› Avez-vous déjà entendu parler de la légende du Phoenix ? Qu'est-ce que vous en pensez ? : Pour être clair, les légendes et autres reumeurs n'intéressent absolument pas Jace. Comment pourrait-il s'intéresser à ce genre de choses? A vrai dire, il a bien d'autres choses à penser pour s'attarder à écouter des légendes et rumeurs. Que ce soit vrai ou non, qu'importe. Quand on aura la preuve que la légende disait vrai (ou non), Jace y prêtera attention. Les légendes sont inutiles et futiles. Elles font nourir de faux espoirs.
› Quelle est votre position par rapport à la guerre ? : Il semble évident, que de part sa position d'apprenti auror, Jace ne peut se foutre royalement, comme on dit dans le jargon, de cette guerre. Est-ce qu'il y prête toute l'attention qu'il faut? Peut-être pas. Mais en tout cas il suit de prêt tout ça. En tant qu'apprenti auror il est dans l'obligation d'y participer plus ou moins. Non, il n'est pas sur les fronts, mais au moins il participe à l'effort pour écraser l'ennemi.
› Pensez-vous que les prétendus mangemorts, leurs familles, ont été opprimées ces dernières années ?: Serait-ce une question sortie de l'esprit d'un fou? Non parce que, croyez-le ou non, les mangemorts ne méritent que ce qu'ils sèment. Quand on fait la guère à la paix et la justice, on est forcément, à un moment ou un autre traqués ou repoussés. C'est tout. Il n'y a pas d''échappatoires possibles. Si les mangemorts ont suivi cette voix, grand bien leur fasse, mais qu'ils assument les conséquences de leurs actes.
› Que pensez-vous des rumeurs comme quoi Harry Potter aurait été tué par James Potter ? : Jace pense que la culpabilité de James Potter a été prouvée. Prouvée dans le sens où les preuves sont là et que l'évidence ne peut être niée. Il ne sait pas s'il est vraiment le seul responsable, mais il ne fait aucun doute, dans l'esprit de Jace, que James Potter a été l'un des fomenteurs de la mort de son père. C'est tout de même bien triste d'en arriver à de telles extrémités. Potter fils devait terriblement détester son père.
› Que pensez-vous de la création d'un nouvel ordre ? : Dans la guerre contre Potter et ses mangemorts, Jace est pro-ordre. On ne peut, sincèrement, pas comprendre les mangemorts sans être un poil dérangé et détraqué. La création d'un nouvel ordre est une bonne chose. Jace croit en la paix et la justice. Et seule la création de ce genre d'organisation peut amener James Potter à lâcher les armes. Sachez-le.

Tu te réveilles en sueur. Chaque nuit, c’est la même histoire. Chaque soir, tu t’endors, paisiblement, et vers quatre heures du matin, tu te réveilles, en sueur, en hurlant le nom d’Azraël. Tout est arrivé il y a deux ans. Un an après votre première fois. Un an après cette nuit parfaite. On ne sait pas trop ce qui est arrivé. Mais c’est arrivé.

Tu allais chez Azraël. Comme chaque jours. A vrai dire, après tes études à Poudlard, où tes notes furent plus qu’acceptables (dans l’ensemble moyennant un Effort Exceptionnel et trois bon Optimal), tu avais décidé de prendre du recul. De ce fait, pendant qu’Azraël se cantonnait à son rêve de devenir auror, tu étais devenu barman. C’était un boulot bien payé, et tu t’y sentais bien. Vous vous sentiez bien tous les deux à vrai dire. Tous les jours réservaient de belles surprises et vous vous sentiez bien.

Tu entres dans l’appartement après un beau jour de travail. Tu es fatigué, évidemment. Tu as passé ta journée à servir des clients au bar. Tu viens d’ouvrir la porte. Une ambiance tamisée, de la faible lumière, s’échappe de tous les coins. Que te prépares encore ce grand fou? C’est bien le genre d’Azraël de faire ce genre de choses. De préparer un dîner aux chandelles, ou une soirée romantique pour te reposer - bien que vos activités soient plutôt éreintantes, une fois le dîner fini. Tu l’aimes pour ça. Tu entres dans le salon, où tu trouves un bouquet de roses rouges, et un petit mot. Tu poses le sac en bandoulière que tu supportes avec ton épaule droite, poses te clés et regardes avec attention les roses. Tu arraches le petit mot, humes délicatement les roses. Un sourire béat se dresse sur ton visage, découvrant tes dents blanches. Bien son genre, à Azraël, d’acheter des fleurs. Tu ouvres le mot qui est scotché avec un bout de papier collant, les fleurs posées à présent sur le guéridon où elles reposaient juste avant.


