toujours Ton personnage est vraiment intéressant et j'ai hâte d'en savoir plus (ça me ferait presque regretter de ne plus jouer anthony xD)..