Le message semble plutôt clair. Le duplex que vous louez au mois est grand, et votre chambre se trouve en haut, à côté de la salle de bain. Que te prépares t-il? Tu as hâte de le découvrir. C’est dans ses habitudes de faire des choses comme ça. Et il se dépasse à chaque fois. A chaque fois, c’est encore meilleur. Vous vivez comme un vieux couple, certes, mais vous arrivez à surprendre l’autre par de petites attentions, chaque jour. Et celle-ci est plutôt huge. Des pétales de roses gisent sur le sol et une odeur de rose ambiance la pièce de manière agréable. Tu te débarrasses de ton manteau, laissant ton t-shirt mouler tes formes. Oh il appréciera tout ça. Tu poses le petit mot sur le guéridon, à côté des fleurs, en détaches une du lot, puis tu montes les escaliers de bois. Une douce musique baroque te met directement dans l’ambiance. Un sourire béat reste accroché à tes lèvres, pendant que tu pousses la porte de votre chambre. Il est là, allongé. Ses bras se baladent sur le drap blanc qui orne le lit, sur un lit de roses. Il a les yeux fermés. Sa respiration semble presque inexistante. Tu t’allonges à côté de lui.

« Bonsoir mon amour, dis-tu, d’une voix enjouée. » Pas de réponse. Etrange. Tu poses ta main sur son torse. Il ne respire pas. Que se passe t-il. « Azraël? » Tu déglutis. Non. Ca ne se peut. Tout est trop parfait. C’est une blague. Tu poses ta tête sur son torse. Il ne respire pas. Comment? Non. Tu refuses. Ta main se pose avec violence sur sa joue. « Réveilles-toi, espèce de fils de botruc. » Tu refuses cette évidence. Il ne peut pas. Pas lui. Pas mort. Azraël, mort? Impossible. C’est comme de te voir Ministre. Ca ne peut arriver. Tu as trop besoin de lui. Trop besoin de sa force et de ses bras. Tu refuses qu’il meurt. Tu le secoues, avec rage et force. Après deux minutes de secouage intense, d’insultes profondes, tu ne peux plus rien faire. Tu restes là, à côté de lui, ta tête posée sur son torse, des larmes chaudes s’écrasant contre tes joues.

C’est tout ce dont tu rappelles. Tu sais qu’une brigade magique est arrivée, peu de temps après, après que tu les ai appelé, visiblement. Mais un trou noir s’est formé dans ton esprit, du moment où tu as pleuré la perte de ton amour, jusqu’au moment où tu es sorti de ta catatonie, c’est-à-dire deux mois plus tard.

flashback. jace a 19 ans. Les effluves d’alcool et l’odeur de la boisson envahit tes lèvres tandis qu’Azraël pose ses mains douces et fines sur tes bras, les faisant glisser vers le haut, jusqu’à empoigner ton cou, de manière à pouvoir garder pour lui toute la chaleur de ce baiser. Tu te sens bien. Pas tout à fait toi-même, certes. Mais tu es bien. L’alcool ingurgité a prit possession de toi. Mais tu te sens bien. A vrai dire, c’est la première fois que tu te sens bien depuis des années. Tu as été obligé de te cacher pendant des années. Pendant des années tu t’es menti à toi-même. Pendant des années, tu as voulu tenter de sortir avec des filles. Tu les aimais. Sans mentir. Véritablement. Mais on ne peut pas parler d’un amour sincère. Les aimer est une chose. Mais la réaction dans ton pantalon ne semblait pas être convainquant. Cela fait des années que tu connais Azraël. Mais tu n’as pu lui parler de tout ce que tu as sur le cœur que récemment. Tu avais peur, sans doute. Qu’il te rejette. Qu’il te déteste. Qu’il te frappe, te crache dessus, refuse de t’adresser la parole. Mais tu ne peux plus reculer. Et à vrai dire, Azraël s’est retrouvé être aussi homosexuel que tu l’as toujours été. Quand tu lui as expliqué tout ça, il n’a rien fait à part rire. Rire et approcher ses lèvres des tiennes, pour te faire comprendre que ce genre de sentiments sont sacrés, et logiques, et qu’il n’était absolument pas là pour te rejeter.
Désormais, ça fait un an que vous avez eu cette discussion. Entre temps, outre le fait que tu aies pu dire à tout le monde que les hommes t’intéressaient plus que les femmes, tu as pu nourrir de nouveaux sentiments. Tu t’es toujours senti très proche de Azraël, mais désormais tu es sûr que tu l’aimes. Pas comme un ami, ou un frère, ou quelqu’un de proche. Comme le seul, l’unique, l’objet de tous tes désirs. Depuis, tu as pu lui expliquer. C’était romantique. Un dîner aux chandelles, tout ça. Tu lui as également expliqué que si tu l’aimais, tu ne te sentais pas près à franchir l’étape de le voir nu et devoir faire des choses à ton corps et au sien. Il a accepté.

Mais tout est différent ce soir. Tues fin prêt. Tu n’as jamais été plus prêt. Vous n’aviez rien prévu. Mais l’alcool te donne des ailes. Tu l’avais prévenu que regarder un film et boire de l’alcool ne te donnerait pas de bonnes idées. En effet, c’était une mauvaise idée. Vous avez arrêté le film après trois quart d’heure d’ennui profond et vous êtes à présent allongés sur le lit, à vous embrasser tendrement. Tout est beau et romantique. Tu te redresses, laissant Azraël allongé sur le lit. Tu passes une jambe et l’autre de chaque côté des jambes de ton petit ami. Tes lèvres sont scellées aux siennes, puis se décollent, doucement, tu reprends ta respiration, puis tu colles tes lèvres à son cou, pour descendre de plus en plus bas. Bientôt, son t-shirt au col en V te gène et obstrue tout contact avec le torse brûlant d’Azraël. Tes mains glissent de son cou à son torse. Elles arrivent à hauteur de la fin de son t-shirt. Tu les passes en dessous. Ta peau froide contre sa peau brûlante te donne des envies plus poussées. L’alcool n’est visiblement pas une bonne idée, ni pour toi, ni pour lui. Tu ne prends plus le temps de quoi que ce soit. Bientôt, tu lui arraches le bout de tissu. Il vient à ta rencontre, visses ses lèvres sur les tiennes, ouvres les yeux, son regard bleu océan perce tes yeux. Vous êtes deux entités distinctes. Mais désormais vous êtes scellés par ces baisers doux et furieux. Tu enlèves toi-même ta chemise bleue en arrachant les boutons Tu en as envie. Tu as envie. Envie de lui. Et de tout ce qui fait son être. Tu désires cet homme. Vous n’êtes que deux ados, en proie à une envie mystique. Mais tu aimes Azraël. Et si ce moment t’as fait peur, ce n’est plus le cas. Qu’importe qu’il te voit nu, qu’il découvre certaines de tes cicatrices, tout est parfait.

La scène continue sur plusieurs minutes. Vous vous embrassez. Azraël embrasse chaque partie de ton corps, du coup au bas du torse. Tu fais de même, en mettant un soin particulier à certains endroits qui le font vibrer. Vos mains sont jointes par les doigts et l’air ambiant se veut plus torride que jamais. « Az’. Ta voix est tremblante mais sure; fais-moi l’amour, s’il te plait. »

Spoiler:

La scène se prolonge pendant des minutes. De longues minutes. Vous changez de positions encore plusieurs fois, donnant et recevant le plaisir, Azraël prenant les devant beaucoup plus que toi. Tu as peur à vrai dire. Peur de faire mal, peur de décevoir. Mais Azraël, de temps à autres, te rassure en te disant que tu t’y prends très bien. C’est compliqué de donner du plaisir au final.

Au bout d’un long moment, vous vous essoufflez. Il est peut-être temps d’arrêter. Vous vous regardez conjointement et de ce simple regard, vous comprenez que l’autre fatigue. Alors tu te rallonges aux côtés d’Azraël et poses ta tête sur son torse dégoulinant de sueur. « Merci, dis-tu d’une voix faible. » Au final, tu avais peur pour rien. C’était doux et romantique. Et Azraël semble avoir apprécié. Tu embrasses son torse une dernière fois, montes ta tête jusqu’à ses lèvres pour lui décrocher un dernier baiser et vous vous endormez dans les bras de l’autre, enveloppés de la couverture de lit. Cette nuit, tu ne feras pas de cauchemars.

Tout est en ordre dans ta fiche, tu es donc validé ! Avant de partir à l’aventure sur le forum, ou plutôt en guerre avec ton camp, n’oublie pas d’aller recenser ton avatar, c’est très important, si tu oublies et que quelqu’un d’autres le prend c’est toi qui devra changer de tête ! Après ça et si tu en as envie tu pourras aller te faire un scénario, lis bien les règles s’il te plait avant de te lancer ! Ensuite tu pourras aller faire des demandes de liens et de rps, te trouver un job, et tout ce qui s’ensuit, vivre ta vie de sorcier quoi !